Elle se réveilla douloureusement au sol, elle ouvrit les yeux en se redressant. Des hommes armés étaient un peu partout, un homme s'accroupit près d'elle.
- Hey, dit-il en prenant son menton. Tu as bien dormi?
- Vous êtes qui? Demanda t-elle en regardant l'homme qui portait un masque. Et, où suis-je?
- Moi, c'est Malik.
- Malik? Demanda t-elle en frottant ses yeux.
Elle sortait de l'université, et boum elle était là. Comment c'était possible?
- Vous n'êtes pas des gentils.
- Si! Le méchant c'est Kadel!
- Putin Malik, dit un homme en tirant l'autre. Tu dois juste la tuer pas sympathisé! Dit le blond au long cheveux.
Elle se leva puis courut sur leurs regard, le blond et l'homme prit immédiatement la course derrière elle. Elle chercha son téléphone pour le trouver dans sa poche, il sont si incompétents? Elle composa le numéro de l'homme en sautant dans les escaliers. Elle cria au téléphone en pleure essayant de lui expliquer, l'homme sera la mâchoire puis lui demanda d'envoyer la géolocalisation. Elle le fit avant de tomber au sol par une balle dans son pied puis le noir.
- Tu es vraiment assassin? Demanda Carle.
- Oui, soupira l'homme en la soulevant. Tu m'aimes toujours?
- Oui, sourit le blond. Mais, concentre toi. Ahl, n'aime pas l'échec.
- Pourquoi dois t'on la tuer?
- Qui sais, soupira l'homme.
Il posèrent la femme sur une chaise, il chargea son arme quand un bruit se fit entendre. Des bruits de pas, un haut apparu dans les air tirant sur tout les hommes. Il tomba en glissent légèrement regardant Carle et Malik.
- Tu as fais vite, 5 minutes.
- J'ai même pas violé mais sodomise le code routière, dit-il en secouant la femme. Levé toi!
- Laisse, sourit Malik. C'est des fusils anesthésiant, un bijoux de notre patronne. Elle est KO, enfin je sais pas. Faudrait une volonté sur humaine pour reprendre conscience.
L'homme sourit puis leva l'arme pour tirer mais, ils se poussèrent, il essuya jusqu'à ne plus avoir de balle. Il sera là mâchoire en arrachant son bracelet, il prit la femme sur son épaule puis couru vers la fenêtre et sauta. Une énorme explosion le propulsa sur le toit du bâtiment à côté le dos légèrement brûlé. Il tomba lourdement, elle fonça les sourcils avant d'ouvrir un œil et le refermé.
- Kadel, dit-elle la tête en sang.
- On est pas dans un film putain, jura l'homme en regardant le morceau de vert enfoncé dans ses bras.
Après une longue heure, il entra avec la femme à moitié endormie. Elle regarda l'homme en piteux état honteuse, il s'assit sur le canapé douloureuse. En amortissement la chute de la femme, il c'était énormément blessé.
- Comment vas tu?
- Bien, gémit-elle. Pourquoi tu es venu?
- Tu m'as demandé de te sauver, idiote, sourit-il. Et puis, j'allais pas les laisse te faire du mal.
- T'aurais pu demander à t'es hommes.
- Trop de temps, et change pour nous, j'étais pas loin.
Elle regarda les verres dans sa peau puis alla prendre de l'alcool, pince à épiler et bandage. Elle retira les boue de verre sur le regard de l'homme, il ne brancha pas d'un pouce seule ses lèvres.
- Ça va piquer.
- T'inquiète, je suis un bonhomme.
Il poussa un grognement de douloureur, elle mit les bandages en vérifiant s'il n'y avait plus de verre. Il prit un bout de sa chemise et versa de l'alcool, il désinfecta la petit plaie de la femme.
- Merci, sourit-elle. Merci d'avoir pris autant de risque.
- C'est normal, tu es mienne.
Elle sourit en l'enlaçant, il fallut plusieurs semaines à l'homme pour se remettre. Il regarda sa peau avec plusieurs débuts de cicatrice, il se tourna vers celle qui était plongé dans ses livres.
- On peut baiser?
- J'ai mes règles, dit-elle en le regardant.
- T'as mal?
- Au dos, dit-elle en regardant de nouveau son cahier.
Il déposa un baiser sur sa nuque puis alla dans la cuisine, il bu un grand verre d'eau puis soupira.
- Bon, plus qu'à attendre, une longue putain de semaine! Hurla t-il.
- Exactement! Hurla t-elle. Va m'acheter à bouffer tu veux!?
L'homme fit la moue et prit ses clés, il acheta dans plusieurs fast-foods et gâteau, cookie, chocolat. Il les posa sur la table près de la femme qui lisait, elle sembla étonné puis éclata de rire.
- Merci, mais, fallait pas.
- Mais... Tu, dit-il en redémarrage. Quoi? Mais... Ha..
- T'es trop mignon, l'embrassa t-elle sur les lèvres en prenant la boof.
Il s'assit sur le siège qu'elle avait quitté la bouche béante, mais... Elle lui avait demandé. Il regarda la femme manger allongée sur son téléphone.
- Y'a pas de boisson, je suis quoi? Tu me donne à manger mais pas à boire.
L'homme alla lui prendre une bouteille de jus, elle le regarda fixement, il alla prendre un verre qu'il remplit de glaçons. Elle lui arracha des mains, il la regarda la bouche toujours béante.
Elle est possède?
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J aime trop les font d'humour. Car, les histoires tristes pas mon genre.
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Est-ce que tu m'aimes?...
Roman d'amourIl est un mafieu. Elle est étudiante. Il est dangereux. Elle est inoffensive. Il la court après. Elle doute de lui. Il en est devenu fou. Elle en ai devenue dépendant. Il lui demandait la même chose quand leurs yeux se croisaient. ...