Alia

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Quand j'ouvris mes yeux je vis une porte. Je fronça mes sourcils et me releva, j'étais dans mon lit.

Il y a avait un paquet sur mon lit, alors je le pris et l'ouvris.

Moi: Whoua

Raphael: Elle te plaît ?

Je tourna ma tête vers Raphael, il étais là, dans l'encadrement de la fenêtre du balcon, les bras croisés et ses yeux posés sur moi. Je souris, reposa mes yeux sur la robe.

Moi: Oui, beaucoup. Merci Raphael

Raphael: Ne m'appelle pas comme sa !

Moi: Je croyais que tu me laisserais du temps ?

Raphael: Faits des efforts Alia !

Moi: J'en fais, crois- moi

Raphael: Alors tu porteras sa ce soir.

J'haussa un sourcil, je me tourne vers lui, il tiens un écrain bleu marine dans sa main gauche. Il s'avance doucement, s'assoit à mes côtés, poussa la boîte, posa sa main sur ma cuisse gauche.

Raphael: Je te promets de venir te chercher tous les soirs, de t'aider si tu en as besoin, de venir à ton secours dès que tu hurles mais je te promets surtout de t'aimer du plus profonds de mon âme.

Moi: Je.

Raphael: Je te demande rien pour l'instant, juste porte là.

Je reste quelques secondes à le regarder dans les yeux pour savoir si c'était vrai mais je ne vis aucune faille dans son regard. Je baissa mes yeux sur la petite boîte, l'ouvris, porta mes mains sur mon visage

Moi: Oh mais non, je ne peux pas, cela à du te coûter.

Raphael: Chuutt ! Rien de se que je t'achèterais ne t'arrivas à la cheville.

Moi: Arrête

Raphael: Pourquoi tu es aussi méfiante envers moi ?

Moi: Je ne sais pas

Raphael: C'est parce que je dirige la mafia ?

Moi: C'est vrai que tu as fait un pacte avec mon père ?

Raphael: Comment.

Moi: ARRETE DE FAIRE L'INNOCENT !

Il me pris par le coup, il me serra fort, trop fort

Moi: L-â-c-h-e- m-o-i

Raphael: NE ME CRIES PAS DESSUS !

Dans un revers de sa main il me balança par terre.

Raphael: Habille- toi ! Ton bal est ce soir.

il ne me regarde pas, il se regarda une minute dans le miroir pour remettre son costume droit et claqua la porte de ma chambre. Je resta sous le choque de ce qui venait de ce passer. Je mis ma main sur mon coup et rien quand le touchant j'eu mal. Je me leva, regarda dans le miroir et vis ses marques. Voilà pourquoi j'étais aussi méfiante. Ce qui vient de ce passer me rappela le jour où mon père m'avait frapper parce que je sortais avec Steven. J'en ai même une cicatrise dans le haut du dos. Mon téléphone sonne, je me dépêche de répondre sans prendre le temps de regarder le nom.

Moi: Allo ?

?: Alia, que t'arrive- t'il ? Ta voix, elle tremble

Moi: Tout va bien, que veux- tu Mickael ?

Mickael: Tu viens au bal ?

Moi: Oui

Je n'attendis pas sa réponse et raccrocha. Je prends une grande inspiration, souffle et me dirigea vers la salle de bain pour me préparer. Ma robe est rouge sang, elle est serré en haut avec des diamants et le bas est bouffant. Une robe de princesse. J'ai du appeler en urgence mes couturières pour refaire le haut enfin, pour avoir le cou caché. Je sentis des lèvres se poser sur mon épaules droite. Je me cripse.

Raphael: Je suis désolé pour tout- à l'heure. J'ai perdu mon sang- froid.

Moi: Ne me touches pas !

Raphael: Alia.

Je me retourne vite.

Moi: NE ME TOUCHES PAS ! SORS DE MA CHAMBRE

Il me regarda, fronça ses sourcils, serra les poings, ouvra sa bouche mais ne dit rien. Il se retourna et partit en restant un instant à ma porte.

Raphael: On pars dans 10 minutes.

Je me retourna, me regarda dans la glace et m'écroula au sol.

Moi: Hitachi. Si seulement tu pouvais être là. Tu me manques.

Au bout de 5 min, quelqu'un toque à ma porte

?: Madame, il me manque vôtre signature sur l'affaire N°120

Moi: J'arrive.

Je me releva, pris mon masque. Je descends les escaliers et vis Raphael sortir de la cave.

Moi: Tu faisais quoi ?

Raphael: Tu es magnifique

Moi: Tu préparais ma chambre ?

Raphael: Alia ne dit pas n'importe quoi

Je lui lâcha un regard noir et marcha en direction du bureau.

Raphael: Où vas- tu ?

Moi: Le plus loin possible de toi

Je ferma la porte et vis un de mes hommes avec les papiers. Je m'assois dans le fauteuil, pris un stylo.

Moi: Eh est- ce que vous aviez été sur le terrain comme je vous l'aviez demandé ?

Homme: Oui madame, nous avons aussi demandé le contrat de construction qui arriva lundi. Je le donnerais à Monsieur ?

Moi: Non ! Je veux que vous me le donniez en main propre. Et les habitations ?

Homme: Aucune habitation ne sera détruite, nous avons assez de terrain.

Moi: Eh bien, merci. Vous avez fait un excellent boulot.

Je signe les documents et les mets dans une pochette. La porte s'ouvrit d'un fracas.

Raphael: MAINTENANT SA SUFFIT ! TU VAS VENIR AVEC MOI QUE TU LE VEUILLES OU NON !

Il avait les sourcils froncer mais dès qu'il me vit assis et dans l'incompréhension.

Raphael: Je croyais que tu faisant ta gamine.

Moi: La preuve que tu ne me connais pas

Raphael: Je me suis déjà excuser

Moi: Les mots ne valent rien, si les actes ne suivent pas derrières

Raphael: La limousine est arrivé

Moi: J'arrive

Je me leva, donna la pochette à un de mes hommes et rejoignis Raphael. Je m'installe au plus loin de lui. Je regarda mon téléphone et vis pleins d'appels manqués de Rayan.

Raphael: Tu as mis la bague

Moi: Oui

Raphael: Il va falloir que ton caractère change

Moi: Aaah, Tu rigoles là ? Tu me frappes et c'est moi qui doit changé ?

Raphael: Je n'ai pas fait exprès

Moi: Ne refait plus jamais sa

Raphael: Tu sais que je suis puissant

Moi: Je le suis autant que toi

Raphael: Tu l'es parce que tu es avec moi

Moi: Je n'ai besoin de personne ! Je suis puissante et cela te fait peur. Je n'ai pas pleurer quand tu m'as étrangler et à partir de ce moment là, tu as sue que j'avais grandis.

Raphael: J'ai toujours su que tu l'étais.

Moi: Alors ne t'avises pas de refaire sa sinon je te tuerais.

Chauffeur: Monsieur ? Nous sommes arrivés

Je descendis de la limousine. Je ne me retourne pas mais rajouta.

Moi: Mets ton masque, c'est un bal masqué.

La fille d'un mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant