Mue par un courage que je ne pensais pas avoir, me donnant la force qu’il me manquait certainement, je le défiais du regard la tête haute.
Décidément avoir tué ces deux enculés ma quelques peu libérer de ma prison, en enlevant un poids sur mes épaules et j’en suis pas peu fière quoi qu’on en dise et sa fait du bien et c’est pas fini j’en ai conscience, j’ai encore deux connard à tuer et pas des moindres car ces deux la sont les plus coriaces ils vont me donner du fil à retordre mais c’est pas grave j’ai tout mon temps finalement car plus ils m’oublieront et mieux sais.
Roderick et Gino ne sont pas les plus faciles mais je n’abandonne pas tant que ces deux-là ne sont pas morts, je ne serai définitivement pas tranquille et mon âme ne sera pas totalement soulagé tant qu’ils ne seront pas morts. Mais ce que je ressens à l’heure actuelle est déjà un bon début pour moi.
Tout à mes réflexions je n’ai pas vu Killing se poser sur le canapé tout en me quittant pas des yeux, il penche la tête sur le côté balayant ses yeux sur moi en me détaillant en silence , sa bouche finit par s’étirer d’un sourire étrange sur ses lèvres bien dessiner jusqu’au oreilles, je ne suis qu’à deux doigt du ridicule pas de lui quand soudain il me tire vers le canapé me tirant sèchement par le bras avec force et rapidité, sa poigne m’a électrisé au plus profond de ma chaire ,ma peau se couvre de chair de poule au moment du contact de ses doigts sur la peau de mon bras, faisant palpiter mon cœur à 100 à l’heure et tout ça en quelques minutes bien évidemment j’ai perdu l’équilibre et me retrouve dans une position assez déconcertante et troublante mais je ne veux pas qu’il le remarque, ça ferait trop pour son ego déjà surdimensionné pour un si grand corps.
__ bordel couinais-je surprise par son geste me retrouvant à moitié sur lui, une main sur son torse pour prendre appui évitant d’être affalé sur lui.
Gêner je sens mes joues chauffer jusqu’à la lisière de mes yeux je me décale rapidement pour m’asseoir à ses côtés et irrité je le fusille du regard sur son air condescendant et moqueur, pour cacher mon trouble je lui balance hargneuse, pour lui cacher mon trouble générer son geste
__ mais qu’est-ce que tu fou putain
Je le vois rire les yeux braqués sur moi pétillants, s’illuminent d’une petite joie éphémère qui rend son regard encore plus beau et bien vivant, se moquant ouvertement de moi les yeux luisant de malice.
《 a-t-il eu le temps de remarqué mon trouble bien que j’évite de le confronter》 me demandai-je inquiète
Pour éviter tout soupçon je me racle la gorge, déglutit difficilement la gorge assécher par l’angoisse de ma proximité avec le corps de cet homme qui me trouble au possible, sentant une chaleur inopportune envahir ma poitrine me laissant en âge faisant dégouliner ma sueur tout le long de mon dos et lui demande tout en observant la pièce, pour couper court à cet instant gênant. Par la même occasion je repense à la discussion que j’ai eue avec Reeza à son sujet et je dois dire qu’elle n’a pas tort quand je lui ai avoué que je me sentais pas toujours à l’aise quand je croisais Killing ou quand j’étais dans la même pièce que lui que la seule chose que je ressentez était une envie irrépressible de fuir à toute jambes ,de me tenir loin de lui ,ce qu’elle m’a dit elle ma rendu perplexe.
__ alors de quoi tu veux parler
《 Reeza m’a dit c’est ce que tu crois ressentir mets ton corps dit le contraire mais toi tu ne t’en rends pas compte, mais moi oui je l’ai vu , je remarque surtout que tu es en train de guérir de cette agression que tu as subi il y a 5 ans déjà et que par conséquent Killing t’attire énormément d’où ton sentiment de malaise et ta gêne, c’est juste que tu ne sais pas où tu en es et que dans ta tête c’est encore le bordel prends le temps de réfléchir et d’observer tout viendras en son temps m’avait-elle dit en souriant tendrement à mon encontre passant une main dans mes cheveux pour me rassurer car il paraît qu’à ce moment-là je faisais une tête de 6 pieds de long》. C’est ce qu’elle pensait de moi et de la situation. Elle avait remarqué que lui aussi était attiré par moi, elle l’avait vu plus d’une fois réagir en ma présence d’une façon très ambigu et qu’en plus de ça il ne s’en cachait pas au contraire. Reeza m’a dit en rigolant
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le prix de la vengeance ( En Cours De Corrections)
Romancemaya Karston vit depuis des années à Boston, elle y est même née. boston centre névralgique du meurtre et de la corruption. a ses 20 ans elle travaille comme croupière dans un tripot clandestin pour les frères cramers chef mafieux les plus redoutab...