Règles {27}

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Elle finit de manger puis se redressa en faisant la moue, il se leva puis regarda la femme.

- Tu ressemble à un porcelet.

- Même pas vrai, dit-elle la bouche remplie de chocolat.

- Attends, dit-il en passant son pouce sur ses lèvres. Tu en garde pour plus tard? Lécha t-il son pouce.

- Mon chocolat, se leva t-elle. Je suis remplie.

- Chargé même, dit-il en massant son dos.

- Tu devrais pas faire ça.

L'homme éclata de rire sur les rougeurs de la femme, elle venait de lâcher un énorme rot.

- C'est pas normal pour un si petit corps! Rigola t-il au larmes.

- C'est pas drôle.

- Si, dit-il en s'allongeant le ventre douloureux.

Elle alla dans la douche, il reprit doucement son souffle puis changea les draps. Il entra dans la douche et regarda la femme se laver, il déposa les draps dans le panier.

- C'est bizarre quand même, dit-il en regardant l'eau rouge. Sa fait mal quand sa sort?

- Non.

- Vraiment? Et les serviettes, c'est confortable?

- Pas vraiment, sa gratte.

- Hum, tampon? Demanda t-elle en s'asseyant sur le bord de la baignoire en regardant la femme.

- J'ai trop peur pour en mettre.

- Pourquoi?

- Image sa gonfle tellement que sa reste coincé.

Il frissonna en regardant la femme, elle soupira en se tordant dans tout les sens.

- Ça va pas?

- Non, pas du tout.

- Qu'est-ce qui a?

- J'ai mal au dos, au ventre, à la tête, mes jambes... Ça va pas...

- Vous êtes compliqué quand même. Tu veux un massage?

- Tu sais en faire?

- Tu me prends pour qui, ses doigts donne tout type de plaisir, dit-il en les agitant en se levant. Je t'attends, ry tiako.

Une fois allongée, il la massa calmement, elle sembla étonné par la forte chaleur de main de l'homme.

- Pourquoi t'es mains son aussi chaude?

- Je me suis branler, dit-il en passant ses mains calmement sur son dos. Enfin, je l'ai trempé dans de l'eau chaude. Sa soulage les douleurs.

- T'as pas eu mal?

- Non, ne tant fais pas, ry tiako, dit-il en embrassant son dos. Détends toi.

Elle ferma les yeux en soupirant, le sommeil la gagniea rapidement. Il continua malgré tout aimant toucher sa peau, il finit par la couvrir et allumer la veilleuse. Il alla dans la cuisine puis prépara de la viande, il réchauffa du lait et mit une cuillère de chocolat. Il bu le mélange calmement. Elle dormait possiblement.

Comment calmer ses désirs sexuels?

Il en avait extrêmement envie.

Il mit la viande au réfrigérateur puis s'assit près de la femme, il s'allongea en fixant le plafond.

Il ne pouvait tenir l'heure, si?

Ses yeux se referma, il s'endormit sur des pensées plus que perverses. Elle se réveilla lourdement puis alla se laver, elle alla dans le salon en jogging en sentant la délicatesse odeur de cannelle. Il ouvrit ses bras laissant la femme s'allonger sur lui.

- Sa sens bon.

- J'ai fais du lait normal.

Elle se redressa puis regarda un verre de lait posé la, elle le prit rapidement puis bu une gorgée.

- C'est pas du lait! Cria l'homme en écarquillant les yeux.

- Hum? Demanda t-elle en reprenant une gorgé, c'est visqueux, dit-elle en regardant le verre. Sa un drôle de goût sucré...

- C'est pas du lait, dit-il en mettant une main sur sa bouche. C'est du sperme.

Elle se leva en posant le verre et courir se laver la bouche, il se leva en rigolant légèrement puis aller la voir. Elle se brossait les dents vigoureusement, il la prise là taille.

- Si tu voulais, je t'aurais donné frais du congélateur.

- Pourquoi tu éjacule dans un verre?

- J'ai pas réfléchis sur le moment.

- T'es bizarre, mes pourquoi tu l'a pas jeté?

- Flemme. Tu te sens toujours mal?

- Non, rinca t-elle sa bouche. Et le lait?

- À genoux, sourit-il. Enfin, non. Viens, je vais te servir un verre.

- Kitoko, tu veux que je sois enceinte, mais, tu tiens même pas deux jours.

- Je sais, mais, tu as une bouche.

Elle rigola légèrement avant d'aller boir son verre, elle soupira de plaisir.

- C'est délicieux.

- Merci, tu as pas cours?

- J'ai complètement oublié, dit-elle en regardant la montre de l'homme.

- Faisons un pile où face.

- Ok, j'ai toujours de la chance à ses jeux! Pile j'arrête pour toujours l'école, face, je continue.

Il prit une pièce dans sa poche, il la lança puis sourit en la regardant puis la montre la femme.

- Bien, se leva t-elle. Je vais pas remettre en doute le destin, je vais aller me déscolarisé.

- Non, dit-il en souriant. Attends la fin de ton semestre, et si tu as une excellente note, tu continuera.

- Merci d'être si compréhensif, mais, c'est bon. J'arrête, je vais te donner ton héritier.

Il sourit doucement puis l'enlaca la femme, elle rigola légèrement en posant une main dans ses cheveux.

- J'en suis heureux, et là, on se rencontrer qu'on peut pas car je suis stérile.

- La chute serait foudroyante.

- Très, l'embrassa t-il dans le cou. Je dois te laisser de nouveau malheureusement. J'ai des affaires à l'étranger.

- Je peux venir avec toi?

Est-ce que tu m'aimes?...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant