Enfant {25}

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Point de vue Hadja:

Il porte les sac dans l'escalier moi devant lui, il les posa sur la table mais je l'es mis dans la chambre. Je me déshabille et va me laver quand des mains se pose sur mes hanches. Il me coller contre son torse. M'embrasse dans le cou.

- Me touche pas, dis-je retirant ses mains.

- Arg! Grogna l'homme.

Je me tourne, il avança sous l'eau me faisant reculer, ses mains viens de chaque côté de mon visage. L'eau coule sur ses cheveux et son visage. Glisse sur son torse. Ses lèvres son rose, légèrement entre ouverte.

- Pourquoi l'eau est aussi froide?

- J'aime me doucher avec.

Ses lèvres devinrent lentement violette, je tourna le robinet puis l'enlaca.

- J'aime pas que tu fasse ça.

- Sur le moment, je cherchais juste à lui l'être un traceurs GPS.

- C'est qui?

- Personne, ne tant fait pas ry tiako. Juste un obstacle à notre bonheur.

Ses bras me serre fort, son coeur je peux l'entendre. C'est la que je vois comme il est grand, je n'arrive même pas à son épaule. Je lève la tête vers lui. Il me fixe. Encore des papillons dans le ventre. Je joua dans ses cheveux en souriant bêtement, il me soulève.

- Hadja, je peux avoir un enfant?

- Oui, bien sûr, dis-je en l'embrassant. Mais avec qui?

- Avec toi, ry tiako.

- Je sais pas, soupirais-je. J'ai envie de finir mes études.

Il posa sa tête dans mon cou sans un mot, on fini de se laver. J'enfila une chemise et un caleçon de l'homme, il me regarde fixement.

- Les caleçon d'un homme sa reste privé.

- Moi qui les lave, dis-je en m'asseyant et manger.

De puis, l'homme semblait plus triste. Il agissait très bizarrement. Me complimentant. Me disait des belles choses, me fait des plats délicieux. Me faisait des cadeaux, me chouchoutant. Portant, je le vois dans son regard. Il veut quelque chose.

- Dis moi se qu'il ne va pas, souris-je en écrivant ma synthèse.

- Rien, ne tant fait pas. C'est juste que, j'ai 31 ans dans un mois... Et...

- Tu n'as ni épouse, ni enfant?

- Oui.

J'enregistra puis écrire des note dans mon cahier, je pris mon répertoire et l'ouvrir.

- Tu voudrais que je porte ton enfant?

- Oui.

- Pourquoi moi?

- Juste, tu voudrais être la mère de mon enfant?

Mes mains prit un surligner et le passa sur le papier, je souris légèrement puis me tourna vers lui.

- Je veux bien, mais, je fais comment pour l'université?

- Tu veux être avocat pour l'argent?

- Oui.

- J'ai de l'argent.

- Toi, tu as de l'argent.

- Hadja.

- D'accord! Souris-je. Mais, attends encore un mois où de moins que je sois prête.

Il me fixe puis m'embrasse sur la joue, je pris plusieurs heures à finir pour aller manger avec lui. L'homme m'embrassa de nouveau en me donnant la boîte.

- J'accepte mais, n'embrasse personne.

- Et mes soeur?

- Si tu as un teste ADN, oui.

- Tu semble possessif.

- Désolé de protéger se qui est à moi, dis-je en me pointant du doigt. My!

- Est-ce qu-

- Je t'aime?

- Non, est-ce que tu voudrais bien apprendre à manier une arme à feu?

- Non, je veux pas toucher ça.

Il sourit et dépose son arme sur la table, il la pousse vers moi. Je le regard.

- Touche.

- Non!

- Si tu m'aimes touche.

Que faire?  Sans m'en rendre compte, ma main fit poser par l'homme sur l'arme. Bâtard! Il me sourit.

- Au faite, une fille.

- Une fille?

- Oui, je veux pas de garçon. C'est épuisant.

- Je peux pas choisir son sexe, par ma simple volonté.

- À quoi vous servez sinon les femmes?

Je lance mon assiette sur lui, il me regard les yeux ronds. Les spaghettis avait salir son costume.

- Je devrais aller chez moi! Tu fais chier.

- C'est toi qui à dit que les femmes serve qu'à faire des gosses.

- Oui, excuse moi. Et à baiser aussi.

Je me leve sur son rire, il prit mon poignet et me retourne.

- Nettoye, je vais me changer. Sans vous les femmes, se serait la fin du monde, les hommes sont des bêtes sauvages, vous des boules d'amour. La grâce et l'élégance, nous, la crasse et la déchéance, m'embrassa t-il sur le front.

Mes joues chauffaient, je le regard partir. Il veut vraiment cet enfant? Je regarde mon ventre. Oh! Mais, sa fait mal d'être enceinte, non? Mon ventre va grossir, je vais prendre tout mes os...

Non!

Mais, il y tiens tellement.

Est-ce que tu m'aimes?...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant