Tome 1, Chapitre 26

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Je me trouvais dans un magnifique jardin sobhanallah, c'était magnifique. Il n'y avait personne. C'était le plus bel endroit que j'avais vu de ma vie, wow magnifique.

Je portais une longue robe blanche. Je m'assis par terre sur l'herbe. Un homme s'assit à côté de moi, il était habillé tout en blanc également. Il me sourit, il était vraiment beau.

- Ah Amaria, Benti qu'est-ce que t'as fais ? Me demanda-t-il.

Mais je le reconnaissais, c'était mon grand père. Il était mort il y avait quelques années, ça m'avait détruite.

- Djedi ?

Il me sourit.

Attendez ça voulait dire que j'étais morte moi aussi ?

Il me parlait en arabe.

- Je suis morte Djedi ? Lui demandais-je.

- Non Benti mais tu as failli y passer. Pourquoi t'as fais ça hein Benti ? Tu sais bien que c'est hlam de se suicider non ?

Je me mis à pleurer. Il me prit dans ses bras.

- J'en ai marre Djedi tu sais ? Je suis fatiguée de tout ça.

- Doucement Benti, me dit-il. C'est ton destin, tu dois l'accepter. Je te promets que ça finira par s'arranger Benti. Mais ne refais plus ça t'entends ? Soit patiente, ça finira par s'arranger.

- Tu me le promets ? Lui demandais-je.

- Place ta confiance en Allah et inchallah tout ira mieux.

- Merci Djedi, lui dis-je.

Il me fit un bisou sur le front.

- Bats toi Benti t'entends ? Ce n'est pas encore l'heure pour toi alors bats toi. Je gardes un oeil sur toi, me dit-il.

Il partit.

J'entendais des voix, des gens me parlait. Je reconnus la voix de Medhi.

- Amaria s'il te plaît réveilles toi hechek, me laisses pas je t'en pries.

Je voulais lui répondre mais je ne pouvais pas.

Je me rappelais également que Robsco m'avait parlé.

- Amaria je t'en pries, pardonnes moi réveille toi. Tu peux pas mourir comme ça, pourquoi t'as fais ça putain ? C'est de ma faute c'est ça ? T'as raison, je suis qu'un bâtard mais je vais changer. Je te traiterais comme une princesse, promis s'il te plaît réveille toi.

Pff je voulais lui répondre pour l'insulter ce bâtard. Mais je n'arrivais pas à bouger.

Je voulais ouvrir mes yeux mais c'était trop dure. Je fis un effort surhumain et réussis à les ouvrir.

Le soleil me brûla les yeux.

- Amaria mon dieu, infirmière, infirmière elle se réveille.

Je reconnus la voix de Medhi. J'avais du mal à distinguer ce qu'il y avait autour de moi, je voyais flou.

J'entendis quelqu'un me parler.

- Mademoiselle, vous allez bien ? C'est vraiment un miracle qu'elle se soit réveillée.

- Allahou Akbar, dit Medhi.

Je voyais mieux maintenant, je distinguais son beau visage, il me souriait. Il me prit dans ses bras.

- Je vais vous faire passer des tests, dit le médecin.

Je passais donc des tests et hamdouleh selon le médecin tout allait bien.

Amaria et Robsco : Kidnappée par un chef de gangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant