Harry et Voldemort VS Dumbledore

Chapitre 10

Les Serpentards étaient plus méfiants vis-à-vis des Gryffondors. Drago et son groupe ne lâchaient plus Harry. Ce dernier faisait toujours autant gagner les Serpentards au Quidditch et n'avait plus recommencé sa feinte. Il avait demandé à son capitaine de si en cas de force majeur, il pouvait la refaire pour semer son poursuiveur. Son capitaine lui propose d'abord d'aller le proposer à son père avant d'avoir son accord. Harry se rappela de la frayeur qu'il avait fait à sa famille et il était légitime d'en parler d'abord à son père et surtout à Drago. Ce dernier était réticent quand son petit frère venait de lui demander. Mais il lui accorde en étant prudent lorsque cela arrivera. Harry lui fait un baiser sur sa joue en souriant, le remerciant. Il alla le demander à son père qui discutait encore avec Remus qui le félicita pour sa victoire. Harry demanda à son père s'il pouvait en cas de force majeur, utiliser sa feinte si jamais son poursuiveur ne le lâchez pas. Rogue réfléchissait beaucoup que Remus l'interrompit en disant à Harry qu'il pouvait le faire mais à la condition comme il le dit. Si son poursuiveur ne le lâche pas. Même si le Vif d'Or le fait, il n'est pas d'accord que Harry le fasse aussi. Le Loup-Garou lui fait comprendre que la petite balle peut être rusée et rapide mais Harry doit jouer à la ruse. Harry comprit, c'était plutôt une bonne idée. Jouer à la façon Serpentard sans foncer tête baissée. Si la petite balle était intelligente et rusée mais aussi rapide. Il devait aussi réfléchir à un plan. Rogue voulait bien répliquer mais les mots du professeur l'avaient convaincu. Harry était heureux, maintenant c'était de comprendre comment fonctionnait la balle volante. Il prit un parchemin et réfléchissait. Drago entra dans la chambre et découvrit Harry en train de réfléchir et de travailler. Il ne s'était même pas changé. Lors de l'entraînement de demain, il faisait un test avec la balle volante, il s'arrêtait toujours pour écrire ce qu'il observait. Son capitaine le voyait réfléchir. Une fois l'entraînement fini. Harry avait trouvé une solution pour l'attraper plus facilement, il en parla à son capitaine en lui montrant son parchemin et sa tactique. Son capitaine le voyait plus rusé que la boule volante. Il lui ébouriffe les cheveux en lui disant qu'ils le testeront en entraînement avant de le tester en compétition. Harry était d'accord. Il alla voir son père et Remus qui discutaient toujours ensemble. Il montra son parchemin que Remus sourit. Severus était fière de son petit garçon. Le survivant mit son parchemin en rétrécissant sa taille dans sa valise une fois dans sa chambre et parla de son plan avec Drago qui sourit. Désormais, en entraînement, Harry poursuivait le Vif d'Or mais quand il changeait de direction, il plongea, disparaissant de vue du Vif d'Or qui le cherchait de vue. Il ne vit pas Harry en dessous. Il remonta silencieusement qu'il l'attrapa. Il vient se poser sur le terrain, son capitaine le félicita et son plan était un génie mais il fallait qu'il se dépêche d'abord à le trouver le plus rapidement possible avant l'adversaire. Harry se promit de s'entraîner. Son capitaine le savait, Harry allait devoir s'entraîner durement. Durant toute son année de scolarité, Harry persévère sur ses cours et ses devoirs. Une nuit, avant les BUSES, Harry stressait et n'arrivait pas à dormir. Il prit sa cape d'invisibilité et sortit pour se promener dans les couloirs. Il regarda partout quand il entendit des voix. Il s'approcha et découvrit Hermione Granger et Ron Weasley discutaient en pleine nuit. Il les suit et les écoute.

— Rah, il m'énerve, s'il ne disparaît pas, Gryffondor ne gagnera jamais.

— Pourquoi Dumbledore nous convoque en pleine nuit d'après toi !

— Certainement pour parler de lui.

— Je rêve d'avoir sa collection de livres...

— Dumbledore te promet Hermione, les livres de la famille Potter seront à toi.

— Et toi et ta famille, vous aurez ses biens !

— Oui, fais chier ! Ce gosse ne pouvait pas aller à Gryffondor, Dumbledore aurait pu le mettre sous la potion d'obéissance.

— Ce sont les mangemorts les responsables, Ron. C'est eux qu'il faudra tuer en premier.

— Attendons en septième année avant de les tuer. Nous nous débarrasserons ensuite de ce bâtard de Potter une fois marié à ma sœur jumelle. Et à nous la récompense. On sera enfin riche.

— Oui et moi, pleins de connaissances et savoirs sur les siècles passés dans le monde des sorciers.

Ils arrivent devant la porte du directeur, Dumbledore, ils entrent après avoir donné le mot de passe. Harry s'arrêta et écouta.

— Vous savez pourquoi vous êtes là ?

— Oui, pour parler de l'autre clébard de Potter.

— Mais aussi de Severus Rogue et de la famille adoptive de Potter. Ils l'ont tellement corrompu que je n'ai plus d'autorité sur lui.

— Il aurait dû aller à Gryffondor, pourquoi votre sort n'a pas fonctionné ?

— Quelqu'un l'a levé ? Je cherche toujours le coupable. Mais quand Potter aura dix-sept ans, à la fin de sa scolarité, il épousera Ginny. Mais je sais que si il est là. Il ne vivra pas longtemps. Le verrou le tuera donc à sa sixième année, il se mariera avec Ginny de force. Nous l'enlèverons et il sera porté disparu pendant quelques mois. Voldemort sera bientôt de retour et voudra le tuer mais s' il a disparu. Il s'en fichera.

— Vous m'avez promis des livres d'une rareté incroyable.

— Ils seront à vous mademoiselle Granger, une fois Potter tuer. Nous nous reparlerons une autre fois pour parler du plan d'enlèvement, de comment s'organiser. Allez vous reposer !

Ils saluent leur directeur qu'ils partent mais Harry partit en courant, il se cogna dans une personne qu'il tomba sur ses fesses. Il découvrit Rusard !

— Oh toi !

— Non, je veux voir mon père c'est urgent... Je veux le voir, s'il vous plaît...

Rusard savait qu'Harry était le fils adoptif de Severus et qu'il n'aimait pas qu'on s'en prenne à lui. Il le laisse mais en lui collant un avertissement qu'Harry remercie. Il alla dans le dortoir de son père. Le visage était rempli de tristesse, ses larmes coulaient abondamment. La dame gardant l'appartement lui ouvrit sans qu'Harry est eu besoin de lui donner le mot de passe. Tous les tableaux étaient au courant de la relation qu'entretenaient Rogue et Harry. Il avait des privilèges que les autres n'ont pas. Harry se dirigea vers la chambre de son père qui dormait, toujours en pleurant. Il s'approcha du lit et le secoua un peu. Rogue grogna mais quand il entendit la voix pâteuse de son fils, rempli de tristesse. Il dut sortir de son nid pour lui faire face. L'horreur qu'il découvrit était un Harry pleurant, ne s'arrêtant plus.

— Harry, tu as vue l'heure qu'il est ? Grogna Rogue. Qu'est ce qu'il y a mon chéri ?

— Et bien... je n'arrivais pas à dormir alors je suis sorti sous ma cape d'invisibilité pour prendre l'air. J'étais stressé pour les BUSES. En chemin, j'ai vu Weasley et Granger allant vers le bureau du directeur... J'ai écouté une partie de leur conversation... Je... Je... ne veux pas mourir...

— Harry calme-toi ! Dobby ?

Un elfe apparaît et parla d'une voix douce.

— Oui maître...

— Va réveiller Lucius, nous arrivons. Dis lui que c'est important.

— Bien maître...

Dobby partit au manoir des Malefoy, Severus alla s'habiller qu'il prit la poudre de cheminée et emmena Harry avec lui. Lucius et Narcissa grognent de rage d'être réveillés. Mais quand Dobby leur annonça que s'était important, c'est que Severus avait des raisons de les déranger. Ils vont s'habiller en se rendant dans le salon où Severus et un Harry pleurant les attendait. Narcissa le prit rapidement dans ses bras que Lucius rageait au fond de lui de voir son petit protégé pleurer.

— Qui ?

— C'est par rapport à Weasley, Granger et Dumbledore.

Lucius était bien curieux, Ils s'assoient sur les canapés que Harry essaya de se calmer sous la voix et les caresses de sa tante.

— Harry, t'es en sécurité avec nous...

C'était Lucius qui rassurait en vain Harry.