Début de vacance {8}

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Il la fixait, dormant dans ses bras, l'air reposé

- Que tu es belle, avouea t-il. Si, tu étais de mon pays, je t'aurais dit ny fitiavako anao.

- C'est du malgache? Demanda t-elle à moitié endormie. Qu'elle amour me porte tu?

- L'amour du sexe? Demanda t-il en la serrant contre son torse. Non, je crois bien que je suis amoureux..

- Tu es sérieux?

- Non, rigola t-il. Est-ce que tu m'aimes?...

- Non, souffla t-elle sur son torse. Mais, j'aime ton sexe.

- Oh, rigola t-il. Tu es coquine pour pas dire autre chose.

Elle sourit les yeux toujours fermés, il la posa délicatement en prenant son téléphone qui sonnait. Il répondit avant qu'une femme ne hurle, il décollea le téléphone de son oreille.

- Calme toi, ma princesse, dit-il en souriant.

- Non! Tu es où?

- Où je suis? Sur terre.

- Ah, ah. Tu es où?

- Eh... Je suis... Je, pourquoi tu veux savoir où je suis?

- Car, tu n'es pas à la maison.

Il soupira en fermant les yeux, la femme mordit sa lèvre en se tournant de l'autre côté du lit.

- Je suis chez une amie.

- Tu aurais pu me prévenir! Tu m'as laissé seule avec ta chienne! Et, j'aime pas ça!

- Calme toi! Tu m'énerves à crier comme ça, Jessica. Je reviens demain soir, au plus tard.

- Ma-

Il raccrocha, il se redressa en soupirant puis s'étirer.

- T'as petite amie?

- Non, soupira t-il. Je fais pas double jeux, tu es la seule ry tiako!

- Sa veux dire mon amour?

- Oui, c'est ma petite sœur. Enfin, je crois, elle agit comme si j'étais son mari, elle me soûle.

- Elle est peut-être juste possessif envers son frère.

- Tchip, qu'elle se trouve quelqu'un à mes couvrir, ralla l'homme en se levant. Je voulais rester avec toi moi.

Elle rougit mais ne fit rien, il mit ses vêtements puis prit ses clés.

- Tu as besoin de quelque chose? Je vais aller acheter quelque chose.

- Non, dit-elle en baillent. Juste que tu degage.

Il sourit puis alla dans la cuisine, il regarda l'intérieur du frigidaire puis leva les yeux.

Même le cafard ont fuit tellement c'est vide.

Il sortit puis acheta plusieurs choses à manger, il déposa les sacs sur le table et arrangea. Il sortit un bloque note et écrit un texte, il sortit son chéquier et prit un chèque. Il sourit en déposant la feuille sur une assiette de fraise. Sans plus, l'homme partit. À son réveil, elle prit une bouche. Elle lit la note confuse.

"Je me suis permis, ry tiako de faire les courses, vus que même les cafards souffle de famine. Trouve un plus grand appartement, fais toi plaisir pour t'es vacances. Je t'ai laissé mon numéro au dos, si Kadel junior te manque."

Ses yeux roulèrent, elle prit le chèque puis écarquilla les yeux, 400 mille dollars? Elle n'aurait jamais pensé tenir autant d'argent dans sa mains, pouvait-elle accepter? Un sourire se fit sur son visage. Sans plus, le début de ses vacances était jouissif, elle chercha un appartement. Elle le vista le lendemain et accepta, elle acheta une nouvelle dévoration. Après une longue semaine, tout était fini, elle regarda sa penderie puis son lit.

Est-ce que tu m'aimes?...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant