Cuisine et DEA {23}

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Il regarda la femme partir calmement malgré la pluie, Hadja lui prit la taille et l'embrassa.

- Kitoko, on rentre?

- Malheureusement, je dois aller vérifier la cuisine.

- Ennuyeux.

- Ry tiako, quand on sera marié, je veux que tu t'occupes de mes affaires, dit-il en prenant ses hanches.

- Moi? Demanda t-elle étonné.

- Oui, toi. Tu veux se soit qui? Les Dalton?

Elle rit en l'embrassant, il répondit immédiatement avant de se décoller.

- Me fais pas oublier, sourit-il. Je dois redresser se service.

L'homme entra dans la cuisine faisant tout le monde sourient, il retira sa veste et redressa ses manches puis lavé ses mains. Ils le regardaient tous en silence.

- Cela faisait longtemps, sourit Camélia.

- Oui, toujours sur excité?

- Vous savez, rigola t-elle en mangeant une carotte.

- Tu continues toujours à manger la bouffe au lieu de la cuisiner?

- Désolé.

- Ne tant fait pas, sourit-il. Vous pouvez très bien manger, tant que les clients on se qu'ils ont demandé. Et d'une portion normale.

Ils hocherent la tête en souriant, elle sera l'homme d'un coup.

- J'arrive pas à cacher ma joie.

- Nous aussi!

L'homme rigola par l'accolade des cuisiniers et serveur, ils firent les commandes sur l'oeil de l'homme. Il prit une cuillère et mit de la sauce sur son pout, il la gouta puis regarda le cuisiner.

- Rajoute la moitié d'un citron et du sel. Camélia, mange pas le steak chaud, souffle dessus.

- Merci.

- Attends, c'est pour quoi se steak?

- Pour la trois! Cria t-ils tous. Elle veut pas nous le donner.

Il sourit en faisant cuire un autre steak, il éplucha des pommes de terre puis frappa la main de la femme qui essayait de voler. Il finit et mit la femme assise à l'écart, et lui donna l'assiette.

- Vous êtes un ange, dit-elle en regardant son patron. Ils veulent jamais me laisser manger.

- Les gars, laisse la manger.

- Pourquoi vous la payez si elle mange tout?

- Je sais qu'il n'y à pas de gaspillage, avec elle. Je fais des pertes de 13 dollars par ans, maintenant, 8 mille dollars. C'est pour ça qu'elle est la mieux payée.

Ils deviennent pâles, elle était payée pour manger.

- Je sais que mon argent ne par pas en fumée vus qu'elle prend plaisir à manger.

- J'aime mon travail!

Il rigola en regardant les présentation, il flembla les tartes citron et glaca un gâteau. Il prit un tarte et marcha vers la femme qui venait de finir son assiette, il lui donna.

- Je vous aime, dit-elle en prenant la tarte.

- J'aime ton estomac. Tu veux quelque chose d'autre?

- Un smoothie!

La brune s'assit sur une petite table en les regardant, il versa le liquide dans un verre et mit une paille. Il le donna à la femme, la soirée terminée. Ils nettoyaient la cuisine dans le calme, la serveuse se leva finalement.

- Encore un magnifique service! Fit-elle un pouce en l'air.

- Oui! Dit-ils en la faisant des pouces en l'air.

Un bruit sourd de fit, la femme venait de tomber au sol endormir.

- Oh, sais qui?

- Mon épouse, la souleva t-il. Hey, ry tiako?

Elle ouvrit un œil fatiguée, elle l'enroula de ses bras puis de ses jambes pour s'endormir.

- Je dois vous laisser malheureusement, passer une excellente fin de soirée. Prenez votre journée demain.

Il déposa délicatement la femme sur les sièges arrière, il conduisait prudemment sur la route vide. Après quelques minutes, il se mit à tourné en roud suivit d'une voiture. Après plusieurs tours, il reçut un appel de fare. Il s'arrêta sur le bas-côté, il descendit comme une femme de l'autre voiture.

- Jane, tendit-elle la main.

- Kitoko, dit-il en frappant sa main avec mépris. Pourquoi tu me suis?

- DEA, dit-elle en montrant sa plaque. Je te soupçonne d'être un narcose.

Il rigola.

- Sa à changé la DEA, venir de front. Je ne suis pas un narcotrafiquant, mais, j'avoue. J'ai déjà été en contact avec eux pour des livraisons.

- Je m'en doutais, on te surveille depuis quelques mois. T'es déplacement sont très louches.

Il avala difficilement sa salive en souriant, il se rapprocha légèrement de la femme.

- Pourquoi venir me dire cela?

- Je suis la tante de Hadja, sur ses poste vous semblez proche.

Sa tante?

- Elle ne m'a jamais parlé de toi.

- Normal, sourit la femme. Je viens te mettre en garde, si mes doutes se confirme, je te mettrais sous la chaise électrique.

- Tu n'es pas un agent officiel avoue.

Elle sembla hésiter, l'homme rigola légèrement puis la prise la hanche. Elle sembla confuse et essaya de le repousser.

- Laisse toi faire, ma mignonne, dit-il en retirant une perle de son bracelet.

- Tu n'as pas honte! Tu es avec, Hadja.

- Non, dit-il en retirant une petite puce de la bille. Tu es bien plus belle.

- Lâche moi.

Il l'embrassa à plein bouche, elle écarquilla les yeux, il mit la puce rapidement derrière son oreille. Il l'embrassa plus sensusensuellement. Il se décolla finalement pour la voir les joues rose, choqué. Il la sera dans ses bras en remettant correctement son bracelet.

- J'aime t'es lèvre, elle sont si douce.

Elle le poussa brusquement puis partit le plus rapidement, l'homme regarda la voiture disparaître. Il rentra dans la voiture pour voir la femme le fixer dans le rétroviseur, il sursauta par se regard froid.

Elle l'avait vus?

Et alors? Demain, le poison dans cette puce la paralysera, et ses hommes feront le reste. Il l'avait fait pour son bien. Si quelqu'un était au courant, il aurait juste confirmé ses doutes qu'il est un narcotrafiquant. Aucunement, il avait mal fait. Au contraire, mais, son regard et difficile à soutenir.

Est-ce que tu m'aimes?...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant