Chapitre 6

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Je cadence en même temps j'explique à monsieur que c'était le meilleur moyen de le garder loin des poignets de mains non désirée.

- Eh bien... imaginez-vous leur dire que vous ne pouvez pas les toucher à cause d'un quelconque produit sur le mains. Vous croiront-ils? Non Ils penseront que vous les regarder de haut ne pas voulant leur toucher. Et puis avec cette excuse tout le monde présent dans la salle sera au courant dans moins de 10 min car qui voudrait pas partager un secret aussi gênant sur le grand Jayden Campbell.

-Je n'ai pas besoin d'eux. Ce sont eux qui ont besoin de moi. Pourquoi dois-je me mettre dans l'embarras pour leur faire plaisir.

- Vous n'avez pas besoin d'eux mais vous êtes quand même là ce soir malgré votre trouble.

Il me jette un regard assassin et rentre plus profondément dans la salle joliment décorée en un style à la fois moderne et authentique.

C'est une grande salle de rez-de-chaussée. Droit devant nous est installer un espace scène, pour le DJ et les animations, et de chaque côté de la grande salle se trouve une fontaine à champagne avec des tables rondes disposé aux alentours.
Deux grandes et magnifique lustres sont suspendus sous un énorme hauteur sous plafond. À croire que des géants vivent ici.
L'espace à l'air à la fois luxueux et accueillant.

- Heureux de vous revoir Mr Campbell. Jacte une blondinette dans la quarantaine. Elle ne tends pas sa main pour une poignée et cela me comble de soulagement. Sans rien dire, il la salue à son tour d'un fin sourire et d'un signe de tête.

(Il est moche dedans et beau à l'extérieur).

- Conclusion, il est laid. Je marmonne.

- Qui est laid?
Je sursautes réalisant que j'ai pensée à voix haute.

- Un vieux dodue au bout de la salle.

- Tu me le montres ? Il paraît soucieux de ma réponse et mon cœur rate un battement à la fois de stress mais aussi à cause du magnifique visage qui m'interroge.

-Il est sortie.
Il me fixe un long moment où mon cœur savait plus battre comme il faut.

- Vous vous êtes enfin décidé d'avoir une sexy secrétaire Jayden. S'exclaffe un jeune homme puant l'alcool et qui arrive à peine à garder son équilibre.
Mon patron fronce les sourcils et l'idiot continue avec ses remarques sarcastique et qui commençait à devenir blessant et humiliant.

-Quoi t'as enfin goûté au sex au bureau. C'est tellement bon de baiser avec l'excitation que quelqu'un rentre et te trouve dans cette position. Il ricane en essayant de poser sa main sur l'épaule de son interlocuteur.
Jayden recule  très rapidement d'un grand pas et je fais de même.
L'ivrogne n'a pas pu maintenir son équilibre et il tombe la tête la première.

- Je suis désolée pour ce manque de respect Mr Campbell, je vais corriger mon fils. Un vieillard en fin de vie s'avance rapidement en piétinant son fils pour venir s'excuser.
Mon patron ne lui lance même pas un regard.

- Nous rentrons ! Dit-il d'une voix ferme et  se dirige sans plus tarder vers la sortie.
Malgré la douleur que m'inflige ses foutus escarpins, je sert les dents et le suis rapidement.

Il n'a même pas attendu que le voiturier aille chercher la voiture, il a récupéré la clef et s'est dirigé lui même vers le parking pendant que moi je le suis aussi rapidement possible.

Nous arrivons au parking et il me balance la clef. Celle-ci tombe car je ne m'attendais pas à le recevoir. Je me baisse avec difficulté pour la récupérer.

- JAYDEN ! Une voix féminine perçante s'élève au milieu de ce parking silencieux. À part le bruit de mes talons au sol et celui de la clef qui est tombé cette endroit baignait dans le silence.

La jeune blonde qui était vêtu d'une minuscule robe rouge, a sauter dans les bras de mon patron sans même lui laisser le temps de réagir. Ses yeux se révulse et son visage se déforme. Il l'a pousse d'une force qu'elle a été frappé un décapotable jaune qui commençait à faire du bruit.
L'homme quand à lui devient tout rouge son visage s'enffle, il semble avoir des difficultés à respirer. Il arrache sa cravate et la balance bien loin et se jette au pied de notre voiture. Moi j'suis trop choqué parce qu'il se passe devant moi et je sais pas quoi faire.

Je commence à pleurer terrifié par sa situation qui devient de pire en pire à chaque minute qui passe. Car il a en effet commencer à vomir.

- Qu'est-ce que je dois faire ? Comment j'peux vous aider ? Je pleure en tournant autour de lui ne sachant pas quoi faire étant donné que je ne peux pas le toucher.

Avec difficulté, il retire son téléphone de sa poche, le deverouille à l'aide de son empreinte et le pousse à mes pieds.

- E...Evens. il dit entre 2 toux.
Je récupère rapidement l'appareil et je me dépêche de chercher un certain Evens dans ses contacts. Je trouve un docteur Evens et je sonne sans hésiter son numéro. Et heureusement pour moi ça décroche en deux temps.

- Docteur je sais pas quoi faire, il..il va pas bien..il..il. Je pleure, je panique, mes mains deviennent moite alors que Jayden se remet à vomir.

- Calmez vous, s'il-vous-plaît. Qu'est-ce qui se passe et qui est à la pareil. La voix expérimenté du docteur résonne dans l'appareil et apaise mon cœur au bord de la crise cardiaque.

- Je suis Nadia, la nouvelle secrétaire de Mr Campbell...

- Vous l'avez toucher...

- Non! Pas moi mais une femme l'a fait.

- Écoutez moi. Avez-vous un couverture dans la voiture ?
Je m'empresse d'aller vérifier et grâce à Dieu y a une couverture à l'arrière de la voiture. Je réponds par l'affirmation au docteur.

- Très bien. Envelopper le dedans et rapidement conduis le à La New York prespyterian hospital.

Le cœur battant et les mains qui tremblent j'entoure Jayden de la couverture tout en évitant de le toucher.

J'ai réussi à le mettre dans la voiture mais la situation ne s'arrange pas. même s'il a arrêté de vomir, il semble délirer et ça commence à me terrifié. Du coup je pleure au volant comme un gros bébé.

- Je suis désolée, J'aurais due faire plus attention, j'aurais due mieux vous protéger, j'aurais pas due prendre votre trouble à la légère.
Je me mouille de mes larmes et je commence à avoir les yeux trop embuée pour pouvoir voir la route.

- Nadia....Ne...nous...tuez...pas. Il chuchote essoufflé comme s'il court un 200 mètre.

J'arrive à l'hôpital indiqué et une équipe médicale est déjà là à nous attendre. Il l'ont rapidement récupérer et sans m'en dire plus m'ont obligé à rentrer alors que je mourais d'inquiétude. Malgré mon insistance le docteur Evens ne m'a pas autorisé à être à ses côtés. Il m'a fermement interdit d'entrée dans l'hôpital.

J'suis donc rentrée à la maison frustré, inquiète et surtout coupable de ne pas l'avoir protéger.

ENDLESS FALLOù les histoires vivent. Découvrez maintenant