Elle dormait possiblement dans l'avion en première classe, il lisait un livre sur les vampires en souriant légèrement. Il finit le livre en deux bonne heure, la femme qui s'était réveillée l'avait regardé jusqu'à s'il ferme l'ouvrage.
- C'était bien?
- Ouais, sourit-il en la regardant. Mais, j'aurais aimé qu'elle soit plus folle.
- Comment ça?
- Bin, j'aurais aimé qu'elle continue à jouer avec la mort et le vampire.
- Hum?
- Laisse, rigola l'homme. Tu pourrais pas comprendre.
- Si tu le dis, bailla t-elle une main sur sa bouche.
- On et la pour 9 heures.
- T'as déjà baisé dans un avion?
- Oui, rigola l'homme. C'est une très excitant mais, pas hygiénique...
- Je parie avec une hôtesse.
- Bingo.
Elle rigola légèrement, une hôtesse arriva, elle regarda l'homme avant de rougir choqué. Il la regarda puis sourit la femme détourna le regard en prenant le champagne, elle les servie quand elle croisa les yeux de l'homme. Elle fit tomber le liquide sur lui, elle s'excusa en prenant un mouchoir pour l'essuyer.
- Pas grave, dit-il en prenant sa main. Ne vous en fait pas.
- Non, je suis vraiment confuse.
Il rigola faisant la femme se crisper, il la prise les épaules la redressant.
- C'est bon, continuez votre travail. Vous en faites pas pour moi.
Elle hocha la tête rouge, il bu le champagne puis regarda la femme qui le dévisageait. Il tourna la tête confus.
- C'est bon, vous en faites pas pour moi, répèta la femme en grimaçant. Pff.
Il éclata de rire, elle lui faisait une scène de jalousie. Il tourna le visage de la femme en buvant une gorgée, il l'embrassa à pleine bouche. Elle écarquilla les yeux, il venait de lui mettre du champagne dans la bouche, malgré elle, elle avala puis poussa l'homme.
- T'es dégueulasses!
- Ferme là, sourit-il en l'embrassant de nouveau.
- Mais, le poussa t-elle. Tu es dégueulasses.
- Celle qui à bu mon sperme qui dis ça, dit en buvant calmement.
Son téléphone sonna, il répondit en parlant doucement, il sera le point puis soupira.
- H, ne comte pas sur moi. Je me suis déjà frotté à A!
Après quelques minutes, il broya son téléphone dans sa mains, il se leva puis alla au toilette. Dans l'hôtel, il refit ses nattes. Elle le regarda en mettant sa robe, elle le fixa après ses hanches, creuse et fine.
- Dis, je suis plate?
- Hum? Demanda t-il en le faisant tourner. Tu as du cul, une petite pointure, des hanches fines... Non, pas vraiment.
- Hum, j'aime pas mon corps... J'aimerais tant avoir plus de fesses et poitrine.
- Oublie à quoi tu penses. Veux pas du plastique.
- Mais-
- Pas de mais, dit-il en l'embrassant rapidement sur les lèvres.
Il mit sa veste d'un geste rapide, ils partirent calmement, elle regardait les routes de Guadeloupe.
- Pourquoi c'est autant salle?
- Les touristes, dit-il en regardant son téléphone. C'est une magnifique île française, je vais t'emmener dans ma maison typique créole.
- Une maison créole? Demanda t-elle enthousiaste. Oui! J'adore tout se qui est exotique.
- Tu vas adoré le fruit de ma passion, la goyave, la papaye, les langouste etc...
- Sérieusement? J'ai jamais pu goûter, pourquoi tu dis gOYave?
- Bien, c'est comme ça qu'ils dises ici.
- Et les rivières? Plage? La soufrière?
- Tu t'es vraiment renseigné, rigola t-il. Oui, on ferra le tout, ry tiako. Puis, on ira apprendre à danser, si tu veux.
- Oui! Je veux! Et les robe madras!
- Tu es déjà amoureuse de l'île?
- Folle même! On vas manger des sorbets?
Il rigola en regardant la route, il regarda la femme d'un coup de l'il.
- Ne planifions rien, perdons nous sur l'île et profitons.
- Tu fais rêver, sourit-elle.
Après une bonne heure, il était enfin à l'autre bout de l'île, il sortit de la boîte devant une maison créole. Elle sembla étonné par la beauté, juste à côté la plage il suffisait de faire quelque pas.
- Tiens, dit-il en lui tendant la clé.
Elle couru ouvrir suivit de l'homme, elle couru regardant tout les pièces.
- C'est une machine à coudre?
- Oui, dit-il en la regardant. Elle date de très loin, soupira l'homme. Cette maison pu la pauvreté et la richesse culturelle.
Elle rigola puis mit sa petite valise dans la chambre qui était magnifique, un grand lit avec une moustiquaire.
- Hadja, j'y vais, dit-il en l'embrassant la nuque. Je vais appeler un ami.
- Je parle pas bien français.
- Je sais, il parle anglais, il va aussi t'apprendre, dit-il en l'embrassant sur la joue.
- À plus, sourit-elle.
Elle posta plusieurs photo de la plage, elle répondait à ses DM quand la porte s'ouvrit. C'était un homme, il tenait plusieurs sac de nourriture las, il les posa dans la cuisine en saluant la femme. Il s'assit près d'elle après quelques minutes, ils commencent une conversation assez lente en français. L'homme sembla pas très expressif, mais avait une voix grave profonde. Après des longues heures, ils rigolaient tout deux au larmes, Kadel entra taché de sang.
- Wow, mon pote, de leva l'homme. Il sais passer quoi?
- Hum? Demanda t-il confus. J'ai juste eu des problèmes avec mes fournisseurs, dit-il en piquant du nez.
- Tu va pas bien, leva t-il son haut. Mais! Tu es un troué de balle!
L'homme tomba d'un coup au sol, elle se leva immédiatement et couru vers lui.
- Laisse, dit l'homme en soulevant le blond. Vas dans la salle de bain, prends tout se que tu vois.
Il posa l'homme sur le canapé et déboutonné sa chemise, il essuya son ventre rempli de trou calmement. Après plusieurs minutes, il pu retirer les balles. L'homme fonçait légèrement les sourcils dans son sommeil, la femme était au bord des larmes. L'homme soupira en ouvrant puis une plaie et sortit une balle énorme, il la possa délicatement avant de coudre l'homme. Il lui mit des bandages difficilement, puis laissa l'homme dormir.
- Il devrait être mort avec 15 balle en plein ventre, soupira l'homme en allant dans la cuisine. 15 balles, franchement.
La femme le regarda soulagé avant de l'embrasser sur le front, elle le regarda dormir des longues heures.
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Est-ce que tu m'aimes?...
Любовные романыIl est un mafieu. Elle est étudiante. Il est dangereux. Elle est inoffensive. Il la court après. Elle doute de lui. Il en est devenu fou. Elle en ai devenue dépendant. Il lui demandait la même chose quand leurs yeux se croisaient. ...