Chapitre 34

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Ils vont au Ministère de la magie de New-York et Tina demanda à un conseiller si la présidente était dans son bureau. Le conseiller l'affirme qu'elle le remercie. Ils traversent les couloirs qu'une fois devant, la jeune femme frappa à la porte.

— Entrer !

Tina et les deux garçons entrent dans le bureau qu'elle referme derrière eux puis la Présidente demande surprise par leur venue.

— Que se passe-t-il ? N'êtes vous pas en repos puisque votre entraînement de la journée et de votre cours avec Monsieur Dragonneau est finit depuis longtemps ?!

— Il valait mieux vous prévenir que guérir comme on dit. Tenez, Harry vient juste de la recevoir. Je pensais qu'il valait mieux... vous en parlez puisque c'est moi qui en a eu l'idée.

Drago lui remit la lettre et s'écarta, Tina soutenait Harry en frottant son bras calmement. La Présidente la lit et la pose sur son bureau.

— En effet, vous avez bien fait. Je pense que je vais endurcir votre entraînement Monsieur Malefoy, Monsieur Potter ! Si vous voulez sauver votre mère et votre mère. Il vous faudra plus d'entraînement.

— Mais Madame la Présidente, ils vont finir par être essoufflés, épuisés. Ce n'est pas le but que nous recherchons chez eux. Ils ne sont qu'en sixième année à Poudlard. Ils ne connaissent pas tout.

— Tina a un peu raison, si on s'épuise. On sera inutile pour la bataille à venir.

— Jusqu'à vouloir laisser Madame Potter se faire tuer ? Vous êtes conscient qu'elle peut mourir avec un homme pareil.

— Nous le savons mais il faut parfois faire de lourds sacrifices. Si on s'épuise, c'est Dumbledore qui aura gagné. On ne peut se le permettre d'être ainsi vulnérable devant lui en étant fatigué. Je veux bien en revanche faire deux heures de plus mais pas plus tous les deux jours.

La Présidente réfléchit puis accepta et donna aussi à Harry deux heures de plus tous les deux jours. Une fois de retour, Norbert s'était inquiété mais en voyant sa femme et Drago s'inquiétaient pour Harry qui avait le visage rougit par ses larmes. Harry alla dans sa chambre. Il prit un journal et écrivit puis elle s'effaça.

« Salut Tom, comment cela se passe au manoir et aux entraînements ? Pour nous, cela avance bien mais Dumbledore m'a retrouvé en m'envoyant Hedwig, mon harfang des Neiges. Je ne sais plus ce que je dois faire. Pourtant je ne peux pas prévenir ma famille. Il mettra sa menace à exécution si jamais je préviens ma famille.

Harry. »

Du côté de Tom alias Voldemort était dans son bureau quand il vit son livre briller. Il l'ouvre et le lit. Il répondit à Harry qui était allongé sur son lit. En voyant son livre scintiller, il le prit et le lisa en étant couché.

« Bonsoir Harry ! Cela se passe bien au manoir ainsi qu'aux entraînements même si Lucius et Severus se crêpent le chignon parfois mais ton père ne cède pas et cela fait rager encore plus Lucius. C'était marrant à voir. Tu aurais été là, tu aurais ri de la scène. De toute façon, Dumbledore ne peut te retrouver. Tu es à New-York, là où se trouve la plus grande communauté magique des sorciers. Il ne prendrait pas ce risque d'envoyer un de ses larbins te kidnapper. Qu'as-tu Harry ? Je te sens triste, dis moi ce que je peux faire pour toi ? Ne pas prévenir sa famille est idiot à moins que tu as une raison valable. Raconte-moi, tu sais bien que l'on se confie tous nos secrets. Je n'ai encore rien dit à Severus ou à Lucius que tu aimais les hommes. Alors raconte moi en détail ce qu'il se passe Harry.

V. »

Harry se pinça la lèvre inférieure et prit son crayon avant de répondre à Tom.

« Ne préviens pas ma famille, s'il te plaît. Dans la lettre que Dumbledore m'a remis par Hedwig. Il a dit qu'il détenait ma mère Lily Potter et mon père James Potter. Il m'a aussi dit que si je ne me rendais pas dans deux jours à Poudlard. Il ne cessera de donner des Doloris à ma mère jusqu'à presque la tuer. Je ne sais pas dans quelle état est mon père. Il n'en parle pas. Mais il a dit aussi que si je préviens un membre de ma famille. Dumbledore mettra sa menace à exécution de tuer ma mère... Tom, que dois-je faire ? Je me sens perdu... On a été prévenir la Présidente du Ministère de la Magie et elle nous recommande d'être prudent mais aussi d'augmenter nos heures d'entraînements magiques avec les Aurores.

H.S. P. »

Tom découvre le message et est rempli de rage contre Dumbledore mais il se questionna avant de répondre à Harry.

« Harry, n'y va pas, c'est un piège. J'ai tué tes parents, même si cela aurait été sous polynectar. Tu ne crois pas que si tes parents qui auraient étés des imposteurs, n'auraient plus l'apparence de tes parents après leur mort. Severus avait ta mère dans ses bras, inerte. Réfléchis un peu Harry. Je te mets en garde mais s'il se passe quoi que ce soit, préviens moi mais ne rejoins pas Dumbledore. C'est ce qu'il cherche à faire en te faisant s'aider en parlant de tes parents. Et comment d'après toi Dumbledore aurait pu avoir un cheveu ou un ongle de Lily et de James alors qu'ils se méfient de lui depuis qu'ils ont été à Poudlard. Ne sois pas impulsif Harry. Tu le regretteras amèrement.

V. »

Harry efface ses larmes qui font un point de ce que Tom vient de lui dire. Il est vrai que ses parents se méfient depuis longtemps de Dumbledore. Deuxièmement, si Voldemort avait tué ses parents, Lily ne se serait pas sacrifié par amour pour son fils si c'était sous l'effet du Polynectar. La personne n'aurait pas agi ainsi face à Voldemort. La complice de Dumbledore aurait laissé Voldemort le tuer. Cela tenait la route de ce que lui disait Tom. Il se leva du lit après avoir marqué sur son livre. « Merci, Tom. » Drago tourna sa tête vers la porte de leur chambre et il vit Harry y sortit avec un autre regard.

— Harry...

— Dumbledore ment !

— Mais Harry, il a tes parents...

— C'est un mensonge pour m'attirer...

— Explique toi Harry demande Tina comme Drago et Norbert qui cherchent à comprendre.

— Je viens de parler avec Tom alias Voldemort. Je lui ai tout dit mais Dumbledore ment. Mes parents se méfient depuis leur scolarité à Poudlard, de Dumbledore. Et de plus si Dumbledore avait mes parents et qu'il aurait utilisé du Polynectar sur deux de ses complices. La complice sous l'apparence de ma mère ne se serait pas sacrifier pour se prendre à ma place le « Avada Kedavra ». La complice de Dumbledore aurait trop peur de Voldemort et surtout elle aurait laissé Voldemort me tuer. De plus pour appuyer la vérité. Cela faisait plusieurs heures que ma mère et mon père étaient morts. Severus détenait ma mère dans ses bras, morte. Le polynectar aurait cessé depuis longtemps d'agir.

Ce que disait Harry tenait debout mais Drago posa la question.

— Mais pourquoi dire qu'il détient tes parents et qu'il ferait du mal à ta mère sous les Doloris si tu ne venais pas ?

— Parce qu'il sait que je suis orphelin et que j'ai toujours rêvé d'avoir une famille Drago. C'est pour cette raison que Dumbledore a pensé m'attirer en pensant à mes parents.

Les larmes surgissent à nouveau, tout était clair pour eux. C'était un piège bien tendu par Dumbledore. Drago prit Harry dans ses bras. Il le réconforte avec ses mots. Il savait qu'Harry voulait son père, Severus en ce moment, mais il ne fallait pas. Ils devaient rester cachés. C'était pour leur bien.

Harry et Voldemort VS DumbledoreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant