Chapitre 7

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"-Mi dispiace signora che i file siano riservati e senza l'accordo del dottor Looing, non possiamo divulgare nulla.
(Je regrette madame les dossiers sont confidentiels et sans l'accord de docteur Looing, on ne peux rien divulguer. )

Livia enlève la sécurité et colle son canon sur le front du médecin. Son regard pourrait faire fuir le plus grand criminel.

-Ucciderò te e tutta la tua squadra di merda. Troverò tutta la tua famiglia e il salasso se non mi dai tutto quello che chiedo. Va bene ? ( Je vais te tuer toi et toute ton équipe de merde. Je vais retrouver toute ta famille et les saigner si tu me donne pas tous ce que je te demande. D'accord ? )

Le médecin hésite, avalent sa salive. Comment peut-il hésiter ? Je lui aurais donné tous ce que je possède et je me serais fait dessus à sa place.

-Lo farà. (Elle va le faire). Rajoute le chauve, souriant.

L'homme hoche la tête avant d'ouvrir une armoire et de sortir un carton, les mains tremblants. Je contourne ma patronne et vérifie le contenu. Bordel, Enzo n'a pas un dossier mais une boîte. Je peux voir plusieurs CDS ainsi que des albums photos. Je l'entrouve et ça le donne envie de vomir. Livia ne peux pas voir ça. Son coeur de mère à déjà bien trop souffert. Je hoche la tête pour lui dire que c'est bon.

-Tourne la tête.
-Quoi ? Je demande en levant la tête vers elle.

Je n'ai le temps de rien faire que le bruit de détonation me fait sursauter me brisant mes tapants
Elle vient de tuer ce type. Mon corps se met à trembler alors que mes doigts serre le carton.

-Libera tutti i detenuti, darò fuoco alle cose. ( Libérer tous les détenus, je vais foutre le feu.)

Bordel.De.Merde.

-Prends tous ce qu'il te faut Emily, je reviens."

Je l'a regarde partir alors que des cris se font entendre. Je ne sais même pas de quoi, j'ai besoins. J'attrape un carton et mets tous les médicaments que je trouve dans la boîte sans même regarder les noms. Ça peut toujours servir.

"-Tu es mignonne toi.

Mon corps se fige.

-Ca fait longtemps que je ne me suis pas amusé.

J'attrape une paire de ciseaux et me retourne pour faire fasse à un homme d'une cinquantaine d'années, les yeux injecté de sang.

-Ca va être plus amusent si tu te débat, j'ai toujours aimé ça. Tu dois pas être toute jeune mais je vais me contenter de ça.

J'ai sûrement un pédophile devant moi. Il se jette sur moi, me metryse après plusieurs minutes ou je me suis débattu comme jamais auparavant, mon ciseau tombe par terre alors que je cris qu'on vienne m'aider. Une main baladeuse de faufile sous mon pull et l'instinct de survie prend le dessus. Mon coude rentre en contact avec son visage le faisant reculer mais il me tient encore. Du coin de l'oeil, je repère de la grosse ficelle. Et dans un instant de désespoir, je l'attrape et l'enroule autour de son coup. Je serre si fort que j'ai peur que la ficelle lâche.
L'homme agrippe mes cheveux tire dessus. Un bruit sourd raisonne avant que je ne sois aspergé de sang et que l'homme ne tombe sur moi. Je le pousse dans un cri. Diego est penché au dessus de nous, arme fumante en main. Je le remercie d'un signe de tête alors qu'il me tend sa main que je prends pour me relever. Je ne réalise pas encore se qu'il vient de se passer. Mais le chauve m'aide à prendre tous le stock de médicaments possible avant qu'on ne se dirige à l'extérieur sentant une odeur de brûler. Cette femme ne rigole pas quand elle parle de vengeance. Elle est entrain de brûlé un établissement entier et des années de recherche.

"-Ca va ? Me demande t'elle en m'analysant une fois installé dans la voiture.
-Oui, plus de peur que de mal. Diego m'a aidé."

Elle souffle de soulagement, elle était animé par une t'elle rage qu'elle n'a pas du m'entendre crier.
J'ai eu un homme mort sur moi ! Je vais vomir. Je veux juste aller me doucher pendant deux heures . Je n'ai même pas le temps de me remettre de mes émotions. A peine passé la porte que je peux voir, le chef de famille à la fenêtre en train de fumer sa cigarette dans le petit salon et son fils assis sur le canapé, menotté les mains dans le dos avec Clara qui est assise sur le fauteuil, les bras croisés le regard noir.

"-Hey mamma ! Sourit joyeusement son fils, essayant de lui faire un coucou avec les mains attachées.

Les deux autres paires de yeux se tourne vers nous.

-Mon dieu ! Ça va Emily ? Me demande Clara en se précipitent vers moi.
-Oui, Diego m'a sauvé.

Elle lance un regard pleins d'amour à l'homme qu'elle aime. Heureusement qu'il était là sinon je serai soit morte soit brisé à vie. Je ne sais pas lequel est le pire. La mort est plus douce j'imagine.

-La péche a était bonne ? Demande l'homme.
-Oui, j'espère avoir tous ce qu'il me faut.
-Detache mon fils.

L'homme obéi et leur fils se masse les poignets.

-Nous te remercions.

Il s'incline devant lui avant de venir prendre sa mère dans ces bras.

-Non sei ricaduta mamma? (Tu n'ai pas retomber maman ?)
-Non preoccuparti figliolo. ( Ne t'inquiètes pas fils)"

Pourquoi ais-je l'impression qu'on ne me dit pas tous ? Trop de secrets de famille planqués sous le tapis. Un tapis sûrement plus cher que ma propre vie.

Le père jauge les deux personnes avant de laisser tomber son mégot dans son verre d'alcool.
C'est triste il donne l'impression de ne ressentir que du dégoût et de la haine pour son plus jeune enfant. Il s'en méfie comme de la peste. L'amour aide a allé mieux. Il faudra qu'il s'ouvre un peu plus a son fils, qu'il lui pardonne, qu'il l'aime.

EmilyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant