Amaria et Robsco : Kidnappée par un chef de gang

Tome 1, Chapitre 29

Il roulait à fond, j'avais peur, je continuais à pleurer.

- Fermes ta putain de gueule Amaria, tais toi.

Il serrait le volant hyper fort. J'essayais de me calmer mais je respirais hyper fort, je paniquais. J'avais peur qu'il me frappe comme la dernière fois.

Il criait :

- Tu me prends pour ton dep zeubi, j'ai envie de te tuer. Il avait sa putain de main sur ta cuisse de salope ça te plaisait hein ? Me dit Robsco.

Il faisait vraiment hyper peur, on aurait dit un truand c'était grave. On est arrivés à la maison rapidement, il s'est garé juste devant.

Il n'ait pas descendu tout de suite, moi je n'osais pas bouger et mes larmes continuais à couler. Il a croisé mon regard dans le rétroviseur. Il avait la haine ça se voyait, il me faisait flipper, je crois qu'il l'a vu.

Il est descendu de la voiture en claquant la porte hyper fort. Il m'a ouvert la porte et m'a fait descendre tellement fort que je me suis retrouvée assise par terre.

Il a passé les mains sur son visage et a soupiré. Il m'a regardé de travers tandis que moi je continuais à pleurer. Puis il m'a prise par les cheveux et m'a tiré jusqu'à la maison.

Ça me faisait hyper mal abusé, j'hurlais mais il continuait, pas de pitié ce mec.

Il a ouvert la porte et m'a jeté dans la maison tellement fort que ma bouche a tapé au sol, ça m'a fait mal et je sentis du sang coulé. Je me suis redressé et j'ai recroquevillé mes genoux contre moi tout en continuant à pleurer.

- REGARDE MOI, cria-t-il.

Je releva ma tête, il était au dessus de moi. J'étais appuyée contre le mur.

Il avait les poings serrés et sa mâchoire contracté. Il s'est mit à taper fort contre le mur, je tremblais de peur.

- J'ai envie de te niquer putain, t'es sérieuse à faire ta salope avec des types ? T'es une pute en faite, du normal il te caressait la cuisse, t'es sérieuse ?

Moi je ne disais rien, je continuais à pleurer.

Il s'est mit à tout casser dans la maison, les verres il les jetaient et il criait. On aurait dit un psychopathe, il m'insultait de tout les noms mais hamdouleh il ne me frappait pas. Moi je n'osais pas bouger, j'avais peur qu'il me frappe.

Il s'est ouvert la main tellement qu'il jetait les affaires fort. Il s'est assit sur le canapé et a mit sa tête entre ses mains.

- Zeubi, disait-il. Je suis un dep moi ?

Je me suis levée et je me suis dirigée vers lui. J'ai enlevé ses mains de son visage, il y avait plein de sang qui coulait mais ça n'avait pas l'air de lui faire mal.

Je lui ai pris sa main mais il m'a poussé.

- Tu crois que je veux qu'une salope me touche hein ? Tfou tu me dégoute. Ça te plais que les mecs te touchent hein ? On va voir si tu vas assumer avec moi.

Il s'est jeté sur moi et m'a allongé au sol.

(Je vous rappelle que j'étais en maillot de bain)

Il a enlevé son short, il était en caleçon. Il a commencé à me caresser la cuisse et il est remonter jusqu'à ma poitrine.

J'avoue que j'en avais envie mais je me rappela de la pute lui mettant de la crème alors je le poussa, mais il ne voulait pas bouger.

- Arrêtes s'il te plaît.

- Non ça te plais bien que des mecs te touchent mais quand c'est moi tu fais la meuf. Fermes ta gueule maintenant.

Je me débattais mais il tenait mes bras fermement. Je pleurais, j'avais peur je ne voulais pas qu'il me prenne ma fierté comme ça.