Chapitre 49

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Salam famille, votre chapitre 49 pour récompenser votre patience

Lisez minutieusement s'il vous plaît, presser presser ne va rien comprendre 🤭

Je retourne dans ma case pour écrire.

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Bonne lecture ❤️
BIGZOU

Chapitre dédié à ma tata fatousy345 😘
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Aziz Thiam (Madman)

Il est 01 heure du matin. Dans ce quartier résidentiel, je sors du véhicule ayant le champ libre parce que mes hommes ont déjà neutralisé ses hommes. On m'ouvre fièrement la porte de la chambre et un de mes hommes m'indique la chambre concernée.

Un corps est étendu sur le lit. J'allume la lumière, sort mon arme de mon manteau et tire sans scrupule sur la table de chevet, ce qui la fait se lever en sursaut.

Sans que l'un ou l'autre ne bouge, nous nous fixons ardemment, les souvenirs tentent de revenir mais je les relègue dans un coin de ma tête, je ne suis pas là pour ça.

Ses yeux écarquillés ne se détourne pas de moi, alors que je joue avec mon arme maintenant adossé contre le mur.

- Dois-je comprendre que tu es venu me tuer ? Siffle-t-elle.

- Disons que je suis venu rendre visite à la mère de mon fils. N'est-ce pas un acte louable ?

Le sujet la fit se lever à l'arrache. Elle tente d'ouvrir sa bouche pour nier sauf que j'ai déjà ma réponse alors je décide d'ignorer ses expressions.

- Si je comprends R, tu as osé tomber enceinte de moi, prendre mon fils pour l'approprier à un autre, dis-je dans un rire sardonique. Sais-tu ce que tu as fait R ? Tu as donné un autre patronyme à mon fils, grâce à toi mon enfant ne porte pas mon nom. Grâce à toi ses enfants ne porteront pas mon nom. Tu ne m'as pas seulement épargné mon fils, tu m'as arraché ma descendance. Je te sais froide comme de l'iceberg mais je croyais que l'amour que tu ressentais pour moi aurait fait de toi une humaine. Je quitte le mur et me rapproche d'elle tandis qu'elle recule. Elle fixe un coin de la chambre, justement là où elle garde sa deuxième arme vu qu'elle s'est rendu compte que l'arme à ses chevets à disparu.

- Nul arme bien évidemment à part la mienne ne se trouve dans cette chambre. Mes hommes se sont chargés de tout te déposséder. Ce ne fut pas vraiment difficile, tu as le sommeil aussi lourd que celui d'un koala.

- Ne t'approche pas Aziz ! Reste où tu es !

L'envie de rire me prend alors je m'y mets. C'est tellement drôle de la voir trembler de partout, chaque pore suintant de peur. J'ai envie de dire que quand deux méchants se croisent le second se met à l'infinitif. Con mais ne cherchez pas à comprendre.

- Pourquoi ? Mhhh R As-tu peur que je veuille te tuer ? Tu sais très bien que j'en suis capable. Tu sais très bien que Aziz n'est plus celui qu'il était, tu sais encore très bien qu'appuyer sur une détente ne me dérange pas tout comme c'est le cas pour toi n'est-ce pas ? Je dis ça en lui serrant furieusement le cou alors que des deux mains tentent de défaire ma poigne.

- Tu...m...m... blesse...z... arrête...tu..en... colère.

- Oh je te fais mal ? Bizarre tu aimais ça pourtant quand je te faisais l'amour.

Je ne desserre pas ma main, je m'enorgueillis de la voir chercher de l'air, de taper ma main pour que je la lâche, de voir ses yeux écarquillés, truffé de peur alors que les miens n'expriment aucune émotions tant elle ne représente plus rien pour moi. Qu'elle crève ou qu'elle carnonisse je m'en fiche. Mais je ne serai pas l'auteur de sa chute, je ne serai pas celui qui lui plantera un épée dans la poitrine.

Justice Passionnelle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant