Alia

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Une larme commença à couler sur ma joue, je ne me retiens pas et pleure.

Moi : J'aimerais tellement que tu sois là. Que tu me prennes dans tes bras. Tes bras protecteur me manque. Ta voix grave, chéri tu ne peux pas savoir comment le son de ta voix peut me manquer. Tes lèvres, j'aimais les regarder quand tu me parlais, même quand tu me gueulais dessus, je trouvais que tu étais mignon quand tu te mettais en colère. La veine de ton front se voyait depuis le bout du monde et aussi, ta mâchoire, elle était carrée enfin plus que d'habitude. J'aimais tous chez toi, plus tes qualités mais les défauts que tu te trouvais je les aimais. Je t'aimais toi et ils t'ont arraché à moi. Je te promet qu'après tout ça, après les avoir tous éliminé j'irais te rejoindre. Sans toi je ne peux pas, j'ai essayé, je te le jure mais tu n'es pas là à mes côtés et je perds pied. Sans toi j'ai du mal à vivre, même respirer je narrive presque plus, tu es mes poumons, tu étais la raison de mon sourire, la raison de mon rire, la raison de mes cries de colère, tu était tout pour moi mais ces enfoirés ton pris. Je vais te venger je te lai promis et ensuite, quand tout sera fait je pourrais te rejoindre lâme en paix.

Rayan : Alors comme sa toi aussi tu as perdu un être cher ?

Moi : Rayan ? tu es bourré ?

Rayan : Non pas cette fois, je voulais enfin voir qui me tirais dessus et cette fois ci tu nas pas sortit darme à ce que je vois.

Il parlait dune voix assez faible, sa voix avait lair triste.

Rayan : Tu ne tattendais pas à me voire ?

Moi : Laisse-moi ! Dis-je dun ton énervé.

Rayan : Tu viens de dire que tu te suiciderais alors non je ne partirais pas.

Il savança, se plaça à côté de moi avec deux bouteilles de vodka à la main. Il me tend une bouteille que je ne refusa pas. Une vodka ne se refuse jamais. Je commence à boire au goulot et je ne marrêta quà la moitié de la bouteille. Oui, jen avais besoin.

Rayan : Cest bien connu boire pour oublier. Toi tu dois beaucoup avoir de chose à oublier pour boire aussi vite.

Moi : Mais moi je ne bois pas tout les soirs. Et je tiens comparé à certains.

Rayan : Tu ne sais rien de moi ! Et puis je tiens très bien cest juste que

Moi : Ne te cherche pas texcuse tu sais que jai raison. Bon, aller à toi.

Rayan : Comment ça ?

Moi : Je pense que ça fait longtemps que tu es là et donc tu as du tout entendre. Alors parles de toi.

Rayan : Ce nest pas trop mon genre de parler de moi.

Moi : Je ne suis pas du genre à parler au connard mais je le fait là. En plus tu me le dois.

Rayan : bon daccord Jai perdu mon frère il y a deux mois.

Moi : Toutes mes condoléances, sans être indiscrète il est mort de quoi ?

Il ma lair paniqué, il regarde la tombe de son frère. Repris son souffle et dun ton calme il me répondis.

Rayan : Tout es à cause de mon frère. Cest lui qui las tué.

Je compris, tout étais clair dans ma tête et pourtant je trouvais sa bizarre que lui, ne sois pas mêler à lhistoire de la mort de Steven. Mon but était quil avoue et jaurais sortis mon arme et je laurais abattu mais non il ne dit rien. Je ne savais pas quoi dire alors je pris ma bouteille et la finis cu sec.

Moi : Ravis davoir parlé avec toi.

La fille d'un mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant