Chapitre 28

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DIMANCHE 30 JUIN 2019 / SPIELBERG

Cate - C'est incroyable le monde réunis. Murmure t-elle comme si les mots étaient sortis part m'égare, ses yeux virevoltant parmi la foule.
Maria - La sensation qu'il dois ressentir, je n'imagine pas. Rétorqué-je le visage tordu d'une grimace de concentration, un œil dans le viseur.

J'ai rencontrée la toute nouvelle chéri de Pierre, Cate Masetti, une italienne de vingt trois ans, brune aux yeux noisettes qui est une personne pleine de bienveillance et de bonne foie. Elle est déjà venue sur le circuit assister a certains grand prix, mais c'est la première fois qu'elle pénètre dans le coeur de l'action, arrivée vendredi en fin de journée, le contact est immédiatement bien passé entre nous, son côté bon délire m'a directement mis alaise.

Cate - Et toi la chance que tu as d'être chaque week-end en grand prix. Me confie t-elle, son regard ne lâchant pas le français d'une seconde.
Maria - Oui, c'est le job de rêve. Répondis-je avant de photographier le néerlandais qui se tiens sur scène, un micro à la main afin de répondre au public.

Maintenant deux heures que nous sommes regroupés dans un coin, les deux pilotes Redbull on d'abord eu le droit à une séance intense d'autographe, alternant entre selfie et signature avant de monter d'une hauteur pour faire le spectacle, ils sont depuis en pleins échange avec leurs fan.
Pierre affiche un sourire béant, les tensions de la vielle on disparue, il est désormais remonté à bloque pour la course, je l'observe entrain de réajuster sa casquette en replaçant une mèche dessous avant de reprendre la parole.

Pierre - Oui c'est un réel plaisir de conduire sur cette piste, je dois avouer que c'est un des circuits que j'affectionne le plus. S'exprime t-il avec sûreté, en réponse au petit garçon de dix ans qui l'admire depuis les épaules de son paternel.

Les questions s'enchaînent, un nombre incalculable de personnes essayent avec persistance d'attraper le présentateur qui passe à la voler sous leurs nez, mais ils sont bien trop nombreux et après un dernier salut vers la foule qui acclame les deux hommes, Max et Pierre disparaissent, laissant derrière eux une marée humaine en feu.

Je raccompagne Cate jusqu'au paddock qui se trouve être à l'opposer de notre position, bavardant sur le grand prix à venir avant de m'éclipser dans mon bureaux pour télécharger les photos de la matinée, comme toujours Gladys attend de moi un retou...

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Je raccompagne Cate jusqu'au paddock qui se trouve être à l'opposer de notre position, bavardant sur le grand prix à venir avant de m'éclipser dans mon bureaux pour télécharger les photos de la matinée, comme toujours Gladys attend de moi un retour des plus rapide.

Cela étant fait, il me tarde d'aller déjeuner, j'ai prévu un repas avec mon chère collègue, passer une semaine sur le circuit sans être sa coéquipière me désole, ses conneries me manque.
J'appuie sur envoyer avant de fermer mon écran et de me lever de la chaise, satisfaite d'avoir terminé mon travail de la matinée, j'aime photographier les pilotes mais se que je préfère, c'est l'action, il faut que ça bouge.

En passant dans le garage, j'aperçois Verstappen, en pleine conversation avec Lee, ils semblent débattre sur la monoplace qui leurs fait face, Max inspecte du regard le véhicule avant de se pencher près du bras de suspension avant droit et d'analysés attentivement la pièce. Je ne préfère pas les interrompre, même si je n'ai pas encore réellement dit bonjour au pilote depuis neuf heure ce matin, mais surtout parce que j'ai faim.
Les yeux baissés au sol et ma visière abusivement descendu sur mon front, je sors ni vu ni connu de l'écurie avant de me rendre d'un pas pressé jusqu'au restaurant du paddock, Mat doit déjà m'attendre.

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