Mon épouse, une revenante

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* Cinq semaines fit passées encore sans que je ne fasse un autre constat, sans inquiétude. Notre couple avait repris son humeur comme quand nous n'étions pas mariés. . Blanche et moi sommes aussi devenus vraiment proches, on passait plus de temps ensemble que je n'en passais avec Stella malgré qu'elle soit ma femme. On se racontait des histoires et on visitait des places publiques à mes heures de pauses puis les week-ends on quittait complètement la ville. Avec elle j'oubliais mes soucis, mes problèmes puisque Stella des fois quittait la maison toute la journée sous prétexte qu'elle s'ennuyait, certaines nuits même elle sortait et ne revenait que très tard.

J'avais tout fait pour comprendre où elle allait, ce qu'elle faisait dehors à chaque fois mais elle me chantait que je n'avais pas confiance en elle et que je voulais la priver la liberté de sortir et se distraire. Un jour j'étais même obligé d'appeler mes parents et quelques anciens de la famille afin de la raisonner mais en vain. Mais blanche était toujours à mon écoute, elle était toujours là pour moi, à me réconforter et me faisait passer de bon moment.

Mais un matin j'étais au boulot précisément dans mon bureau quand subitement la porte s'ouvrit et se referma d'elle-même. J'étais très surbooké pour que cet évènement puisse retenir mon attention. Je m'arcboutai sur mon fauteuil pour juste observer, mais quelle panade !!! me murmurais-je à l'intérieur de moi. Subitement la télévision qui était éteinte s'alluma, une chaine choisie au hasard et elle fut éteinte à nouveau quelques secondes après. Ce spectacle me paraissait de plus en plus fantasmagorique.

Tout ceci me rendait encore plus dans un état de quelqu'un qui présente une dysphorie. ... Ma bouteille de vin posée sur ma table se glissa toute seule puis se brisa en suite au sol. Je n'étais plus loin d'être attaqué par une diarrhée causée par la peur. Je voulais bien sortir mais une fois ma main sur le poignet de la porte, je pouvais constater qu'elle était bloquée. Ma climatisation fut arrêtée puis la chaleur envahie mon bureau.
Les lampes furent ensuite éteintes.