Amaria et Robsco : Kidnappée par un chef de gang

Tome 1, Chapitre 37

J'au dû relire au moins 40 fois sans déconner, c'était chaud parce que j'avais plein de larmes qui coulaient. Je vous jures comment elle m'a touché sa lettre c'était abusé.

Mais pourquoi fallait-il qu'il me dise tout ça maintenant hein ? Me dire qu'il m'aime et qu'il faut que je l'oublie. M'envoyer une lettre, m'avouer ses sentiments et me demander de l'oublier, où est la logique là dedans ? Comment je pourrais l'oublier, c'était juste impossible.

Il me demandait d'épouser un autre homme mais il n'y a personne à part toi Robsco, personne. Le grand amour on en a qu'un sur la terre, pas 36.

Mon coeur était brisé, j'avais qu'une seule envie c'était de prendre ma voiture et de le rejoindre, c'était tout ce que je désirais. Mais je ne pouvais pas faire ça à ma mère, si je partais, je sais que ça la tuerais sûrement.

Je ne savais pas quoi faire sérieux, je ne pouvais pas reprendre une vie normale. Comment le pourrais-je quand on a vécu tous ce que j'ai vécu ? C'est juste impossible.

Je prit sa bague te son bracelet et les posa sur ma commode. C'était tout ce qu'il me restait de lui et je comptais vraiment en prendre soin. Je m'allongea sur mon lit et m'endormis, pleurer m'avais fatigué.

Le lendemain, les rayons du soleil me réveillèrent. Je me levais donc, j'étais toujours habillée comme hier. Je partis me doucher et m'habiller. Je mis la robe qui se trouvait dans le sac.

Elle était grave belle sérieux, elle m'allait bien. Je mis des ballerines avec me maquilla un peu. Je mis le bracelet et la bague de Robsco, je ne voulais pas les quitter. C'était comme s'il était avec moi, je sais que ça fait pitié mais j'étais amoureuse et quand on est amoureux, on est un peu débile.

J'ai caché mon sac dans l'armoire, j'avais peur que ma mère voit l'argent.

En y pensant, je ne savais pas quoi en faire. Il était hors de question que je l'utilise surtout vu comment il avait été gagné. Je pense que j'allais le rendre à Samir, enfin c'est quand même lui qui l'a gagné à la sueur de son front, il lui revient de droit.

Penser à Samir me fit penser à mon portable, je ne savais vraiment pas où il était. Peut-être que Robsco l'avait glissé dans mon sac, je le sortis de l'armoire et fouilla dedans. Je l'ai trouvé au fond, bien caché.

Je le pris et essaya de l'allumer mais il n'y avait plus de batterie, je le mis donc à charger et descendis dans le salon. Je partis à la cuisine prendre mon petit déjeuner.

Ma mère n'était pas là, je me posais dans le salon après avoir mangé et alluma la télé. Il y avait un film sur M6 mdrr, un jour une histoire pour les connaisseurs.

J'ai regardé toute l'aprem, sah je m'ennuyais quand même, je ne sais pas ma vie elle était comme avant, elle manquait de piquant. C'est vrai que j'ai souffert avec Robsco mais au moins j'avais jamais le temps de m'ennuyer.

Là je retrouvais ma vie de fille unique dans cette maison et ça me saoulait. Surtout que mes parents travaillaient tout les deux donc ils n'étaient pas souvent là en plus maintenant qu'ils avaient divorcés, ils seraient encore moins souvent là. Ca me faisait chier quand même qu'ils aient divorcés mais bon, ils n'étaient pas heureux ensemble je ne pouvais rien y faire.

Je soupira et regarda ma bague et mon bracelet, ils étaient magnifiques sérieux. Je n'imagines même pas le prix qu'ils les avaient payés.

La porte s'ouvrit en fin d'après-midi, ma mère rentra. Je me levais pour l'aider, elle était parti faire des courses je crois, elle était accompagnée de mon père.

Je lui sauta dessus dès que je le vis. Mon père et moi on a une relation fusionnelle, on s'entend grave bien vu que je suis son seul enfant. Je suis à la fois son fils et sa fille, oui je sais c'est bizarre mais depuis toute petite, il m'emmenait avec lui voir des matchs de foot, il m'avait inscrite à la boxe et tout. Mais sans oublier que j'étais une fille parce qu'il m'acheter des robes de princesses. La journée je jouais au foot avec les mecs du quartier quand j'habitais à Paname et le soir je me déguisais en princesse mais moi je m'en foutais parce que j'aimais bien les deux.