L'amour est un art [ Kim HongJoong ] - ATEEZ.

『 𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟸𝟾 』

Alors que je dormais doucement, confortablement installée dans une couverture à la matière douce, je me fis secouée par quelqu'un qui cria également dans mes oreilles dès mon réveil :

In Yeop : -« Va te préparer, Jisung arrive dans même pas 20 minutes ! »

Je fis agacée par ses cris dès mon réveil, je n'étais pas prête à ça !

Soon : -« Yah ! Je viens de me lever, ne cris pas ! Râlai-je pour ensuite me lever et m'étirer.

In Yeop : -« Va te laver les dents aussi, ça pue par ici. Fit-il le sourire aux lèvres.

Soon : -« Je vais te...

In Yeop : -« 18 minutes ! »

Je soupirai bruyamment et me dirigeai vers la salle de bain de mon meilleur ami tout en souriant.
Il peut vraiment me désespérer parfois !

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Je mis mon pull noir troué au niveau du haut du bras gauche et du coude droit. J'avais mis un pull blanc en dessous pour ne pas avoir froid en ce temps hivernal à cause de mon côté extrêmement frileuse. Je rentrai ce fameux pull dans mon jean taille haute bleu clair avec des replis juste au bout.
Même si celui-ci était très simple, ça restera toujours mon jean préféré.
Il n'a pas d'histoire particulière, je ne suis pas ce genre de fille dans une fan fiction avec un Idol qui a une histoire avec chaque objet qu'elle croise voyons !!
Je mis mes chaussettes noires t'aimleurs haute et mes converses noires et blanches simples mais qui feront amplement l'affaire.
Pourquoi ferais-je attention à mes vêtements pour ce... cet horrible personnage qu'est la chose qui me sert d'ex petit-ami ?
Je mis ma sacoche simple noire en cuir autour de moi et lâchai mes cheveux.

Je restai démaquillée cette fois-ci mais en redressant ma tête, je me vis.
Bordel, qui je suis ?
La simple In-Soon rêvant de se faire un nom dans le monde artistique ou une fille victime d'une agression sexuelle qu'elle n'a pas choisi de dénoncer ?
Les deux.
Je ne me reconnais plus du moins... je me reconnais mais qu'avec une seule personne.
Lui.
Cela fait des semaines que je souffre, sortez-moi de cet enfer.
Mes membres se mettent à trembler, ma respiration devenait rapide.
Je n'arrive plus à respirer, les larmes commencèrent à couler.
Sur le coup de l'émotion, de la colère, de la haine, de la tristesse, je pris le ciseau qui était posé juste à côté de la commode à côté de moi et me regardai une dernière fois.
Je pris mes cheveux de l'autre main et commençai à couper ces fameux longs cheveux qu'il aimait tant, ceux qu'il aimait tant caresser juste après m'avoir fait l'amour, qu'il aimait sentir et y déposer de long baiser.
Je ne pouvais plus les voir.
Je les voyais à présent glisser sur le sol et me dire adieu, plus je coupais et moins j'en avais sur le crâne.
Ça me faisait du bien.
Je ne le verrai plus en moi, je ne verrai plus ces images traverser mon esprit.
S'il vous plaît, faites-les disparaître.