Amaria et Robsco : Kidnappée par un chef de gang

Tome 1, Chapitre 28

Quelqu'un descendit les escaliers, et merde... C'était Robsco, je l'avais reconnu, il était toujours en short de bain.

Je recula jusqu'à la porte en bois qui menait à la pièce dans laquelle Nacer et moi avions fait une partie de Play. Nacer me manquait quand même, je ne l'aimais plus c'est vrai et je lui en voulais mais on avait passé de bons moments ensemble.

J'ouvris la porte et me mis à courir, j'avais peur de ce qu'il allait me faire.

- Amaria arrête de courir, je vais quand même te niquer, tu vas me fatiguer pour rien.

Mdrr il est fou lui, bon c'est vrai qu'il me rattraperais facilement, mais je courais quand même, instinct de survie.

Mais bon, il me rattrapa rapidement. Il me prit par les cheveux mais il ne tirait pas fort bizarrement, ça ne me faisait pas mal.

- Lâches moi, lui dis-je.

Il ne dit rien, ouvrit la porte et me poussa à l'intérieur. Il m'allongea de force sur le canapé et monta sur moi.

Oh non, il allait quand même pas me violer ? J'avais peur, je le regardais dans les yeux. Il avait toujours l'air en colère, il fronçait ses sourcils mais moins que tout à l'heure.

Il mit ses mains sur mes épaules et emprisonna mes jambes avec les siennes. Je ne pouvais plus bouger.

- Tu vas me violer ? Lui demandais-je.

C'est débile mais j'avais vraiment envie de savoir. Il me fit un sourire pervers, je me mis à paniquer.

- Je sais pas, me dit-il. J'avoue que j'en ai bien envie en plus.

Il fronça ses sourcils.

- Tu me traite de pute alors je vais te montrer si je suis vraiment une pute.

Il se mit à m'embrasser sauvagement. Il gardait fermement ses mains sur mes épaules, je ne pouvais pas bouger.

Il descendit avec sa bouche et me fit des bisous dans le cou. Je mentirais si je disais que je ne ressentais rien. Moi aussi j'avais envie de hechek avec lui mais après tout ce qu'il m'avait fait, je ne pouvais pas lui donner ma fierté comme ça.

- Arrêtes s'il te plaît, lui demandais-je.

Il continuait à m'embrasser le cou et descendait dangereusement vers ma poitrine.

- S'il te plaît Robsco ARRÊTE.

Il était tellement à fond qu'il ne me calculait pas.

- ARRÊTE, criais-je.

Je lui ai mit un coup de genoux là où je penses. Il s'est relevé d'un coup et s'est allongé sur le sol. Il criait :

- Salope je vais te niquer. Tu m'as défoncé.

Il avait les larmes aux yeux de douleurs.

- Si je t'attrapes Amaria t'es morte.

Je me leva et partit en courant, je sortis de la pièce et me retrouva dans la cave. Je monta dans le salon, Medhi y était assit.

- T'étais où ? Et Robsco il est où ?

Je lui raconta ce qu'il s'était passé sauf pour le fait que lui et moi avions failli hechek ensemble. Je ne voulais pas qu'il le sache, je ne sais pas pourquoi.

Il explosa de rire.

- Attends t'es sérieuse, tu lui a mit un coup là où je penses ? Mdrr t'es folle, il va te niquer. Il est où là ?

- Ben en bas, lui répondis-je.

- Il est toujours en bas ?

Il faisait les gros yeux.