Lien sanglant [NaruHina]

Chapitre 18

Vous connaissez le principe !

••• pour le début et la fin des choses coquines qui sont un peu plus élevées que la dernière fois !

Bonne lecture à tous !

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Naruto

Ça doit bien faire une dizaine de minutes que j'observe ma petite globule d'un regard que je sais sauvage et désireux, maintenant à quatre pattes au dessus d'elle.

Son visage calme et paisible, son sourire enfantin et tellement craquant, ses lèvres rosées et pulpeuses que je veux caresser avec les miennes, sa magnifique poitrine, ferme et aux courbes si délicieuses, se soulevant au rythme lent et régulier de sa respiration, son ventre plat mais pourtant musclé que dévoile légèrement son haut relevé, son bassin, qu'elle tortille de temps à autre pour se mettre à l'aise, ses cuisses fortes que je meurs d'envie de sentir enrouler autour de mes hanches, m'attirant à elle à chacun de mes coups de reins, et ses mains que j'ai envie d'avoir dans mes cheveux, les tirants légèrement et exprimant son plaisir.

Je suis fou d'elle, de ce petit bout de femme qui est si forte et si parfaite à mes yeux et dont j'ai envie de posséder chaque parcelle encore et encore sans interruption.

Mon bas ventre ressemble à un brasier ardent et je sens une petite érection pointée le bout de son nez rien qu'en la contemplant. Je la veux, là, tout de suite, mais je m'en voudrais de la réveiller et si en temps normal, je me moque de faire du bruit, il y a quand même mes parents et ceux de mes amis en bas...

Et pourtant... j'essaye de m'en convaincre, de me dire que je ne peux pas faire ça maintenant, alors qu'Hinata a été affaiblie par l'utilisation de son œil. Mais mon cœur tambourinant dans ma poitrine à un rythme effréné est bien plus fort que n'importe lequel bon sens et je sais que le lien au trois quart établi n'y est quasiment pour rien.

Avant, je la regardais de loin, je ne pouvais pas la toucher, je ne pouvais pas capturer ses lèvres ni la regarder dans les yeux, pouvant simplement sentir son odeur, mélange de fruits rouges qui m'attirent constamment vers son corps parfait, vers cet esprit robuste et loyal.

Ma tête penche d'elle-même vers son visage, vers ses lèvres pulpeuses qui semblent désespérément m'appeler à la luxure. Je capture sa bouche, un faible gémissement quitte sa gorge et me fait sourire. Elle remue faiblement tandis que je caresse sa lèvre inférieure avec ma langue, la mordillant légèrement.

Elle répond volontiers à mon baiser, ondulant ses lèvres contre les miennes avec une parfaite synchronisation. Ses doigts fins glissent habilement dans mes cheveux, les caresses, les tires vers l'arrière pour mieux les ramener vers elle ensuite.

Ses sens sont maintenant en éveils, j'entends son cœur tambouriner dans sa poitrine, sa peau chaude le devient encore plus pour atteindre une température aussi élevée que la mienne.

- Tu as le don de me réveiller en douceur, chéri...

- Il le faut bien... je n'ai pas résister... tu n'imagines pas quels pouvoirs tu as sur moi... chaque fois que mes yeux se posent sur toi, j'ai envie de te dévorer et de goûter chaque parcelle de ta douce peau...

Elle rit avec joie, avec ce sourire que j'aime tellement voir encore et encore, que je veux voir pour toujours.

- Si tu savais. Tu me fais le même effet, surtout quand je vois cette lueur sauvage dans tes yeux... je n'arrive pas non plus à te résister...

Ses bras enserrent ma nuque pour me ramener à elle avant que je ne sente la douceur de sa bouche ainsi que son souffle chaud s'écraser sur ma peau, y laissant une sensation de brûlure. Sa langue vient glisser avec une lenteur calculée dans mon cou, accentuant mes frissons de plaisir.