Écrire m'a permis de me libérer,
Me libérer m'a permis d'avancer,
Avancer m'a permis de réaliser que j'avais la vie devant moi,
Réaliser que j'avais la vie devant moi m'a permis de reprendre une partie de ma vie là où elle s'était arrêtée.
C'était dure et c'est toujours dure mais je m'accroche et je rend grâce à Dieu.
Tout ça c'est grâce à vous, vos prières et vos encouragements. De par ces petits mots je vous dis merci ❤️🥹🥹🥹🥹Si je ne vous le dis pas c'est que je n'ai pas rendu le maure son sel😂😂( fay nar ba xoromam)
YOUSSOUF NDIAYE
Ma journée commence vraiment mal, on vient de m'annoncer le décès d'un de mes patients. C'était un homme de la soixantaine qui souffrait d'insuffisance cardiaque comme Chantal. À cette pensée, je prends mon téléphone pour me rassurer qu'elle va bien. C'était comme ça chaque jour que je reçois un cas critique.
Moi : Allo Amina. Tu vas bien ? Demandai-je quand elle a décroché
Elle : oui ça va bien. Dit-elle à l'autre bout du fil
Moi : tu fais quoi demain matin ?
Elle : rien
Moi : je voulais que tu m'accompagnes quelque part.
Elle : d'accord. Bon je te rappelle après là je suis occupée et je ne veux pas que Chaïma me frappe. Dit-elle avant de raccrocher.
Ça m'a un peu soulagé mais je ne peux pas ne pas sentir de la tristesse pour cette famille qui vienne de perdre un des leurs. C'est vraiment triste.
A la descente Hamid vient me chercher. Il travaille maintenant à thies et vient chaque week-end à malika. Il voulait prendre un appartement mais Omar le fils de keyna est tellement attaché à lui qu'il est obligé de passer ses week-ends chez eux.
Moi : quand est-ce que tu me vas me présenter ton tailleur ? Dis-je en voyant la tenue qu'il porte.
J'adore vraiment son style vestimentaire, il y'a toujours une touche africaine dans ses tenues.Hamid : ça dépend de toi. On dirait que tu n'es pas dans ton assiette. Dit-il en démarrant la voiture
Moi : ouais je suis juste fatigué. Dis-je sans aucun enthousiaste
Hamid : à cause de tes mères ? Se moque t-il de moi
Moi : il n'y a que Fatima qui se fait des films dans sa tête sinon il n'y a rien. Dis-je avec un sourire
Hamid : boy si jamais je me mari avant toi. Recommence t-il
Moi : tu penses qu'en disant ça je vais me précipiter pour me caser ?
Hamid : ne t'énerve pas je t'ai seulement dit ça comme ça. Dit-il en se pouffant de rire
VOUS LISEZ
A NOTRE TOUR !
AdventureA chacun son tour chez le coiffeur et c'est notre tour nous la troisième génération.