Point de vue Externe.
Elle fixe l'homme sur le bas de la porte, que devait elle faire? Il se pointe avec un enfant dans les bras, elle ferme la porte puis ouvre de nouveau avant de les laisser entrer. Nanika rigole en criant à la femme quel était belle-mère, là l'incompréhension se lit sur son visage.
- Pourquoi t'as sœur dit qu-
- C'est mon fils.
Un rire nerveux échappe la femme en ferment la porte, elle arrête de rire en voyant le sérieux de son fiancé. Elle se tue, elle n'aurait jamais vus ça arriver.
- C'est sérieux?
- J'en ai bien peur.
- Commence pas à bien parler, Kadel. Tu as entendu se que tu viens de me dire?
- Oui... Je sais que cela peut-être difficile à c-
- C'est qui?
- Qu'est-ce qui?
- La femme avec qui tu m'as trompée au point de lui faire un gamin.
- De qui tu parles? Je t'ai trompé avec personne.
- Kadel les enfants poussent pas dans les choux-fleurs. Tu as dû aller mettre le lait quelque part.
- Déjà, je met mon lait que dans les sachets en plastique. Et, elle ma pas dit qu'elle était enceinte avant que je la quitte. J't'ai rencontré même pas une semaine après.
- Monsieur met des meuf enceinte et passe vite à autre chose? C'est encore pire.
- Mais n'importent quoi! Elle m'a trompée avec un blanc sans pénis alors que moi je la faisais jouir. C'est par fierté, ouais. J'ai préservé notre honneur.
- À qui?
- Au grand noir de 85 kilo.
- C'est quoi jouir? Demande la petite fille du gâteau autour de la bouche.
- Va regardé la télévision Nanika, la soulève t-elle pour la mettre sur le salon.
Sans plus elle tire Kadel dans la chambre, il s'assoit et pose l'enfant sur les draps. Elle le regarde incapable de s'énerver bien trop fatiguée, elle s'agenouille face à lui.
- Est-ce que tu m'aimes?...
- Je... Ne sais pas si c'est de l'amour, je sais juste que j'aime t'as présence. Que tu dors dans mes bras, t'es crise de colère et la beauté de ton corps. Enfaîte, oui je t'aime. Et énormément.
- Tu me jure que t'as été fidèle?
- L'homme noir ne trompe pas.
Elle sourit légèrement avant de le prendre dans ses bras. Le basané fixe la femme puis renifle son parfum et fonce les sourcils.
- Qui était là? Tu sens le parfum pour homme.
- Hum? Se renifle t'elle. Oh, c'est une ancienne amie et son copain qui son venu.
- Tu me prend pour un idiot? Comment son odeur et arriver sur toi?
- Il m'a donner son parfum, lui montre t'elle un parfum pour homme déjà entamer. Me dis pas que tu es jaloux là?
- Pourquoi lui tu met son parfum et pas le mien?
- Peut-être car, tu me colle tellement que même laver mes vêtements on t'on odeur! Tu n'as qu'à vérifié.
- Non, excuse moi, réfléchit-il. Tu n'es pas fâcher pour lui?
- Non, les enfants sont pas responsable, mais, je n'ai pas envie d'être la belle mère de ton enfant.
- Je sais, soupire t-il. Je ne veux te forcer à rien, je ne veux pas t'infliger cela, regarde t-il l'enfant qui rampe. Et petit gars, faut dormir.
- Il semble arrogant, dit-elle en regardant l'enfant au cheveux châtain. Première fois que je vois un noir au cheveux châtain.
- Tu connais, les paon ne font pas de cochon!
Elle rigole légèrement avant de s'assoir à coté de l'enfant qui bouge, elle le prend dans ses bras mais, il la fixe de ses grand yeux marron. Son cœur se brise en se reflétant, des larmes la submerge.
- Jure moi que si j'accepte, tu m'en ferra un aussi beau!?
- Bien... Faudrait déjà que la mère soit bell-
- Bâtard! Le frappe t'elle. T'es qu'un connard, ton père c'est un chouchou des nana! Dit-elle à l'enfant. Des pétasses.
- Voilà pourquoi tu m'aime tant, ma pétasse d'amour, je vais t'en ai un si beau que tu me quittera jamais, l'embrasse t-il.
L'enfant vomit sur l'homme, il se décolle en poussant un crie de dégout, elle éclate de rire mais il vomit sur elle aussi.
- Bien ton fils.
- T'as gueule! Il m'as vomit dessus!
- Tu vas pas en mourir, essuie t'elle ses larmes en allant dans la douche. Retient, c'est pas un homme capable.
- Mdr. J'ai fais une lesbienne devenir hétérosexuelle. Alors, je suis capable. Je t'ai bien donner et t'es tombé love.
- Ferme là! Se nettoie t-elle.
L'enfant sourit en fixant la femme, Hadja baisse les yeux tout en lui enlevant sa couche et le laver. Kadel entre.
- Qu'est-ce qu'il y a?
- Rien, juste pourquoi depuis le début tu as agis ainsi avec moi?
- En vrai, Hadja. C'est car, je suis prétentieux. J'ai de l'égo et ne pouvait assumer que tu sois si belle, mais si triste. Tu ne souriais très peu, je pensais que je t'intéressais vraiment pas. Et moi tu m'as attiré. Sans t'es artifice, tu es magnifique, l'embrasse t-il sur les lèvres. Et, je veux que tu sois entièrement mien pour l'éternité.
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Est-ce que tu m'aimes?...
Roman d'amourIl est un mafieu. Elle est étudiante. Il est dangereux. Elle est inoffensive. Il la court après. Elle doute de lui. Il en est devenu fou. Elle en ai devenue dépendant. Il lui demandait la même chose quand leurs yeux se croisaient. ...