Chapitre 24

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LUNDI 10 JUIN 2019 / MONTRÉAL

Le souffle chaud de l'australien viens chatouiller la naissance de mes cheveux, provoquant une vague de frissons le long de mon corps dénudé, j'entrouvre avec délicatesse mes yeux tout en soupirant de satisfaction, l'esprit encore embrumé de fatigue. Ma nuit fut d'une très courte durée et pour cause, Daniel ma tenu éveillée jusqu'au alentour des trois heures du matin, heureusement pour moi il a gentiment proposé de partager son jet direction Monaco.

Daniel - Bonjour ma belle. Murmure t-il tout en caressant ma hanche à travers le tissu du draps.

Je souris au son roque et endormie de sa voie avant de me retourner dans sa direction.

Maria - Bonjour. Bien dormi ? L'interrogé-je en prenant appuis sur mon coude pour me redresser à sa hauteur.
Daniel - Excellente nuit oui. Apres je ne me sens pas vraiment reposé. Plaisante le pilote Renault avant de déposer un baiser sur mon épaule et de s'assoir au bord du lit.
Daniel - Je te fait couler un café ?
Maria - Merci oui, si c'est possible je pourrai utiliser ta douche ?
Daniel - Bien sur, fait comme chez toi. Tu connais déjà les chemin. Me sourit-il d'une manière ambiguë en faisant référence à l'échange bestial que nous avons partagés hier dans cette même douche.

Je rigole face à sa remarque avant de poser un pied contre la moquette bordeaux qui jonche le sol, il faut absolument que je passe récupérer le reste de mes affaires qui traînent encore dans ma chambre, sachant que l'avion décolle vers midi, il nous reste une petite heure avant de partir mais d'abord, le café.
J'enfile le t-shirt du pilote qu'il avait soigneusement plier et déposer sur le coin du bureau avant de le rejoindre dans le salon. Il me tend une tasse fumante que je m'empresse d'attraper tout en venant m'assoir prêt de lui, un petit sourire en coin.

Daniel - J'espère que tu auras rapidement des nouvelles de ton chef.

La conversation tourne principalement autour de cette histoire farfelu et je ne comprend toujours pas pourquoi je me retrouve concernée. Daniel reste estomaqué, même s'il est persuadé que tout va rentrer dans l'orde. Nous bavardons le temps de se réveiller, tout en surveillant l'heure, il ne vos mieux pas arriver trop tard.

Ma douche prise, mes vêtements enfiler et ma valise contre moi, je suis prête à mettre les voiles tout comme l'australien qui se tiens devant l'encadrement de la porte, me fixant d'un regard attendri.

Daniel - T'es toute mignonne, ça change de d'habitude. Affirme t-il en verrouillant derrière lui.
Maria - Si tu le dit. Pouffé-je en observant ma tenu de voyage.

 Les roulettes de nos bagages font écho le long des murs du couloir, brisant le silence qui venait de s'installer et tendis que les porte de l'ascenseur se ferment je ne parviens a retenir un long bâillement qui témoigne de mon état de fatigue

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Les roulettes de nos bagages font écho le long des murs du couloir, brisant le silence qui venait de s'installer et tendis que les porte de l'ascenseur se ferment je ne parviens a retenir un long bâillement qui témoigne de mon état de fatigue.

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