Amaria et Robsco : Kidnappée par un chef de gang

Tome 1, Chapitre 47

Le lendemain je me suis réveillée, Robsco était déjà debout. Je suis partie m'habiller, me doucher et tout. J'ai mis un jean, un chemisier et des bottes, on était vers début mars. Il m'attendait au salon.

- T'as mangé ? Lui demandais-je.

- Non je t'attendais.

- Mdrr tu faisais comment sans moi ?

- Je mangeais au McDo et tout.

- Mdrr ah ok.

Il était assit sur la canapé du salon, il regardait la télé. Son téléphone a sonné, je n'ai pas calculé, je suis partie faire à manger. Je lui ai fais chauffer des pizzas, la flemme de cuisiner. Je l'ai appelé pour qu'il vienne manger, il avait l'air préoccupé.

- Qu'est-ce t'as Ayman ?

Sérieux j'aimais trop son prénom, je le préférais à son surnom Robsco du coup j'avais envie de l'appeler comme ça. J'avoue que ça me faisait bizarre. Il m'a regardé et m'a fait un grand sourire. Il s'est levé et s'est approché de moi, il a mit son bras autour de ma taille et m'a collé à lui.

- J'aime bien que tu m'appelle par mon prénom, ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas appelé comme ça, et mon prénom prononcé par ta belle bouche (il l'a caressa avec son pouce) j'aime bien.

J'étais gênée, j'étais toute rouge. Il m'a embrassé pendant un moment, je répondais à son baiser évidemment.

- Je vais t'appeler princesse maintenant.

Mdrr j'étais choquée, il lui prenait quoi à lui ? Il était romantique aujourd'hui, ça me changeait.

- Princesse, pourquoi ?

Il m'a fait un clin d'oeil et a mit ses bras autour de mes hanches, j'étais vraiment collée à lui.

- Parce que t'es comme une princesse Amaria, toute gentille, toute mignonne, toute douce. Il caressa mon bras avec le sien, j'eus un frisson. T'es une princesse Amaria, ma princesse.

Je ne dis rien j'étais gênée et choquée en même temps. Ce n'est pas tout les jours qu'il était gentil comme ça malheureusement.

- Princesse j'ai faim, me dit-il.

Mdrr il m'a fait rire comment il a dit ça.

Je me suis détachée de lui et je lui ai servis de la pizza, il a presque tout mangé. Il mange tout le temps, il prend pas un gramme, moi ce n'est pas la même malheureusement.

J'ai débarrassé et je lui ai dis de dégager mdrr, je devais faire du ménage sérieux, c'était crade un peu. J'ai passé la journée à faire du ménage, je lui ai dis de sortir parce que ça me stressais qu'il y ait quelqu'un avec moi quand je ranges.

Il est rentré le soir, il portait un bagage sur son épaule. Je fronçais mes sourcils.

- Euh tu pars en vacances ?

Il sourit.

- On part Amaria.

Euh je n'étais pas au courant, ce mec il aime trop prendre des décisions à ma place surtout que je ne pouvais pas partir comme ça, j'avais un travail et un père qui ne laisserait jamais sa fille partir toute seule surtout avec un homme.

- T'es sérieux ? Je ne peux pas, je travailles tu sais en plus mon père ne voudra jamais.

Il m'a fait un clin d'oeil.

- Pour le travail je m'en suis occupé, je t'ai fais un arrêt maladie.

- Sérieux ? Mais la plupart des médecins ne veulent pas les faire.