Je suis une idiote.
Une vrai idiote stupide.
Comment j'ai pu pensais une seule seconde qu'un multimilliardaire comme monsieur Alvar allait nous loger dans un minuscule studio pour étudiant. Quand la voiture s'est garée devant la résidence ultra sécurisée d'Alir, j'ai cru que ma mâchoire allait se décrocher. Il a dû pousser une petite mamie dans les escaliers pour récupérer ce bien."-C'est une machine à laver Samsung ! Je m'écris m'agenouillant devant.
-Et alors ?
-Je peux la connecter avec mon téléphone ! Dit à ton père que peu importe ce qu'il se passe. Je garde ce bijou ! Je sais déjà que c'est une merveille !Ses sourcils se froncent, perplexe. Nous avons visités les pièces une à une et dans toute les pièces je me suis émerveillée. Qui dit que l'argent ne fait pas le bonheur ? Pas monsieur Alvar. Ni moi d'ailleurs. Je vois du coin de l'oeil Enzo taper quelque chose sur son téléphone.
-A qui parle tu ?
-Je dis a mon père qu'il faut rajouter la machine aussi.
-Quoi ?
-Le sèche cheveux avec les embouts, le matelas, l'auto-cuiseur, le frigo tactile...
-Quoi ? Je le coupe en me relevant. Tu lui as dis ?!
-Pourquoi tu es fâché ?J'attrape son téléphone et clique sur la messagerie. Le rouge me monte aux joues. Il lui à tout écrit, tous ce que je souhaite garder. Et son paternel lui a répondu pas de problème. Au moins il échange avec son père. C'est un bon début.
-Il veux bien.
Je relève la tête doucement. Il ne comprend donc pas le second degré même si le Dyson je vais le garder avec grand plaisir. Je sais maintenant qu'il faut que je le méfie de ce que je lui dis.
-Tu n'as dis a personne ce qu'il sait passé entre nous ?
Un sourire s'étire sur sa joue droite, l'air malicieux avant de répondre par la négative d'un mouvement de tête. Je préfère m'en assurer car nous en avons pas parlé. Et ça ne doit pas ce savoir.
-C'est notre secret, d'accord ?
-Et si je veux recommencer ?
-C'etait la seule et dernière fois. On s'était mis d'accord.Ses yeux se plissent mais je l'abandonne dans la buanderie voulant stopper ce sujet de conversation. Est ce que j'en aurais envie ? Bien sûr que oui mais ce n'est pas possible. Enzo est attirant dans son genre s'en même qu'il ne s'en rendent compte. Il a des mimiques et des tocs plus que sexy. Je sent qu'il me suis jusqu'à la cuisine. Il va falloir aller faire des courses.
-J'ai pensais que tu pourrais faire du bénévolat dans une maison de retraite. Allez faire des jeux avec eux.
-Ou les débrancher ?
-Une maison de retraite, pas un hôpital.
-J'imagine que ça ne sera pas trépidant.
-Mais ça occuperais tes journées.
-Tu viendrais avec moi ?
-Il faut que tu fasse des choses seul aussi. Mais si tu as un soucis, tu m'appelles.
-Et si tu réponds pas ?
-Je répondrai. Je ne te laisserais pas dans une situation inconfortable pour toi. Mais il faut que tu apprennes à être plus autonome. Je viendrai avec toi la première journée.
-Et si je n'en est pas envie ?
-Enzo...
-J'ai quoi comme récompense ? Il demande le regard brillant.J'incline la tête pour l'observer lui et son sourire moqueur. Quel trou du cul.
-Tu me fais du chantage ?
-J'ai appris de la meilleure.
-Qu'est ce que tu veux ?
-Une baiser.
-Ce n'est pas possible.
-Alors ce n'est pas possible pour moi d'aller amuser des petits vieux.
-Enzo... Je suis là pour t'aider à aller mieux. Si on joue à ce petit jeu tous les deux j'ai bien peur que aucun de nous en sorte indemne.
-Tu as promis de ne jamais me laisser.
-Et je ne te laisserai pas, on sera toujours en contact.
-Non. Je reste ici. Je ne retournerai pas vivre avec mes parents. Dans ce putain de pays qui m'a attiré que des problèmes. Je reste avec toi que tu le veuille ou non ! Même si je dois me menotter à toi le reste de la vie !
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Emily
Storie d'amore"-Je suis complètement barré Emily ! Ça tourne pas rond dans ma tête, il me manque pas mal de cases et tu le sais très bien. Alors n'essaie pas de me réparer, c'est peine perdu. Ils sont en moi ! Ils sont moi ! Casse toi ! Putain casse toi ou je vai...