Il m'embrasse en retour et demande l'accès à ma langue. Je lui donne. Il attrape mes hanches et me colle à lui. Je sens une bosse. Je passe ma main dans ses cheveux. Il me soulève du sol et j'enroule mes jambes autour de sa taille.
On reprend notre respiration et continue de s'embrasser. Il marche jusqu'à sa chambre en protégeant ma tête pour pas me cogner. On marche quand même sans vraiment regarder.
Il pose ses mains sur mes fesses et les serre, ce qui me donne des papillons dans le ventre.
Je retire mon t-shirt et il observe ma poitrine avant de reprendre en m'embrassant. Il me pose sur son lit. Il m'embrasse tout en descendant vers mon intimité. Il me regarde et je fais signe avec la tête.
Ma respiration s'accélère. Mon cœur bat fort. J'ai l'impression qu'il va sortir de ma poitrine. Il me regarde et reviens m'embrasser.
Son téléphone sonne, il jette un œil. Mais dès qu'il voit le nom de la personne qui l'appel il décroche.
-Oui ?
-...
-J'arrive.Il se lève et pars. Je reste là sans bouger. J'enfile mes habits et entends la porte claquer et la voiture déraper sur les gravier. Quel connard !
Je m'installe dans le lit et m'endors.
Le lendemain je me lève et il n'y a toujours personne dans la maison. Je sors de sa chambre et me promène dans la maison. Je prends mon déjeuner et marche avec mon bol de céréale dans toute la villa. Je vois un porte que j'avais jamais remarqué au fond du couloir derrière une armoire. Je pousse l'armoire très lourde. Et je vois qu'il y a besoin d'une clé pour la porte.
-Bon...
Je fonce dans le cuisine et teste avec tout ce qui est possible d'ouvrir cette porte. Elle est plus compliqué que toutes les autres portes que j'ai appris à ouvrir. Je fonce dans sa chambre. Plus qu'une solution trouvé sa clé. Je fouille tout en rangeant bien derrière moi pour qu'il n'y vois rien.
Je soulève un double fond dans un tiroir. Une clé ! Je range et pars voir la porte toujours avec mon bol maintenant presque vide.
La césure fait un long bruit de métal et j'ouvre la porte. Elle donne sur des longs escaliers qui tourne éclairé par des néons qui clignotent. Je descends et arrive sur un long couloir toujours éclairé par les mêmes néons flippant. J'avance et soudain j'entends un cri. Je sursaute et m'arrête.
Je reprends ma route en suivant la provenance du cri. J'arrive devant une cellule en vitre éclairé. Et vois une blonde assise sur une flaque de sang la lèvre ouverte. Un coquard à l'œil gauche et son maquillage complètement détruit.
-Louise !
-April ? C'est toi ? Hé petite sors moi de la s'il te plaît !
-Qui t'as fait ça !
-C'est un grand brun ou châtain, les yeux verts du démons... et son pote brun rempli de tatouage. Ruben je crois.Elle pleure et je m'approche de la cage. J'appuie sur un bouton et la porte s'ouvre. Elle cours dans mes bras.
-Qu'est ce que tu fais là petite ?
-Je...
-Ils t'ont torturé toi aussi ?Elle m'observe.
-Pourquoi ils t'ont fait ça ?
-Je suis dans un gang tu sais... et les gangs ont beaucoup d'ennemi...
-Mais ton bosse ne fait rien ?
-Tu sais il faut apprendre à se débrouiller seule.Papa pourquoi tu l'as laissé. Tu te dois de la protéger ! Si tu n'es pas capable de le faire alors je le ferais.
On remonte les escaliers doucement je l'aide à marché. Je la laisse dans la salle de bain quelques secondes. Vite la trousse de secours. Je l'attrape dans la cuisine et vois une arme à feu sur l'îlot central. Je le prends et retourne m'enfermer avec elle.
-April. Tu vis là ?
-Quoi ?
-Tu es en pyjama, tu viens de déjeuner...
-Je...
-Tu es une ennemie ?
-J'ai pas de camp.
-TOUT LE MONDE A UN CAMP !
-BAH PAS MOI DONC SI TU POUVAIS ME LAISSER J'ESSAIE DE TE SOIGNER LA !Je la soigne et elle me raconte tout.
-Il cherche la fille du boss. Mais personne ne l'a connais. Alors ils m'ont torturé.
-Je suis désolé c'est ma faute.
-Non...
-Si ! Je vis ici... je vis avec le monstre qui t'as fait ça. Pas par choix crois moi. Mais... la dernière fois... avec toi. La voiture qui est venu c'était lui.
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Mauvaise graine
FanficSuite de : Mauvaise fréquentation L'histoire garde encore des personnages d'euphoria mais pour la plus part ils sont inventés