Dispute {20}

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- Kadel! Le gifla t-elle. Arrête de jouer avec moi! Arrête, tu m'énerves.

Il la regarda plus que choqué, elle l'avait frappée. Il prit un vase et le lança sur le mur sans expression, elle sursauta par son action.

- Pourquoi tu fais ça?

- Soit je démolis tout ou je te démonte pour m'avoir frappé, dit-il en prenant des assiettes. Et, je sens que si je te démonte, tu ira au paradis.

Il lança les assiettes fortement contre le sol, elle le regarda tout démolir en pleurant. Il s'assit sur le canapé en souriant puis alluma la télévision. Il agissait comme si de rien était. Pourtant, tout était ravagé. La table à manger cassée, les placards cassés.

- Au faite, se tourna t-il. Faut nettoyer, se bazarre.

- Tu veux que je nettoye t'es bêtises? Mais, vas te faire foutre oui!

- Pardon? Se leva t-il. Tu m'as dis quoi?

- Va te faire foutre! Va te faire enculer. Dégage, tu me fais chier, dit-elle avec mépris.

- Tu sais que je pourrais te tuer avec une simplicité déconcertante? Je pourrais de torturer tout la nuit, te faire les pires supplice?

Elle sera la mâchoire, elle s'avança vers lui puis le gifla de nouveau et couru dans sa chambre. Elle ferma la porte à clé, il se mit face à l'objet en bois en souriant.

- Ouvre cette porte! Frappa t-il contre. Ouvre ma porte, ry tiako!

- Laisse moi! Cria t-elle en appuyant dessus. Tu m'énerves imbécile! Fous moi là paix!

- Ouvre cette putain de porte merde! Cria t-il. Je te jure que tu vas morfler!

- Justement, plutôt mourir que d'ouvrir!

- Fais pas chier et ouvre! S'assit-il au sol. Je te ferais rien.

Elle souffla en laissant ses larmes tomber librement, elle s'assit contre la porte.

- Tu mens?

- Oui, je vais te faire t'as fête, ry tiako.

- Je m'en doutais, fit-elle glisser sa main sous la porte. Je te déteste.

- Tu m'énerves, dit-il en entre mêlant leurs doigts.

Un long silence se fit, elle continuait de pleurer sans pouvoir s'arrêter. Il prit une épargne dans son chignon et leva le bras, en toute discrétion, il ouvrit la porte. Il entra en sautant sur le femme t'elle du chat, elle hurla en essayant de se débattre.

- À toi de choisir t'as mort, une balle en pleine coeur, après une longue torture, dévoré par mes chiens, brûlé vivant où par du poison? Alors?

Elle le sera contre lui tristement, il rigola moqueusement.

- Je veux pas mourir moi.

- M'en fou, tu m'as frapper deux fois et injurier. Je l'avais pas passé sur ça, pourtant, je te vois aller loin, dit en se levant. Tu a de la chance, j'ai pas oublié mon arme, dit-il en la prenant son ses vêtements. Je l'oublie souvent.

Il pointa l'arme sur la femme au sol en pleure, elle fixait l'arme puis me mordit la lèvre.

- Vas'y, dit-elle la voix enroulée et fermé les yeux.

Sa main tremblanta, le mafieux regarda sa main confus, il hésitait. Il n'avait jamais hésité à tuer.

Ô grand, jamais!

Bouche ouverte, il tira dans le vide, une larme roula à ses lèvres. Ses genoux tombaient au sol les yeux vitreux, aucune ne lui était chère. Mais, elle.

- Répond! Cria t-il. Est-ce que tu m'aimes?...

- Oui! Hurla t-elle. Je t'aime! Pourquoi ne cesse tu pas de me poser cette putain de question! Tu le sais que je t'aime.

Il éclata de rire pendant plusieurs minutes, plus prit lent un visage sérieux. Elle l'aimait?

- Tu m'aimes?

- Non, rigola t-elle. Je me fou de t'a gueule, imbécile.

- Tu cherches la mort toi, dit-il en tirant dans le plafond. Viens là, immédiatement.

Elle le fit, elle se mise à genoux face à lui, il caressa le haut de sa tête en posant l'arme. Il prit ses joues et l'embrassa passionnément, elle répondit immédiatement.

- Je te tue pas aujourd'hui, mais tu frôle le mort et puis. Qui peut faire se que tu fais à mon corps? Même pas besoin de forcer, dit-il en embrassant ses clavicules. T'as simplement et belle présente me rend fou.

- Tu veux vraiment pas me tuer?

- Non, j'aime avoir une morte vivante avec moi.

- Est-ce que tu m'aimes?...

- Oui, avouea l'homme. Je t'aime, je t'aime et je t'aime.

Elle éclata de rire par l'aveu de l'homme, il la regarda avant de sourire.

- C'est bon?

- Tu es sérieux?

- J'ai pas réfléchis, c'est mon coeur qui à parlé.

- Oh, désolé de m'être moqué, kitoko!

- Non, tu as le droit, je me fou tout le temps de toi.

Ses lèvres se posa sur celle de l'homme, il ferma les yeux en répondant au doux baiser. C'était la première fois, qu'il échangeait un si long et tendre baiser passionné. Ils se décollent le souffle court, leurs yeux s'ouvrirent au même moment les faisant rougirent.

- Est-ce que tu m'aimes?...

- Si ont continue sur cette lancée... Sa ne saurait tarder.

Il l'embrassa de nouveau, elle répondit quand le téléphone de l'homme sonna. Ils se décolèrent frustré.

- C'est Stela, je l'ai rencontré se matin.

- Où? Vous avez échangé votre numéro? Vous avez parlé de quoi!?

- Du calme, elle nous invite dans un restaurant chic demanda, après-midi à 16 heures.

- Mais, j'ai rien à me mettre, j'ai pas assez d'argent pour acheter des trucs chics.

L'homme la regarda confus, pas assez d'argent? Elle se leva cherchant dans son armoire, il s'allongea au sol la regarda faire. Il mit une petite liasse de billet et une autre, il commença à jouer avec l'argent.

- Une robe? Jupe chemise? Tailleur? Et les chaussures? Mais, je sais pas quoi mettre! Hurla t-elle.

Il sursauta en la regardant hurler, il retira ses mocassins et les lança sur la femme. Elle le regarda étonné avant de lancer des vêtements sur lui.

- Attends, dit-elle en retirant les vêtement sur l'homme. Donne de l'argent.

- Prend au sol, ry tiako. Si tu veux plus, chercher dans mes pantalons salle, y a toujours de l'argent dedans.

- Donc, les vêtements que j'ai mis à la machine se matin sont remplis l'argent?

- Exactement, se leva t-il.

Il fouilla dans sa poche et fit tomber des billets.

- Au faite, quoi que tu mets, tu es magnifique, tourna t-il les talons et partir.

Est-ce que tu m'aimes?...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant