La fille d'un mafieux

Rayan

Je la regarda partir sans rien dire. Puis, je regarda la tombe devant moi, celle où Alia était agenouiller. Cest la tombe dun homme, sûrement son frère. Elle aussi aurait perdu son frère ?

Je pris ma bouteille de vodka et bu une gorger. Je repense à sa phrase, la seule d'ailleurs que j'ai entendue, « quand tout sera fait je pourrais te rejoindre l'âme en paix. ». je ne sais pas ce que sa veut dire mais j'ai envie d'en savoir plus. Je veux savoir pourquoi elle veut en finir, enfaite je veux la perssé à jour, découvrir qui elle est vraiment. Je ne sais pas pourquoi mais cette fille mintrigue vraiment beaucoup.

Je me leva et alla à la tombe de mon frère. Je regarde méthodiquement sa tombe, je remarqua quelle était cassée au bout, elle a aussi tout autour des ronds, les ronds se touchent tous. C'est marrant, je ne l'ai avaient jamais remarquer avant. Je pris une gorgé de ma bouteille de vodka en repensant à la nuit de la mort de mon frère. Enfin, moi je l'ai su que le lendemain matin. Je repense à la façons qua eu mon frère de me le dire, je repense à son regard haineux. Et le vide, le vide qui cest installé progressivement en moi en réalisant chaque matin qu'il ne reviendrait pas et qu'il est vraiment partit.

Flashback :

Il est 8 heures du matin et j'attends fermement mes frères qui devraient rentré surtout mon grand frère, Iruka, il fait partis d'un gang. Moi aussi d'ailleurs mais, il a osé mêler nôtre petit frère Nijō dans un de ses plans pourris. Il a emmené soit- disant pour lui apprendre ce qu'est la vie d'un homme. Il n'a que 14 ans. Mon petit frère, c'est tout pour moi, je le protégerais jusquà la fin de mes jours. Je compte bien quil fasse de grandes études, il est très intelligent, il ira loin. Le plus compliqué c'est Iruka, il est irresponsable et pense détrôné un mafieux en kidnappant sa fille. Il me désespère, la mafia sa n'existe pas mais lui il ne changera pas d'avis. J'étais dans mes pensé quand la porte souvra en trombe avec pour cause un Iruka pleins de sang et énervé avec un regard haineux. Je détournas mon regard pour regarder derrière lui, ces hommes rentra (cest le chef du gang) mais mon frère ? Où est mon frère ? Il en a fait quoi ? Ma respiration commença à devenir irrégulière et je commença à serrer ma mâchoire et mes poings. Je partis dans la chambre d'Iruka et dès que je le vis, mon sang ne fis quun tour et je ne pu m'empêcher de lui foutre un coup de poing dans sa gueule. Il sécroula au sol, se retourna et me regarda avec un regard noir.

Iruka : Mais pourquoi tas fait ça ? Tes fou ou quoi ?

Moi : Où est mon frère ?

Iruka ne répondit pas, il se leva, partit dans la salle de bain alla devant le miroir et se lava le visage pour enlever le sang qui coulait par ma faute.

Moi : REPOND !

Iruka cesse de se rincer le visage et mets ses mains sur les deux extrémités du lavabo. Il regarda le fond du lavabo avec un regard livide et parla tellement bas que je n'entendis pas ce qu'il dit.

Moi : Putain mais répond ? Où est mon petit frère !?

Iruka : IL EST MORT

En même temps son poing cest abattu sur le miroir en face de lui.

Moi : Qu'est-ce que tu as fait ?!

Iruka : On était....

Moi : Je ne te demande pas de me déballer ta vie, je te demande ce que tu as fait putain ! Toi, le sois- disant homme n'a pas su protéger son propre frère. Tu étais où ? PUTAIN MAIS OU TU ETAIS ? JE TE HAIS DAVOIR TUE MON FRERE !

Je commença à partir mais je rajouta une phrase :

Moi : Sache que pour moi tu n'es plus rien, tu as oser tué mon frère et pour sa tu vas le regretter. Je vais te faire vivre lenfer, je t'en voudrais jusquà la fin de mes jours.

Fin du flashback

Je pris ma bouteille et finis le peu qui restait, tout en fixant la tombe de Nijō.

Je me met à genoux en regardant son inscription.

Moi : Tu sais, je men veux, jaurais dû être là, jaurais dû être là pour t'empêcher de partir mais aussi jaurais du le tuer. Au moment ou il a dit que tu n'étais plus de ce monde, jaurais du prendre mon arme et appuyer sur la détente. Mais je n'ai rien fait. Je n'ai même pas sortit mon arme. Tu aurais pu avoir une si belle vie, une vie remplis de bonheur, de réussite. Putain j'ai tellement la haine, tu n'aurais pas dû mourir si jeune. Petit frère, pardonne- moi, pardonne- moi de ne pas t'avoir vengé.

Je me releva et tourna la tête à sa tombe.

Moi : Je te promets que je vais me faire pardonner. Je lui réglerais son compte moi-même.

Puis, je partit en direction de ma villa.