25- Surnom et chicane

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— Tu peux ouvrir tes yeux. S'exclama-t-il.

J'ouvris doucement les yeux, et je fus instantanément choquée par ce qu'il avait préparé.

Je me trouvais au haut de la tour voisine de la tour d'astronomie, que je pensais inaccessible. Mais Draco avait trouvé une faille. Du haut de celle-ci, on pouvait voir le ciel étoilé parfaitement. Je n'avais jamais vu de décoré aussi beau n'étant jamais sorti du manoir.

Lorsque je tournai la tête, mon cœur fondit. Il avait installé une couverture et plusieurs oreiller.il y avaient aussi un panier rempli de nourriture. Cette attention me touchait.

— Ça te plaît ? demanda le blondinet.

— Oui, bien sûr Draco que j'aime. C'est juste incroyable ! Mais pourquoi ? M'exclamait je

— Je voulais te faire plaisir. Et puis je me suis rappelé que tu m'avais rapidement dit que tu avais passé ta vie enfermé dans ton manoir. Et j'ai remarqué que tu semblais fasciné par le plafond de la grande salle. Donc, je voulais te montrer tout cela d'une autre façon. Dit-il.

Je m'approchai rapidement de lui et je déposai un doux baiser sur ses lèvres.

Après quelques instants, je décollai mes lèvres.

— Merci Blondinet. Chuchotait je.

— Blondinet. J'aime bien ça mini Riddle. Répondit-il avant de m'embrasser de nouveau.

Nous passions ensuite de nombreuses heures assis au sommet de la tour à regarder les étoiles, à manger, à parler et à s'embrasser sachant que cela nous sera impossible avant de nombreuses heures.

Vers ce qui semblait être trois heures du matin, mes yeux se fermaient lentement. Mais je combattis le sommeil voulant profiter de chaque instant en sa présence.

Mais Draco, dû s'en rendre compte.

— Tu peux dormir mini- Riddle. C'est correct. Me chuchota-t-il en embrassant mon front.

Je m'endormis aussitôt dans ses bras. Tout en sachant que je voulais, que notre histoire continue. Je l'aimais, et je ferais tout pour son bien.

— Le matin —

— ROSEMARIE BÉCA RIDDLE RÉVEILLE TOI !

— Laisse-moi dormir ! Dise je en frappant la personne qui venait de crier.

— SÉRIEUSEMENT ?! Dis la voix.

— Il est trop tôt pour se lever. Marmonnais je.

— J'aimerais bien te laisser dormir, mais tu vas être en retard en cours sinon. Dis la personne.

Je me redressai d'un bond et je vis Mattheo.

— J'ai combien de temps ? demandais je

— Dix minutes. Me répondit mon frère.

Je me levai aussitôt et pris mon uniforme en courant dans les sens.

— Qu'est-ce que tu fais habiller d'une robe ? Me questionna mon frère.

Je regardai ce que je portais. Je portais bel et bien la robe que je portais hier soir avec Draco.

Je me mis à penser que je ne me rappelle même pas être retournée à mon dortoir. Peut-être, Draco m'y avait ramenée ? La dernière chose dont je me souviens est de m'avoir endormie au côté de Draco.

Je redirige mes pensées vers mon frère. Je ne pouvais pas lui dire la vérité. Il fallait que j'invente une histoire qui était un minimum crédible.

— C'est une nouvelle création. Et je voulais l'essayer, mais je me suis endormi. Dise je vraiment insatisfaite de mon histoire.

— En tout cas, c'est très beau. Répondit Mattheo qui savait pertinemment que cela était faux.

— Merci. Dise je rapidement avant de partir dans la salle de bain m'habiller.

Je sortis 5 minutes plus tard habiller et légèrement maquiller.

— Tien, ton sac. J'y ai mis tes cahiers. Me dit-il en me tendant mon sac.

— Merci, mais je peux savoir pourquoi tu tiens à ce que j'aille à mon cours. On sait tous les deux que manquer un cours est le dernier, de nos soucie.

— Tu as déjà manqué une journée complète et un cours déjà en à peine trois jours. Et, ce serait bien que tu n'aies pas de détention à soir, et que tu ne manques pas le party. Me répondit Mattheo.

— C'est une bonne raison, je l'admets. Mais un conseil ne réveille plus les gens en criant. Ça n'aide absolument pas. Dis-je.

— Peut-être, que si tu t'étais couché au lieu de faire je ne sais quoi, je n'aurais pas eu à te crier dessus. Répondit Matt.

On arriva alors en classe au moment que la classe sonna. Je l'avais échappée de peu.

Je m'assois avec Mattheo. Nous passions le long et très ennuyant cours à jouer au Tic-tac-toe et as discuté des autres étudiants. Par exemple, ceux qui sont des mangemort, ou encore d'humiliante situation que ceux-ci ont vécue. Ce fut très divertissant et enrichissant.

Le cours finis enfin et tout le monde se leva et partir vers le prochain cours. Je marchai au côté de Mattheo quand Lorenzo, Théodore et Draco nous rejoignirent.

— Allô, Riddle #1 et Riddle #2. Dis Draco.

— Non. Ne commence pas, FURET. Dis Mattheo en fixant Draco d'un regard noir.

— Pas mal Draco, pas mal. Dis Théodore.

— La vraie question est qui est le #1 ? continua Lorenzo pour énerver Mattheo.

— Taisez – vous ! s'exclama Mattheo.

— C'est parce qu'il sait qui est le meilleure. Me chuchotait Lorenzo assez fort pour que Mattheo puisse entendre.

Je ris. Cette discussion était hilarante. Mattheo qui était enragé comme d'habitude, et nos amis qui ne faisaient que l'enragé de plus en plus. C'était un spectacle formidable.

— Très drôle Lorenzo. Répondit mon jumeau sarcastique.

— Mini-Riddle semble trouver ça drôle. Ajouta Draco.

Mattheo le fixa d'un regard noir comme jamais je n'avais vu. Je compris alors, ce qui l'enrageait vraiment depuis le début de cette discussion.

Les surnoms que Draco me donnait à MOI. C'était ce qu'il enrageait le plus en ce moment. Il n'est pas dupe. Il a vu les regards que moi et le blondinet échangeons. Il se doutait que quelque chose se tramait et il n'aimait pas ça.

— Mattheo ! M'exclamèrent.

— Quoi ?!

— Arrête de le regarder comme si tu voulais le tuer ! Tu n'as pas cinq ans !

— Tu devrais écouter petite- Riddle. Dis Draco.

Je lui fis aussitôt de gros yeux. Il essayait de le faire pomper.

À peine une fraction de seconde plus tard, Mattheo se précipita sur le blond. Lorenzo et Théodore se précipitèrent aussitôt sur Mattheo.

Mattheo cria au visage de Draco en essayant de se détacher de l'emprise des gars qui lui tenait les bras vers l'arrière pour ainsi le frapper.

Draco resta poster là sans bouger ne craignant aucunement, mon jumeau.

Nott et Berkshire amenèrent mon frère de force dans une salle de classe. Malgré que celui-ci essayait en vain de se dégager de leur emprise.

Pas méchant, Juste blesséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant