Tome 1, Chapitre 41

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Je suis rentrée chez moi en pleurant, j'avais du mal à marcher à cause de mes larmes. Je voulais partir en courant le rejoindre qu'on puisse s'enfuir ensemble mais c'était impossible, je ne pouvais pas faire ça à ma mère même si j'avais la haine contre elle.

Arrivée devant ma porte, je remarqua que j'avais oublié mon sac dans la voiture, mince. Il devait sûrement être déjà partie, je suis arrivée devant la porte de chez moi.

J'avais peur, mes parents allaient me défoncer wallah. J'avais passé la nuit dehors sans prévenir, j'étais finis. Mais au pire je m'en foutais, je ne regrettais pas du tout pour Robsco. J'étais vraiment prête à tout, même a inquiété mes parents, j'oubliais tout avec lui, je l'aimais tellement.

J'ai ouvert la porte doucement, je ne voulais pas me faire engueuler tout de suite surtout que je me sentais sale et que je voulais me doucher.

A peine suis-je entré chez moi que tout le monde a débarqué. Il y avait ma mère et la mère de Youssef ainsi que son père, sa soeur et Youssef. Putain qu'est-ce qu'il foutait là eux aussi ? Pff c'est bon ils ne peuvent pas me foutre la paix ? Il y a d'autres meufs sur la terre sérieux.

- Putain t'étais où espèce de pute ? Me dit Youssef.

J'allais l'insulter mais ce bâtard s'est dirigé vers moi et m'a prise par les cheveux. J'ai rien compris à ce qu'il se passait, il s'est mit à me taper la tête contre le mur.

- Salope, moi je suis un PD pour que ma femme se tire comme ça, espèce de pute, me disait-il.

Je sentais du sang couler de mon crâne, j'avais mal, j'hurlais.

Il s'est mit sur moi et me mit des vraies patates de camionneur, j'avais mal je ne comprenais rien. Je croisa le regard de sa soeur, elle riait comme si ma souffrance la faisait rire, on aurait dit une jnouna.

Je sentais du sang couler de ma bouche, je voyais flou, je n'en pouvais plus. J'entendais ma mère crier.

J'entendis quelqu'un frapper à la porte.

- Au secours, hurlais-je. A l'aide, je vous en prie, aidez moi.

Je n'eus même pas le temps de finir ma phrase que mon souffle fut coupé. Il me mettait des coups de pieds dans le ventre ce bâtard, je vomis du sang.

J'entendis un gros BOUM comme une porte défoncée.

- Amaria qu'est-ce que Espèce de fils de pute, je vais te niquer, t'es mort sale bâtard.

Putain c'était Robsco, mais qu'est-ce qu'il faisait là ? Mes prières avaient été entendu. Il se jeta sur Youssef et le fracassa, il lui mettait des putains de coups. J'entendis un os se casser, j'avais peur qu'il le tue, j'en avais marre qu'il tue des gens alors avec le peu de force qu'il me restait, je rampa jusqu'à lui et je attrapa la jambe.

- S'il te plaît Robsco, aide moi, lui dis-je.

Je sentis qu'il me portait.

- Youssef espèce de fils de pute, je te revois je te tues t'entends ? T'es mort !!

Il commença à sortir quand ma mère l'arrêta.

- Vous êtes qui ? Vous emmenez ma fille où ?

- Madame avec tout le respect que je vous dois, si c'était votre fille, vous ne l'auriez jamais laisser épouser un bâtard comme lui. Je la prends avec moi, je vais m'en occuper mieux que vous ne l'avait fait.

Ma mère était choquée, elle ne dit rien.

Robsco ouvrit la porte, j'étais toujours dans ses bras. Il me portait comme une princesse, c'est mon sauveur ce mec wallah, il est toujours là quand il le faut.

Amaria et Robsco : Kidnappée par un chef de gangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant