Elle regarda l'homme en face de lui, il essuya de la frapper mais elle sauta sur Kadel.
- Il est fou.
- Tu dois bien apprendre à te défendre, rigola t-il.
Il se mit davant l'homme et lui dit de regarder, elle grimaca en les voyant se donner des énormes coups.
- Tu vois? Demanda Yra.
- Tu abandonnes déjà? Demanda le mafieu entonné.
- Tu frappes trop fort, dit-il en passant une main dans ses cheveux. Je tiens à mon beau visage.
- Ouais, soupira l'homme. Maintenant, à toi, ry tiako.
Elle le regarda puis rigola, elle esseya de s'enfuir mais il la rattrapa.
- C'est par ici.
Après quelques minutes, Yra tomba au sol lourdement.
- Je t'ai pas dis de la frapper, s'énerva le blond le point ensanglantée. Levé toi, lui tendit-il la main.
- Quel force, patron. Je crois que je suis amoureux.
- Calme toi, pinça t-il son nez en le soulevant.
- Je peux t'embrasser?
Il lâcha l'homme au sol qui rigola, il vient prêt de la femme lui disant quoi faire. Il passa ses journées à lui enseigner, elle semblait plus alaise avec se sport.
- Patron, dit Yra en entrant. La bosse veux te voir.
- J'ai passé la soirée avec elle, que veux t-elle de plus? Demanda t-il en retirant les gants.
- Elle veut que tu lui donne encore de l'attention.
- Dit la que je suis occupé, soupira l'homme.
- Si, tu refuses, elle va mal le prendre.
Il grogna frustré.
- Dit la que j'arrive, soupira t-il. Cette là, franchement.
Elle le regarda confuse, il l'embrassa très passionnément. Elle rougit en répondant, Yra revient.
- Elle veut plus te voir, elle ma chargé et te dire qu'elle avait trouvé quelqu'un d'autre pour faire le cheval.
Il le fit signe de partir de la salle, il sera plus la femme contre lui. Elle sentait son coeur battre si vite.
- Kadel, dit-elle en se décollant. J'ai cours dans une heure.
- Pourquoi tu viens faire t'as studieuse? Ralla l'homme en s'asseyant sur le banc. Tu veux faire quoi?
- Avocate.
- Pourquoi tu veux un diplôme pour apprendre à mentir? Demanda t-il confus. Tu veux beaucoup d'argent?
- Énormément.
Il rigola puis bu de l'eau calmement, elle s'assit près de lui en réfléchissant à comment formulé.
- Demande directement, dit-il en la regardant.
- Comment tu sais que je veux te demander quelque chose?
- Tu fais souvent la moue quand tu réfléchis ou hésite, dit-il en prenant son téléphone.
- Je veux de l'argent?
- Juste ça? Rigola t-il. Viens avec moi, se leva t-il.
Elle marchait derrière lui, il ouvrit la porte de se chambre.
- Nanika! Cria t-il. Tu fais quoi dans ma chambre?
- Je joue, dit-elle sur le dos d'un homme à quatre pattes. Ton rouge à lèvres et jolie, dit-elle en mettant sur son visage en quittant la chambre.
Il regarda son lit taché avec du rouge à lèvres, il se donna une énorme claque.
- T'as petite sœur ne te facilite pas vie.
- Non, dit-il en allant vers sa coiffeuse. Tiens, t-il en lui tendant une grosse liasse.
- Eh... Merci, dit-elle en la prenant.
L'homme t'apporta sa joue, elle sourit en déposant un baisé dessus quand la petite fille prit l'argent.
- C'est la que tu cachais mon argent!
- Nanika! La tira t-il l'oreille. Rend lui l'argent, tu vas nettoyer mon lit et changer les draps.
- Mai-
- Pas de mais!
La petite fille fonça les sourcils en faisant se que l'homme lui avait dit de faire, elle pleurait en même temps. Il la regarda faire puis l'aida avec le lit, elle jeta le maquillage cassé et sale tristement.
- Si tu veux, on ira acheter du maquillage pour toi, sourit-il en se mettant accroupi.
- Comme les tiens?
- Oui, sourit-il. Maintenant, tu vas jouer ailleurs.
- À plus, Nanika, sourit Hadja.
- Tu viens se soir?
- Oui! Je te l'ai promis.
Elle sourit en partant, la brune regarda l'argent puis l'homme qui faisait des pompes.
*
ils s'assirent calmement à une table sur terrasse, il discutait quand trois femmes les rejoindront.- Excusez nous, mais on te fixe depuis un moment, tu es hypnotisant, dit la femme à lunettes.
- Oui, en plus, quand tu souris, soutenu celle au cheveux court.
- Eh, merci, dit-il confus.
- Sa voix! Hurla t-elles. T'es mains, les vaines!
Il écarquillea les yeux vraiment confus, Hadja fonça les sourcils.
- Tu ressemble au bg dans les livres, rigola t-elle.
- Je ne crois pas, rigola t-il. Kadel, tenda t-il la main.
- Il à une montre suisse manque plus que le costard et la cigarette et qu'il soit mafieux, dit-elles en rougissant. On peut faire des photos?
Il ne peut donner de réponse qu'elle prit plusieurs photo, il sembla confus en les regardant partir.
- Elles sont charmantes.
- Ouais.
Il la regarda puis rigola, il sirota son verre en regardant la femme sur son téléphone. Son compte Instagram était vite passé de 12 abonnés à 10 mille, elle postait souvent. Là, une photo de l'homme buvait son verre innocemment.
- Tu m'as photographié?
- Oui, c'est grave?
- Non, ne tant fais pas. Mais, poste pas par erreur des photos d'argent.
- Je sais, ne tant fais pas, kitoko. J'étais triste y a quelques mois, sourit-elle. Pourtant là, je suis si heureuse.
- Fais quand même attention, dit-il en remuant la paille. On fini toujours par se brûler, tu ne voix pour l'instant que la belle face d'un mafieux.
- Je connais le risque, se leva-elle en se penchant. Mais, faut bien vivre, l'embrassa t-elle.
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Est-ce que tu m'aimes?...
RomanceIl est un mafieu. Elle est étudiante. Il est dangereux. Elle est inoffensive. Il la court après. Elle doute de lui. Il en est devenu fou. Elle en ai devenue dépendant. Il lui demandait la même chose quand leurs yeux se croisaient. ...