37

20 0 0
                                    

Puisque sans me connaitre elle a eu à prendre soin de moi alors je prenais aussi le risque de lui raconter tout.

------- Mais ce n'est pas vrai, et en plus elle t'a laissé coucher par terre là ?

Je vois comment c'est difficile, donc toi aussi essais de tourner la page sinon vraiment avec tout ce que tu viens de raconter ça ira très mal pour toi.

------- C'est difficile, vraiment difficile de se sacrifier pendant quatre ans et que tout prenne fin en une seconde. Alors que je l'aime, oui je l'aime vraiment.

------- Je te comprends et compte sur moi pour t'aider à tout oublier, je ferai de mon possible pour t'aider. C'est promis.

-------- Merci, vraiment merci de m'avoir ramené ici, Je serai peut -être déjà mort sans ton aide. Dis-moi : toi tu fais quoi ?

------- J'ai fait la médecine et je fais ma soutenance dans 3 mois.

------- Waouh, mes respects.

------- Oh arrête. Attend ! je viens, je te cherche quelque chose à manger. Elle sortit puis revint après avec un plat de nourriture.

Au bout de quelques minutes j'étais déjà rassasié et m'endormis quelque temps après.

* À mon réveil Syntiche n'était plus là, elle m'avait laissée des médicaments et une note qui disait : " tu peux t'en aller maintenant, j'ai tout réglé. Demain je passerai te voir au Campus ". Il était déjà 17h 30 en ce moment. Alors J'ai arrangé la salle ou j'ai été traitée, ensuite pris mes affaires et je sorti de l'hôpital, j'appelai un taxi, lui indiquai ensuite ma destination et on s'est mis en route.

Cinq minutes après on arriva près d'une maison inachevée où j'entendis des cris. Il me paraissait reconnaitre la voix donc j'avais demandé au taximan de s'arrêter pour que je puisse jeter un coup d'œil, ce qu'il fait. Je me mis à l'entrée de cette maison, je commençai par parcourir les chambres les unes après les autres et dans la dernière chambre je voyais une fille attachée, couchée par terre et un garçon qui se déshabillait. Je m'étais un peu plus rapproché deux et je me suis rendu compte que la fille était Aude.

Mon épouse, une revenante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant