Chapitre 27

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"-Ca ce passe très bien ne t'inquiètes pas. Je ne suis pas en danger.
-Livia nous a dit ce qu'il t'a fait. Ce n'est pas rien.
-C'etait un accident rien de plus.
-Une accident ? S'exclama Aria à l'autre bout du téléphone. Faut que tu m'expliques comment par accident il a pu te saigner de son prénom ?!
-On a glissés ?

J'entends un ricanement froid. Son fiancé. Rectification son connard de fiancé.

-Pourquoi il m'entend l'autre débile ?
-Fait attention aux mots que tu emploie Emily. Prévient il d'un ton menacent.
-J'ai rencontré ta mère Lenzo. Je n'ai plus peur de toi.

J'entends la brune rigolée ainsi que le bruit de ses pas avant qu'une porte ne se ferme.

-Desolée, j'avais mis le haut parleur le temps de me préparer et il est arrivé.
-T'inquiete pas.
-Tu aurais dû me le dire. Je n'aurais pas dû le savoir des semaines après tout le monde...
-Ce n'est rien de grave vraiment. Il est calme maintenant. La preuve , je l'ai devant les yeux en train de jouer aux cartes avec ses groupies de grands-mères. Il fait de l'ombre à l'infirmier super sexy au jolie petit cul.

C'est à ce moment là que Enzo lève les yeux sur moi comme si il avait entendue alors que je suis a plusieurs mètres, dehors et derrière une vitre. Nos sourires se croises.

-Clara me montre les photos qu'il lui envoie. Vous avez l'air proches.
-Ça fait cinq mois qu'on vit ensemble forcément que des liens se créés. Enzo est vraiment attachant dans son genre. Il n'est pas seulement un dégénéré comme on creuse il est vraiment... Génial.
-Est ce que vous allez venir pour les vacances de Pâques ?
-Je ne lui en est pas parler. Mais peut-être là deuxième semaines si il veux.
-Oh d'accord...
-Dans sa liste de chose a faire en un an, il y a noté aller à Paris voir la tour Eiffel. Et J'avoue que j'ai très envie de découvrir la capitale moi aussi.
-Tu es vraiment génial avec lui. Il a parlait dès heures avec sa sœur quand vous avez passé un weekend à la mer malgré le froid.
-Il mérite d'être heureux, vraiment.
-Presque tout le monde le mérite. As tu des nouvelles de tes parents ?
-Je l'ai est vu la semaine dernière. Ça c'est encore mal finit. Maintenant ils sont persuadés que je vends de la drogue pour me payer mes derniers trimestres. Et le directeur ne répond plus à leurs appels. J'imagine que monsieur Alvar a était convainquent.
-C'est dommage d'en arriver là...
-Ce n'est pas parce que ce sont mes parents que je leur dois tout. C'est eux qui ont choisi se comportement à suivre avec moi. Je me libère juste de leur emprise. Mais je dois avouer que s'en l'argent de ta belle-famille, je n'aurai jamais pu le faire. Je serai encore le bon petit toutou"

Notre conversation dur encore de longues minutes avant que nous raccrochons. Je ne peux m'empêcher de me demander qu'elle serrait la vie si Aria ne serait pas tomber amoureuse d'un mec aussi dangereux de Lenzo. La vie serait moins trépidante c'est sur, moins dangereuse. Mais je n'aurais pas cet tête brune qui à radicalement changer la vie et ma façon de faire.

"-Alors il ne triche pas trop ?
-Comment une tête d'ange comme lui pourrait tricher ? Tient reprend un petit gâteau mon grand. On a le meilleur cuisinier des environs. Ils nous fait des gâteaux tous les jours. Un délice !
-Emily me fait à mangé tous les jours aussi. Des fois un peu cramé ou trop assaisonné mais c'est la meilleure cuisinière.

Je fais la moue malgré moi, c'est tellement adorable...

-Et toi, tu lui fais ses repas ?
-Non mais je met la table. Elle cuisine, je mange."

Les trois petites vieilles rigoles avant de raconter leurs vies passées. Qui aurait cru qu'il se sociabilise avec des personnes âgées lui fasse autant de bien ? Il est même content de venir. Il est adoré ici, ils sont presque à de deux doigts de la bagarre pour savoir qui va jouer avec la chair fraîche. Enzo vient minimum une fois par semaine des fois plus quand il s'ennuie tout seul à la maison. Il a même fait un atelier jardinage avec eux. J'ai eu la peur de la vie quand je suis rentré et qu'il n'était pas à la maison. C'est très rare qu'il sorte et encore moins sans le prévenir.

"-Alors as tu bientôt fini ton mémoire ? Demande Annette.
-Oui, il ne me reste plus que la conclusion. Et je pense en soutenance après les vacances.
-Tu ne veux toujours pas nous dire le sujet ? J'aimerai bien le savoir si je meurs demain d'une crise cardiaque.

Le groupe rigole. Je crois qu'elle est la plus adorable de tous. Oui, elle l'est. Je m'approche d'elle et lui chuchote la réponse. La veille dame attrape ma main avant de plonger ses yeux remplis de bienveillance dans les miens.

-Si ils te recale, ils vont se prendre un coup de canne.
-Je me doute que ce ne sont pas des paroles en l'air.
-Oh non la petite."

Je lui souris avant de reprendre la place. Nous restons une petite heure encore avant de les laisser. j'embarque Enzo avec moi au cinéma pour cocher une case de plus dans sa liste avant de manger dans un petit resto du coin.

"-Souhaite tu retourner en Italie la deuxième semaines de les vacances ? Tu pourrais profiter de ta famille.
-Tu viendrais avec moi ?
-Est ce que tu ressens le besoin que je t'accompagne ?
-Je ne supporterai pas d'être si longtemps éloigné de toi Emily.
-Il va falloir qu'on essaie de se séparer une nuit et deux jours, pour commencer.
-Tu ne veux plus de moi ?
-Ce que je veux dire c'est que par le futur on va peut être, être amené à être séparé quelques jours. Il veux mieux nous préparer avant.
-Je ne repartait pas vivre en Italie.
-Je sais Enzo, rien ne t'y oblige. Tu... Tu peux rester avec moi tout le temps que tu le souhaites.
-Toute ma vie ?"

Sa question me donne des crampes aux ventres. Je ne sais pas quoi lui répondre malgré que pour mon coeur la réponse est toute trouvé. Mes sentiments sont aussi bancales que lui. Je fini par hocher positivement la tête, déclenchant le début de je ne sais pas quoi accompagné de son sourire.

EmilyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant