Harry et Voldemort VS Dumbledore

Chapitre 2

Les jours passent, quand Narcissa ne pouvait pas s'occuper d'Harry, ni Severus c'était Lucius qui avait sur ses genoux Harry et l'aider à lire. Il avait beaucoup de mal, il écorchait des mots que Lucius stoppa la lecture et lui faisait répéter le mot qu'il n'arrivait pas à épeler. Parfois, Drago inséra une feuille avec une grosse faute d'orthographe que Lucius grogna. Drago avait marqué « Farmacie » au lieu de « Pharmacie » mais quand il entendit que cela pouvait faciliter la lecture à Harry. Finalement, Harry s'en sortait mieux qu'avant. Drago aidait beaucoup son père et cherchait toujours le moyen d'aider Harry d'épeler le mot plus facilement. Une journée, Severus avait trouvé Harry, Drago avec Lucius. Harry était en face d'un tableau à craie. Il devait écrire un mot au hasard mais surtout ça l'aider à améliorer sa façon d'écrire. Drago l'aidait pour les mathématiques que son père avait mis au tableau. Ils avaient commencé par le plus simple, l'addition, les soustractions puis ils ont fini par le plus dur. Mais avant de commencer la multiplication, Lucius qui avait pris plaisir à faire classe aux deux enfants surtout à Harry d'où encore pour lui s'était difficile, avait écrit les tables de multiplications sur le tableau et Harry devait les finir. Severus s'était amusé à les regarder. Parfois Lucius grondait Harry et lui redemande de vérifier encore. Drago lui donna l'astuce de compter avec ses doigts si c'était trop difficile de le faire mentalement. Il lui montre l'exemple en finissant la table de neuf en utilisant ses mains. Harry comprenait mieux, et il apprenait plus rapidement que n'importe qui quand Drago et Lucius parfois lui expliquent. Harry était fière à chaque fois. Parfois à chaque fin de journée, Harry devait réviser pour persévérer. Lucius voyait les efforts que faisait Harry pour réussir et surtout pour leur montrer qu'ils pouvaient être fière de lui. Malefoy savait qu'Harry ne voulait pas le décevoir. Parfois Lucius les lâchait quand ils étaient fatigués des exercices et surtout que leurs petits cerveaux n'en pouvaient plus. Narcissa l'aidait aussi de temps en temps sur l'écriture. Harry utilisait un stylo moldu que Severus avait acheté pour faciliter Harry qui plus-tard aura une plume entre ses mains. Et plus les jours passaient et plus Harry s'ouvrait. Il donnait sa confiance et leur faisait avouer ce que lui avait vécu ou même leur avait fait montrer à partir de la pensine. Les trois personnes étaient tous terrifiés, en colère, une haine indescriptible de ce qu'avait vécu Harry. Severus avait été à Gringotts pour adopter Harry Potter et le garder sous son aile. Cela avait été accepté. Mais Severus découvre que Harry avait pour parrain Sirius Black qui est depuis quelques années maintenant, en prison. Drago s'est montré surprotecteur envers Harry. Même quand il recevait ses amis Blaise Zabini, Théodore Nott, Pansy Parkinson. Il ne voulait plus qu'on fasse du mal à Harry. Les amis de Drago le voyaient changer. Leurs parents avaient plongé leur tête dans la pensine pour voir que le Survivant n'était pas en sécurité chez les Dursley. Harry s'était montré très timide, il se cachait principalement derrière les jambes de Lucius ou de Severus. Pour Harry, c'était nouveau pour lui de voir les amis de Drago et il avait peur d'être rejeté ou frapper. Drago faisait toujours tout pour l'intégrer tout en gardant une protection sur lui. Les enfants avaient eu aussi le droit d'aller voir les souvenirs d'Harry et ils étaient pétrifiés sur place de voir que le jeune garçon qui se montrait méfiant était juste inquiet ou qu'il avait peur d'être frapper à nouveau. Dobby appliquait toujours la pommade verdâtre sur le corps d'Harry. Une journée, Lucius avait découvert cette pâte sur le corps de son protégé et avait demandé des explications à Dobby qui expliqua que c'était à base de plantes et que cela lui soulageait des douleurs. Dobby avait même fait montrer le lendemain, l'amélioration des plaies et Lucius était quelque peu rassuré de voir les plaies cicatrisées. Il laissa Dobby agir, Poppy vérifiait une fois par mois l'amélioration de santé d'Harry et à son plus grand bonheur. Harry allait mieux et il reprenait du poids convenablement. Harry et Drago ont neuf ans maintenant et ils jouent beaucoup ensemble. Harry apprenait toujours plus sur le monde de la magie. Il apprenait aussi à faire des potions comme Drago. Severus leur enseignait. Au début, Harry n'y arrivait pas et faisait exploser le chaudron. Il s'excusait toujours. Narcissa lui disait toujours que c'était l'œuvre d'un apprentissage dur et que s'il persévérait. Il réussirait toutes les potions. Severus était d'accord comme Lucius. Ils avaient tous passé par là avant de devenir un bon ou excellent potionniste. Plus Harry persévère, moins il fait exploser le chaudron. Drago l'aidait beaucoup dans son explication de comment découper chaque ingrédient. L'entraide entre les deux garçons faisait sourire Lucius et Severus qui les observaient depuis le début du cours de potion. Comme toujours Harry écoutait Drago et appliquait ses leçons à la lettre. Il ne faisait plus aucune erreur depuis. Toujours sous les conseils de Drago, il lui donnait des astuces faciles. Harry était fasciné de voir que Drago connaissait mieux que lui cette matière et il doit avouer que parfois il demandait toujours à Drago s'il coupait bien ou s'il avait le volume des flammes étaient bon. Il avait quelques hésitations mais il faisait toujours un excellent travail. Parfois Drago ne l'aidait plus. Il lui disait seulement à voix haute. Quand Harry commença à comprendre comment fabriquer chaque potion. Il ne demandait plus de l'aide de Drago, à sa plus grande surprise pour lui. Quand Severus regardait chacune des potions de Harry, il les trouvait parfaitement réalisées. Il n'avait plus à s'en faire, il n'avait plus besoin d'entraîner Harry. Il était fière de lui. Malgré qu'Harry ressemblait à cet infâme James qui l'avait martyrisé durant sa scolarité. Son fils, lui, ne lui ressemblait pas niveau comportement, ni dans sa manière d'agir. En même temps, il n'avait jamais connu son père. Il ne pouvait pas copier sur lui.