Mon épouse, une revenante

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Elle voulait juste s'assoir quand je la faisais comprendre que je devrais m'en aller puis elle devint furieuse.

------- Comment ça tu dois t'en aller ?

------- J'ai une urgence et je dois m'en aller, pas besoin de me justifier tu comprends ?

------- Donc toi personne ne peut passer un quart d'heure avec toi ?

------- Si mais j'ai une urgence, qu'est-ce que tu ne comprends pas dedans ?

------- C'est toi-même qui m'as dit de venir et tu me traites comme ça à présent ? On verra bien la suite.

------- Que veux-tu dire par on verra bien la suite ?

------- Tu auras tes yeux pour voir et pleurer.

------- Je te jure que si quelque chose m'arrive tu ne t'en tiras pas, crois-moi.

------- Euh je ne te menace pas juste que je suis déçue de ton comportement donc tu auras tes yeux pour pleureur après quand tu auras besoin de moi et que je ne viendrais pas.

Je la ramenai chez elle et pris la route pour l'hôpital afin d'aller rester avec ma maman auprès de Blanche.

A moins de dix minutes de l'hôpital je reçu un coup de fil de ma mère :

------- Allo fils, tu es où ?

------- Maman je suis en route pour l'hôpital, je serai là dans moins de dix minutes.

------- Alors fait vite, il y a un problème ici.

Sans vraiment plus m'expliquer elle raccrocha, j'étais complétement perdu à force de penser, de réfléchir à ce qui serait arrivé. Était-elle revenue en elle-même avec des complications ou se serait-elle trépassée ?

Je m'immobilisai sur le parking de l'hôpital et je couru dans la chambre de Blanche où était sa mère, ma maman, mon père et le docteur.

------- Mais il y a quoi, pourquoi avez-vous arrêté les machines.

------- Personne n'a arrêté les machines, répliqua vivement le docteur.

------- Mais pourquoi tout en éteints alors ?

------- Calme-toi fiston, me conseilla mon père.

------- Ecoutez monsieur, continua le docteur : on ne sait comment mais il y a eu une masse au niveau de l'électricité et toutes les machines furent grillées.