CHAPITRE LXXIII.

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QUINZIÈME ARRONDISSEMENT,2029.

  Je sors du studio en attrapant mon téléphone pour vérifier l'heure et je file dans ma voiture avant de récupérer chez moi mes affaires de sport et me dépêcher une nouvelle fois pour pas être en retard à la boxe où Mackenzie m'attend

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  Je sors du studio en attrapant mon téléphone pour vérifier l'heure et je file dans ma voiture avant de récupérer chez moi mes affaires de sport et me dépêcher une nouvelle fois pour pas être en retard à la boxe où Mackenzie m'attend.

Elle a apparement eu envie de boxer et de se défouler alors elle m'a appelé et j'ai accepté. Je sais qu'elle est sous pression à cause des recherches pour le déménagement et des premiers jours d'école d'Iris qui se passent moyennement bien et elle a besoin de penser à autre chose, donc c'est à mon tour de servir à quelque chose.

Arrivé à la salle, j'ouvre la grande porte et je vois déjà le monde présent, on est vendredi donc clairement tout le club s'est ramené pour sûrement relâcher la pression de la semaine et je n'aperçoit même pas Kenzie dans les parages. Je pose mon sac et la cherche du regard en vain avant de croiser le regard de Laëtitia qui me sourie et trottine vers moi. Elle tape dans mon poing et je lui pose instantanément ma question :

— T'as vu Kenzie ?

Elle se met à rire et hoche la tête.

— Elle est dehors derrière, on l'a appelée, je crois que c'était pour une proposition d'embauche.

J'hoche la tête, soulagé et décide d'aller saluer tout le monde et c'est alors que je suis en pleine discussion avec un de mes gars que je croise le regard de ma brune qui revient au gymnase. Elle a un ensemble de legging et une brassière blanche et j'écarquille les yeux. Je regarde un peu partout afin de m'assurer que personne ne l'a regarde comme moi je peux la regarder et mon sang monte vite dans mon cerveau.

Elle est folle de mettre une brassière qui lui fait des seins pareils, ils ont doublés de volume et on dirait que son tissus est même pas assez à sa taille. Je m'approche vite d'elle et elle me sourie avant de s'apprêter à embrasser ma joue mais je prends son cou et plaque sa poitrine contre mon torse.

— Aïe, mais t'es con...

— Quand on sort on va chez Intersport hein...

Elle fronce les sourcils et se détache de moi.

— Pourquoi ?

Je baisse mes yeux vers ses deux seins compressés à la mort et reporte mon regard ensuite sur elle. Elle se met à rire et vient les compresser encore plus avec ses deux mains et je la pousse.

— Ça va, respire hein, c'est qu'une paire de seins.

— Une paire de seins que je veux garder pour moi.

Kenzie | PLKOù les histoires vivent. Découvrez maintenant