Elle foudroya l'homme qui l'avait amené dans un hôtel, il ricana en entrant dans le jardin où se donnait une fête. Elle s'assit sur une chaise bras croisé, il sourit en s'asseyant en face d'elle.
- Je veux rentrer chez moi, dit-elle sans aucune certitude de la réaction de l'homme.
- Demain, dit-il en regardant les femmes danser. Danse.
- Non.
- Je répète, rigola t-il puis prendre un visage sérieux. Danse, immédiatement.
- Non, répèta t-elle. Je vais pas danser devant tout se monde.
- Et bien, tu danserais rien que pour moi, dit-il en la fessant signe de se lever.
Au même moment, la musique devient du reggaeton, elle se leva et retira sa veste sur un mini haut sans bretelles. Elle se mise à environ un mètre de l'homme avant de danser, il sourit puis se mordit la lèvre avant de se lever en se mettre juste devant elle. Elle se tourna frottant son fessier à son bassin, il haussa un sourcil en léchant sa lèvre supérieure. Des yeux viennent se poser sur la femme, il prit sa taille la collant légèrement plus à lui.
- Enlève tes mains de moi.
- Oh, non, dit-il en lui donnant un coup de rein. Là, ton seule rôle c'est de danser pas de me donner d'ordre ou je te jure que je te mets à quatre pattes.
- Je sens que je vais te détester, dit-elle en appuyant sur ses mains et les faire monter sur sa poitrine.
- Tu es chaude, dit-il en les massant.
- Pas particulièrement, dit-elle en se tournant brusquement et le gifle.
Elle prit sa veste profitant du choque de l'homme pour partir en courant, il toucha sa joue puis sourit.
- Je cours vite du sais? Rigola t-il en sprintant.
Il ne fallut pas longtemps avant qu'il ne la rattrape, il la prise sur son épaule et rentrés dans l'hôtel. Elle hurlait mais personne n'intervenait, il la lâcha sur le lit avant de déchirer ses vêtements et embrasser sa poitrine. Elle esseya de se débattre mais il prit ses poignées, elle laissa ses larmes couler en regardant l'homme.
- Je ne te ferais rien, dit en se redressant. Désolé, soupira t-il en la lâchant et essuyer ses larmes. Je suis quelque peu sauvage.
- T'a essayé de me violer! Pleura t-elle en se mettant sur le bord du lit loin de l'homme.
- Non, dit-il en la regardant. Je ne l'aurai pas fait, je t'aurais embrassé sur tout le corps et sucé les tétons. Embrassé, mais, pas violé.
- Ne m'approche pas, dit-elle en cachant sa poitrine.
- Hadja, dit-il en retirant sa veste en fessant le tour. Puni moi, s'agenouillea l'homme. Fais de moi se que tu veux, dit-il en retirant ses bretelles et son haut. Frappe moi, brûle moi, mutile moi.
Elle sembla étonné puis réfléchit, elle retira sa jupe et sa culotte sur le regard de l'homme. Il écarquilla les yeux en la fixant, elle entra dans les draps.
- Reste sur t'es genoux jusqu'à je prononce ton nom, voilà ta punition.
Sans plus, elle prit son sein et le pinça avant de gémir légèrement. Elle glissa sa main à son sexe, elle jouea avec son clitoris lentement. Il mit ses mains sur son visage, comment résister à sa? Elle le torturait. Son membre venait se frotter à son pantalon douloureusement, il gémit en posant son front au sol. Les gémissements deviennent plus forts, elle entra un deuxième doigt en se tordant légèrement.
- Kadel, gémit-elle à l'orgasme.
L'homme se leva aussi vite que la lumière, il regarda la femme à moitié couverte. Le corps transpirant, les joues rose la respiration difficile.
- Oh, diable, sourit-il. Laisse moi te baiser.
- Hum? Demanda t-elle en fermant les yeux. Non.
- C'est quoi se sadisme? Demanda t-il en montant sur le lit. Laisse moi te baiser fort, comme une chienne.
- Non, répéta t'elle en se redressant. J'oublie pas, tu as essayé de me violer.
- Je te répète que je l'aurais pas fais! Mais, laisse moi te faire jouir encore, dit-il en se mettant sur ses cuisses en la prendre dans ses bras. S'il te plaît.
- Non... Je me sens pas apte.
- Pour baiser alors que tu t'es masturbé devant moi? Se decolla t-il puis descendre du lit. Je vais me vider dans la douche, tu as gagné.
Aucune réponse, il alla dans la douche puis commença à se faire plaisir lui-même. Prit dans son action, il n'entendit pas la femme arrivée, elle l'enroula de ses bras. Elle embrassa sa nuque puis prit son membre, il tourna légèrement la tête la regardant.
- Après sa, on ne se reparle plus jamais, dit-elle en le fessant se tourner. On ne se voit plus jamais, ont ne se touche plus jamais, dit-elle en l'embrassant.
Il répondit immédiatement en l'appuyant contre lui.
Il ne promet rien.
Absolument rien.
--------Je sais pas.
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Est-ce que tu m'aimes?...
RomanceIl est un mafieu. Elle est étudiante. Il est dangereux. Elle est inoffensive. Il la court après. Elle doute de lui. Il en est devenu fou. Elle en ai devenue dépendant. Il lui demandait la même chose quand leurs yeux se croisaient. ...