Chapitre 30

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Sur le chemin de retour, nous nous sommes payé quelques verre dans un club au bord de la route.

Corinne était complètement bourrée lorsque nous sommes rentré. Et pour moi, il ne me  suffisait qu'une toute petite goutte pour faire le plein. Pour dormir la tête contre l'aube.

Corine marchait presque en titubant, et avait complètement perdu le contrôle. Les cheveux en pagaille, maquillage coulé. Je faisais tout pour la soutenir, tout pour qu'elle s'effondre dans mes bras. Pour que nos souffle se fusionnent.

Chez elle, elle était incapable de monter à l'étage. Nous sommes alors resté couché dans son salon. Les yeux pétillant de rêves. Les coeurs  bourrés de vie et nos  regards accroché au plafond faisait éclore l'infini. Nos oreilles étaient sur le même axe mais nous étions allongé en sens inverse. Entre deux parallèles qui se touchaient par l'extrémité. Nous sommes resté sans rien dire, comme si la chose la plus importante sur terre était le silence.. Ou se bruit que faisait nos coeur.

Un instant s'allongea et nous tissaient tendrement l'un vers l'autre. Jusqu'à ce que ma main se perdis sur sa peau. Nos corps beaucoup plus près que possible, beaucoup plus embrasé que d'habitude ce sont cherché. Et se sont retrouver dans un tout petit quelque chose qui se trouvait entre un baiser. Un baiser qui avait exactement le même goût que la poésie. Un baiser dramatiquement nostalgique qui clamait l'amour et l'interdit. Dans l'espace d'un cillement, entre deux monceaux de secondes nos âme se sont touchée pour créer leur propre paradis. Leur propre scintillement.

Affamé, mon être entier la réclamait, son corps et son parfum pour ses absences avenir au fil de l'éternité. Pour les saisons morte de la solitude. Et pour la nostalgie des instant découpé, où nous étions trop éloigné l'un de l'autre. Je fis pleuvoir sur son corps, une pluie violente d'ardents baisers. Qui foulaient tendrement chaque parcelle de sa peau. Et chaque morceau de son esprit. Ses jambes encerclèrent mon corps et mon cœur fut sous le plus doux étreinte qui soit.

Nos sentiments soudainement se dénudèrent tout comme nos âmes. Et tout s'arrêta. Je ne pouvais pas, je n'arrivais pas. Je voyais ton visage à la place de Corinne. Je voyais aussi celui de Justine. Je me demandais pourquoi ça ne marchait pas. Peut-être que je me trompait sur ce que mon corps voulais d'elle exactement. Ou du moins, nos sentiments n'avaient-ils pas assez de force, pas assez d'épaisseur pour nous unir contre tous

Corinne me regarda dans les yeux et je me vis avec toi. Sous un ciel maladivement bleu. J'étais couchés sur le sable de la mer à tes côtés. La mélodie fascinantes engendrée par le ressac des vagues nous berçait. L'écume de la mer mugissait et le vent autour de nous soufflait. On oubliais les mots de tous les jours, ont se contentait de ces maux que l'ont appelait sentiments.

-Sandro est ce que ça va?

Corinne me tira de notre monde et m'enbrassa sur la bouche pour m'emporter dans son monde à elle. Un monde où les seules frontières de la soif étaient l'impossible.

J'ai fermer les yeux, puis j'ai tout oublier. Je l'ai élevée jusqu'au ciel et j'ai ouvert ma bouche béante devant toute la splendeur de sa beauté. Les lèvres entre-ouverte, mes doigts se sont baladé dans la vallée de ses hanches. Et Corinne se laissa refroidir dans le creux de mon épaule. Ce morceau de paradis qui t'a appartenu et qui toujours t'appartiendra.

Après, tout est devenu calme... Nous sommes resté l'un près de autre. Sur les rivages doux, des sentiments passager.

                     

                         ***

Au matin, lorsque la ville se réveillait et que les bruits du dehors s'amplifiait. Corinne à crier

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