Ton coeur {13}

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Point de vue Kadel:

Là, allongé dans mes bras, sa chevelure sur son visage, sa peau laiteuse. Je peux entendre son corps battre contre ma poitrine, il bat comme s'il cherchait à suivre l'orchestre. Je ne sais l'expliquer. Mais, elle était pas bien en elle. Quelque chose l'avait changé à jamais.

L'amour?

Une mort?

Les études?

Quoi donc?

Un soupire passa mes lèvres en la décollant de moi, je me lève douloureusement. Je n'ai fermé l'oeil. Son souffle sur mon torse me fait diable d'effet.

Ô que tu es belle, que t'es douce.

Ô comme tu es irrésistible, que t'es addictive.

Ô ma belle, comme tu me fascine.

Mes mains prend son baume à lèvres, je le mis sur mes lèvres. Je suis beau. La lumière de se monde. Votre soleil. Si, je l'embrasse avec? Ouh fraise, c'est sa qui rend ses lèvres si délicieuses? Elle me dévora sûrement. Mes lèvres se pose sur les siens, elle répond inconsciemment. Sa langue vient touche la peau.

Ô diable!

Un aspirateur.

Je me décolle avec mal. Elle allait m'arracher les lèvres, elles sont pulpeuses naturellement ma belle. Pas besoin de les faire ressembler à Kelly. Que tu es belle. Mais si inoffensive. Je pris une douche et va dans la cuisine, je fais le repas en très grande quantité.

Peut-être que j'ai 7 estomac?

Je vais l'attendre pour manger, assis devant la télé, je regarde Garfield. Sa me donne faim. Elle se révèle quand la belle au bois dormant? Les femmes à dormir comme des cadavres. Je souris.

- Pourquoi tu es là? Me demanda t-elle en s'allongeant près de moi tête sur mes cuisses. Quitte pas mon lit sans moi, kitoko?

Je me languis de t'es lèvres.

Ton visage fatigué.

Ta voix.

Tu es le genre de femme que les hommes chéris. Hadja. Ma main vient la caresser la tête, hadja... Que le diable te bénisse. Je ne crois pas en Dieu, mais, à son rivale. Mes prières n'ont jamais été entendues, pourtant, je n'étais pas un criminel. Avant.

- Parle moi de ton coeur, ry tiako.

- Mon coeur? Il est triste, j'arrive plus à le rendre heureux, sauf avec toi. Tu me fais énormément rire.

M'aime tu alors?

Moi, je ne t'aime pas.

Pourtant, je sais que tu m'es chère.

Quand, je te vois danser, sourire...

Mon coeur bat à tout rompre.

Comment appel t-on ça?

Hein? De l'attirance?

- Est-ce que tu m'aimes?

Elle sembla réfléchir puis me regarda en souriant et secoué négligemment la tête.

Comment fais tu pour me résister?

Malgré que t'aimes les femmes, je te jure.

Tu m'aimeras!

Ma mâchoire se sert, je soupire puis la regarda. T'es yeux noir son si profond, je peux mis perdre. Pourquoi je suis en perpétuelle contemplation en la voyant? Elle n'est pas un tableau.

- Ton coeur et triste pour quel raison?

- Je ne sais pas, je n'ai jamais eu d'amis, j'ai toujours été seule. Ma famille déteste tout, et son vraiment très conservateur. Ma mère malgré qu'elle soit née en Afrique, déteste les personnes noires. Ils ont des problèmes mentaux.

J'ai vus sa.

- Et puis, ils le laissaient pas écouter de la musique car soit disant, le rap c'est la musique du diable. Mais, je m'en fiche moi! Un jour, je suis mise dans la salon et j'ai hurlé. Je t'aime Satan. Ma mère à fait une attaque, j'ai jamais été aussi heureuse. Quel meurt!

C'est pas cauchemar en cuisine mais, cauchemar à la maison.

- Mon frère depuis, n'arrête pas de dire que je suis un démon. Mon père le soutient, mais, il m'aime beaucoup bizarrement. Il à dit plusieurs fois que s'il m'avait pas tuer, c'est que je suis intelligente et prometteuse contrairement à mon frère.

Son père n'était pas con.

- Bien, il à raison, j'ai un fiancé riche, dit-elle en me tirant la langue.

- Sa sonne croqueuse de diamant, souris-je.

- Chut! Laisse moi parler, dit-elle en me mettant mon doigt sur ma bouche.

Je ne suis pas un enfant. Mes yeux ne peuvent pas arrêter de la regarder avec tendresse!

- Donc, une fois, j'ai trouvé un chat près de chez chez-moi mort... Tu vas me trouver bizarre mais, je l'ai disséqué, mon frère ma vue et la dit à mes parents.

Moi qui éventre tout se qui m'énerve? J'aime énormément torture mes victimes, les ouvrit vivant et écrasés leurs coeurs. Je ne suis pas un homme parfait. Mais, un homme dangereux.

- Tu sais, ils m'ont pas parlé pendant plusieurs jours et mon fais bénir à l'église! Moi à l'église. Je les aime pas, ils sont si bizarres. Mais, vraiment bizarre.

- Hadja, ils pourrissent sous terre maintenant.

- Oui, sourit-elle. Merci, Kadel, se redressa t-elle. Mon coeur et plus apaisé grâce à toi. Je vais me laver!

Elle partit, elle sort d'une famille très étrange. Ry tiako.

Est-ce que tu m'aimes?...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant