40 ème partie 

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Mams est entré dans la chambre j'ai aussitôt lâché le coussin, j'étais gêné, lui me regardait avec peine, c'est vrai je devais lui faire pitié.

Mams: viens je t'emmène à l'hôpital, il faut que tu le vois avant qu'il soit trop tard

C'est la tête baissé qu'il quitta la pièce.

....

Je sortie a mon tour pour les rejoindre dans le salon, gibril n'avait pas changer de place, ça me tuais le cœur de les voir comme ça.

moi: Gibril

lui:.....

jme suis approché de lui il était dans sa bulle il n'entendait rien.

moi: Gibou

Mams: laisse il est comme ça depuis hier

moi: mais faut qu'il bouge il va pas rester comme ça toute sa vie

Mams: laisse j'tai dis

moi: non Mams faut se soutenir faut pas baisser les bras c'est même toi qui disais ça il est passé où le Mams optimiste ?

Mams:....

il n'a plus rien dis comme ci il réalisé tout juste son pessimisme, je me suis alors tourné vers gibril prête à faire changer les choses

moi: écoute gibril 3eichek écoute moi

il tourna enfin ses yeux vers moi bon c'est déjà ça

moi: tu vas pas rester comme ça, lève toi va te laver sois fort pour lui, faut pas qu'on se laisse aller certes les médecins ont dit que sa situation étais compliqué mais il est pas mort alors lève toi et va prier ya que Allah pour nous aider celui qui est capable de toute chose, désespère pas stp Gibou pour lui..

il me regardais les yeux tout brillant puis il s'est levé difficilement et s'est arrêté devant moi il était tout pale mais dans son regard y avait cette étincelle oui je le vois ce petit espoir, cette petite lumière au bout du tunnel, il me pris d'un coup dans ses bras il me serrais fort

lui: il va pas s'en sortir Imen il lui reste que 2 jours après c'est finit

et merde moi qui pensais lui avoir redonner espoir en faite pas du tout..

moi: dis pas ça stp, dis pas ça Gibril

lui: je dis que la vérité ma sœur faut l'accepter

moi: Dieu est grand et il est capable de toute chose retient ça

mes larmes avaient sucombé une nouvelle foi pour ce nicher sur son épaule, moi qui voulais ne plus avoir à pleurer bas c'est raté...elle est dure la réalité et si violente quand elle nous réveille..

Après avoir attendu quelques minutes le temps qu'ils se préparent nous sommes descendu, et dans le haul on a croisé Salih qui montait les marches avec un grand sourire collé a ses lèvres, pendant qu'on souffre y en a qui vive pleinement et qui se cache pas de nous le montré...

Moi: salam

Salih: pourquoi tu traînes avec ces fils de p***

toujours répondre à un salam mais je crois qu'il la pas compris..

Moi: mais t'es fou de les insulter ça va pas ou quoi ?

Salih: quoi jdis pas la vérité non ? c'est quoi si c'est pas des gros fils de p*** dis moi toi qui a l'air de si bien les connaitre

moi: tes sah comment tu parles ta pas honte ?

Salih: a donc c'est ça maintenant tu leur suce la b****

𝐔𝐧 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐩𝐢𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐠𝐥𝐚𝐜𝐞.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant