La fille d'un mafieux

Hitachi

J'étais en train de me faire  tabasser par les gardes de Raphael. Comme d'habitude ils commençaient par le visage, coups de poings sur l'oeil, le nez puis la mâchoire. Ils allaient s'en prendre à mon ventre quand un bruit résonna dans toute la chose qui me retiens enfermé.

Un des gardes remonta les escaliers, il mit son arme en avant pour tiré au moindre mouvement suspect. Il poussa la porte doucement en faisant dépassé légèrement son arme. Il n'eu pas le temps de faire un pas de plus qu'une personne lui pris son arme. Il se prit la porte et dévalisa les escaliers.
Un mec d'une vingtaine d'années je dirais est en haut de la porte. Il est munît d'un gilet pare-balles, d'un neuf millimètre qui est positionné au niveau de sa cheville gauche et il tient fermement un calibre.

? : C'est finis ! Posez vos armes ou je vous tue !

A ma surprise les trois gardes qui sont devant moi déposent leurs armes à terre.

Garde : Vous ne savez pas à qui vous avez affaires, bandes de crétins !

Le mec descends les escaliers en rigolent et  toujours en pointant son arme sur les gardes.

? : Hitachi je suppose. La reine t'attend.

Les visages des trois gardes se décomposaient.

? : Voyons les gars, qui voudrais sauver cette homme ?

J'ouvris grand les yeux et le mec vu ma surprise car il continua son discours.

? : Je m'appel Rida, Alia m'a chargé de vous cherchez et de vous ramenez à elle.

D'autres agents arrivent et se chargent des gardes. Rida se charge de m'enlever les liens qui sont attachés à la chaise.

Rida : J'ai un médecin qui est dans la voiture, il vous emmènera directement chez Alia.

Moi : Comment elle va ?

Il se relève et se tourna. Je vis qu'il sert les poings mais je ne comprends pas pourquoi.

Moi : Qu'est-ce qu'il lui est arrivé ?!

Il est toujours tourné mais cette fois ci il penche la tête.

Moi : Je veux voir ma soeur !

Rida : Vous n'êtes pas en état pour la voir et puis ce ne serait pas une bonne idée de la voir maintenant...

Moi : Tu n'as pas à décider pour moi !

Il se retourne et me lança un regard noir.
Avant de parler il me pointe de son index.

Rida : Écouter moi bien ! J'ai reçu des ordres qui sont de vous ramenez à la villa et non de vous baladez partout. Alia a énormément de travail et elle ne doit sous aucun prétexte être déranger donc maintenant vous allez me suivre gentiment sans faire d'histoire !

Il se trame quelque chose mais malheureusement je ne sais pas quoi....

Moi : Très bien, de toute façon je ne suis pas en état.

Rida : Bien, maintenant en route.

Il me pris par le bras et m'aida à monté l'escalier. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas vu la lumière du soleil que je ferma automatiquement les yeux, je tribucha mais heureusement Rida me releva au bon moment. Je mis quelques secondes avant de réouvrir mes yeux.

Rida : Le brancard est juste là. Le médecin est ses collègues vont prendre soin de vous. Vous êtes maintenant en sécurité.

Moi : Merci.

Je m'allonge sur le brancard et me laisse emmener. Je profite du vent qui caresse mon visage, de l'air qui chatouille mes narines et des bruits qui chantonnent à mes oreilles.

Je souris en pensant que c'est grâce à ma soeur que je suis vivante. Ma petite soeur, quand on se verra je te remercierai soit en certaine.