13-L'ENVIE

490 14 5
                                    

            PDV: DEREK

Je roule à toute vitesse dans ma voiture, j'arrive pas à réfléchir rien que de penser à ce fils de pute qui l'a toucher, il l'a dévisager ouvertement et tous ça devant moi! il faut que j'y retourne lui casser la gueule...

- Putain tu peux pas ralentir ! Tu vas finir par nous tuer! Hurle cette folle qui se tient à côté de moi.
Elle va encore me faire chier je devrais la ligoter, putain il faut toujours que je la sorte des situations celle-la, à croire qu'elle peut pas se débrouiller sans moi.
Nous arrivons devant ma villa, j'ouvre la portière et avance vers celle où ce trouve cette conne, je la tire et elle s'empresse de me donner un coup dans les couilles, je me crispe de douleur tandis qu'elle essaye de courir, je l'a rattrape et l'a plaque contre le par brise de la voiture.

- Écoute moi bien t'as intérêt à être bien sage parce que sinon les choses risquent de se compliquer, tu me casse les couilles dans tous les sens du terme et je risque vraiment de m'énerver, je t'avais prévenue maintenant il y a des conséquences. Dis-je en la prenant sur mon épaule. Elle continue de se débattre mais ça ne sert à rien, lorsque que j'entre à l'intérieur, je l'a plaque directement contre un mur.

- À nous deux. Dis-je, quand soudain mon portable se mit à sonner, putain de merde, je décroche tandis qu'elle elle toujours à ma merci.

- Bonsoir patron il y a un problème en Russie que vous devez venir régler en vitesse. M'informe un de mes hommes.

- Merde, très bien j'y serai demain. Dis-je avant de raccrocher, évidemment notre conversation était en russe, je n'est pas envie que cette idiote se mêle.
J'allais dire quelque chose mais soudain mes yeux se pose sur sur sa robe transparente qui fait apparaître son corps, je reste un long moment avec cette magnifique vue quand soudain elle me pousse.

- Qu'est-ce qu'il y a ? demandais-je.

- Laisse moi partir !
Exigea t'elle.

- Tu ne partira pas et encore moins dans cette tenue. Dis-je.

- Alors dans ce cas prête moi ta veste. Dit-elle.

- J'ai mieux pour toi. Dis-je avant de lui tirer le bras et la traîner avec moi à l'étage.

- Lâche-moi imbécile ! Hurle t'elle.
Je la traîne jusqu'à ma chambre, sort un t-shirt de mon armoire et lui tend.

- Même pas en rêve. Dit-elle.

- C'est soit ça, soit je ne te ramène pas chez toi. Lui imposais-je.
Elle prit le t-shirt de mes mains et se tourna pour s'en aller mais je l'a rattrape à temps.

- Où tu penses aller comme ça ? Demandais-je.

- Me changer peut-être. Répond-elle.

- Tu peux très bien te changer devant moi. Dis-je sourire en coin.
Elle me dévisagea pour voir si j'étais sérieux donc je pars pour la laisser se changer.
Quelques minutes après elle réapparaît avec mon t-shirt noir qui paraissait une robe sur elle, ça arrivait au dessus de ses genoux, je pouvais apercevoir ses jambes, maintenant que je remarque elle ne porte que des jeans sur elle d'habitude.

- Arrêtez de me regarder comme ça. S'exclame-t-elle se qui me fait sortir de mon observation.
Elle essayait tant bien que mal de rallonger mon t-shirt, je m'approche d'elle et remarque bien sa gênance, je m'approche tandis qu'elle recule.

- Et dis moi, je te regarde comment ? Demandais-je tout en continuant d'avancer vers elle, elle hésita longtemps avant de dire.

- C-comme un loup prêt à sauter sur sa proie. Dit-elle.

- Ah bon, mais pour voir un loup il faut d'abord voir sa queue. Dis-je lorsqu'elle n'eut plus aucune chance de reculer. Elle avait se regard perdu comme si elle n'avait plus aucun échappatoire et qu'elle revivait un moment de sa vie, je penche petit à petit à petit ma tête en avant pour être à sa hauteur, je me rapproche encore plus...

NINAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant