ENDLESS FALL

Chapitre 11

Pdv Jayden

J'ai déposé Nadia. Elle avait pas l'air très en forme. J'ai due l'accompagner à son appartement et je suis partie après m'être assurer qu'elle était bien rentrée et qu'elle avait fermé la porte de l'appartement.

- Il faut que je te voie! Je dis à mon docteur et ami au téléphone.

- Là, tout de suite ? Maintenant ? Au milieu de la nuit?  Il râle à moitié en dormir.

- Hmm. J'suis en route vers chez toi là. Je l'annonce en appuyant sur l'accélérateur.

- D'accord.

Je detourne le regard quelques secondes de la route et le pose sur la main qui a Toucher Nadia me demandant qu'est-ce qui a bien pu se passer et pourquoi je vais parfaitement bien. Je fixe ma main un peu dans le vapes me rappellant exactement le moment où nos peaux se sont touchés.

- Pourquoi n'ai-je pas été dégoûtée ? Je me questionne en pensant à d'innombrables réponses mais aucunes ne sont plausibles.

Je mets de la vitesse espérant que ce médecin à qui je verse des milliers de dollars tous les mois et qui après si longtemps est devenue un ami aura une réponse convenable à me donner.

J'arrive devant sa demeure style campagnard me demandant pourquoi y a autant de végétation dans une maison en plein centre ville.
J'ai pas eu besoin de sonné car il m'attendais en peignoir les cheveux en bataille juste devant la porte.

- waouh ! Tu es séduisant ce soir. Je l'embête pendant que lui me lance des regards assassin. Je fais abstraction de cela et rentre dans la maison.
Je retire mes souliers et balance ma veste sur le dossier du Canapé et à mon tour je m'allonge sur celui-ci.

- Tu viens chez moi pour dormir ? Il a l'air au bout de sa vie.

- Baisse d'un ton, tu risque de réveillée madame et tes enfants. Je le mets en garde et lui comme un idiot mets un doigt sur sa bouche en un signe de silence.
Je lui indique le canapé en face du mien pour qu'il s'asseoie et il s'exécute.

Je me met à l'aise dans le canapé et me met à fixé le plafond où séjourne un magnifique peinture d'un jardin au printemps.

- Je l'ai toucher. Je chuchote à peine audible. Et je réalise que ce qui sort de ma bouche est à peine croyable. Ça fait quoi, dix ans que je n'ai plus toucher une femme telle qu'elle soit. Même un calin de ma propre mère me répugne pourtant j'ai bien toucher Nadia. Je fixe à main me demandant si j'ai halluciné car c'est un miracle auquel je m'attendais plus.

- Toucher quoi? Me demande curieusement mon docteur en prenant un petit carnet et un stylos dans un petit buffet à côté du canapé.

Je tourne la tête vers lui me questionnant sur l'oreille super sonnic de l'homme car moi même j'ai à peine entendu ce que j'ai dit.

- Nadia! Finis-je par avouer.

- Quoi , ta secrétaire ?
J'aquiesce d'un signe de tête difficilement accomplie.

- Quand tu dis, tu l'as toucher que veux tu dire? Et puis où était tes gants. Le docteur professionnel qu'il est se met à noté sur le carnet pendant que je lui raconte comment une vipère avait renverser son vers su moi et comment j'ai pris la main de Nadia et que mon corps n'a pas du tout réagit comme si c'était normal.

- Et là tu te sens comment ? Me questionne t'il en posant son regard de soignant sur moi. M'analysant de la tête au pieds.

- Toujours aucun effet, je vais même parfaitement bien.

- Est-ce qu'elle s'intéresse à toi comme les autres femmes qui cherchent n'importe qu'elles occasions pour te sauter dessus.

Je glousse et Mickaël me regarde dans l'incompréhension.