Addicted to you

CHAPITRE 26 : La mission.

Bonjour à tous! J'espère que vous allez bien.

J'aimerai dans un premier temps vous remerciez de lire cette histoire, jamais je ne me serai attendu à autant de retour positive en l'espace d'un mois à peine, merci beaucoup ♡

Ensuite, j'aimerai m'excuser pour une des scènes qui va se passer dans ce chapitre. Je n'ai jamais joué au poker de ma vie alors elle a été très compliquée à écrire pour moi. J'ai enchaîné des heures et des heures de reportages, j'ai lu tous les articles inimaginables concernant le poker, l'attitude à adopter, les mises... J'ai réussi à quand même écrire un peu, mais je ne sais pas vraiment si j'ai bien compris les règles, ni si cette scène est donc crédible.

Pour celles/ceux qui savent jouer où qui connaissent tout simplement les règles, n'hésiter surtout pas à me corriger!

Merci, bonne lecture à vous 💋💋

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— C'est bon, t'as tout compris?

— Non! Bordel y'a une faille dans ton truc. Je ne sais pas jouer au poker.

— Je vais t'apprendre.

— En même pas trois heures?

Apparement, ce soir il m'emmène au casino.  Je dois m'installer à une table, et jouer avec lui et deux autres personnes. J'ai rien compris. Mais on fait comme si.

— Et pourquoi on a besoin d'aller là bas, lui demandais-je.

— Ça, c'est pas tes histoires.

— Franchement, tu penses pas que maintenant je suis bien placée pour savoir?

— Non.

Mais j'ai envi de savoir. Ça se trouve, en faisant juste une simple partie, je m'embarque dans les bras de la mort. Qui sait?

— Je vais pas y arriver, lançais-je en me relâchant lâchement sur le lit.

J'entends les pas du sadique se rapprocher de moi. Sa tête fait face devant la mienne, et un sourire diaboliquement beau se dessine sur ses lèvres.

— Dans tous les cas, tu n'as pas le choix. Ou alors tu finiras avec une balle dans le crâne, ricane-t-il.

— Je sais que t'auras pas les couilles.

Sa main encercle ma gorge. Son regard, amusé et à la fois glacial est plongé dans le mien.

— Calista, il faut que tu cesse de me donner des idées pareilles. Tu testes mes limites, sauf que je n'en ai pas.

Soudainement, il me relève. Il fouille dans sa poche avant d'en sortir un revolver. Il retire les balles du barillet, à l'exception d'une. Il le tourne rapidement, avant de le remettre en place. Il s'approche de moi, et me place l'arme sur le front.

— La roulette russe. Ça te parle?

Je déglutis. J'ai une chance sur six de mourrir aujourd'hui.

— T'es vraiment un putain de sadique de merde, lui crachais-je.

Face à mon insulte, il ricane. Il me regarde droit dans les yeux. Il est magnifiquement effrayant. Sans rompre notre contact visuel, j'essaye de me libérer. Mais il le tient férocement, je ne peux même pas bouger. Alors, je décide d'une chose folle. D'accord, je vais peut être mourir dans quelques secondes, mais je ne veux pas que lui me tue. Hors de question que ce soit cet enfoiré qui m'achève.