Chapitre 14

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Milly a galéré pour pouvoir me trouver quelque chose qui m'allait dans ses vêtements car j'ai les hanches plus larges. En plus madame voulais jouer la coiffeuse mais n'a même pas sûe me faire un chignon correctement. À la fin de son intervention j'en avais les cheveux en pétard. J'ai donc dûe tout plaquer en un chignon bas.
Après plus de heures de dur labeur nous étions fin prêtes à commencer une nouvelle journée.

J'ai pris mon petit déjeuner avec la famille comme un enfant surexcités découvrant quelque chose pour la première fois.
Pendant tout le moment à table j'avais un sourire Béa. Et je répétais sans cesse " C'est donc ça prendre le petit déjeuner en famille".

Avant de m'en aller j'avais dans mon téléphone le contact de chaque membre de la famille. Cela a été orchestrer par Mickaël. Très sociable ce garçon mais qu'est-ce qu'il est adorable comparé à l'image très mature de son grand frère.

Je suis arrivé chez Jayden avec 30 minutes de retard. Il m'attendais déjà de pieds fermes en consultant sa montre à chaque seconde.
Il n'a pas attendu que je descends lui ouvrir la porte, il est monté de lui-même.
J'élève un sourcil dans l'incompréhension.

- Vous êtes en retard. J'ai crû que vous vous êtes enfuie par rapport à hier. Dit il les yeux rivés sur sa tablette.

- J'y ai pensé mais j'me suis dit que je devrais vous faire cracher de la tune encore quelques mois.

Je me concentre à nouveau sur la route mais j'ai vue son sourire en coin dans le rétroviseur.

- Vous n'avez pas besoin d'aller me chercher un café aujourd'hui. Allons directement à la salle des meetings. Dit mon patron à la seconde où je me gare devant l'immeuble de plus de 60 étage.

- Entendu monsieur. Je réponds avec sérieux.

- Vous jouez au professionnel maintenant. Se moque t'il de moi en descendant de la voiture. Une fois de plus sans avoir suscité mon aide.

- Par contre là vous me vexé. À quel moment n'ai-je pas été professionnel ? Je lui demande outré après avoir envoyé la clé au voiturier tout en essayant de garder la cadence des grandes jambes de Mr.

- Peut-être quand vous avez dit que j'étais bon pour la baine à ordure, ou encore quand vous m'avez crié dessus ou quand vous avez dit à ses gens que je me suis essuyer le derrière avec les mains.

- J'ai pas exactement dis ça et puis c'était pour la bonne cause. Remerciez moi plutôt. Je me jette des fleurs tandis qu'il me lance lance un regard mauvais. J'en ris car j'y suis déjà habitué.

Il accélère la cadence alors que j'avais déjà dû mal à le suivre et je dois pratiquement courir pour pouvoir le rattraper.

- Vous le faites exprès n'est-ce pas ? Je lui demande alors que je suis déjà à bout de souffle.

- Je n'y peux rien si vous avez la taille d'un Schtroumpfs et puis la faute à qui si j'arrive au travail en retard.

(J'suis pas si petite gros bâtard.)

En depit de sa pleinte Jayden ralenti dans son élan et je peux à nouveau respirer normalement.
Nous arrivons dans la salle de la réunion où tous les cadres sont déjà assis à cette table tellement long qu'elle fait toute la longueur de l'immense salle.

- Bonjour ! Gronde la voix de mon patron avec autorité. Comme à chaque fois je suis surpris du respect que ses hauts gradés lui portent. Ils se lèvent tous, le saluent à leur tour et se permettent de s'asseoir à nouveau quand leur boss est assise.

(C'est un mafieux où quoi.)

Je m'assis à mon tour et prend un carnet de notes neuf trouvé dans les affaires d'Emily.

ENDLESS FALLOù les histoires vivent. Découvrez maintenant