La princesse de Mirkwood

Chapitre 26

Lauréline se réveillera dans une carriole qui secouaient. Elle s'approcha de l'avant, une vieille femme conduisait le véhicule.
- Qui êtes vous. Demanda Lauréline.
- Moi personne, mais vous vous devez avoir un peu d'importance pour que des mercenaires s'intéresse à vous. lui répondit la vielle femme.
- Que c'est il passe ? Et comment vous appelé vous ?
- Je m'appelle Hena. Et vous ?
- Moi c'est Lauréline.
- Je vous est trouvé il y a deux jours dans une clairière aux mains de quelques sombres elfes. Mon mari à insisté pour vous venir en aide. Il y a laissé la vie. expliqua Hena
- Je suis désolée. Ou allons nous ? Comment puis-je me faire pardonner?
- Vous faire pardonner de quoi ? l'interroga Hena
- D'être responsable de la mort de votre mari.
- Il n'a rien à pardonner, mais si vous voulez vous pouvez venir m'aider à la ferme. Il faudra juste cacher votre nature d'elfe. Votre race n'est pas très appréciée dans la région.
- Ça serait avec plaisir. S'il vous plaît tutoyer moi.
- D'accord. Nous allons dans le Rohan. Vous devriez prévenir votre famille si vous en avez une. Pour ne pas qu'il s'inquiète. recommanda Hena
- Très bonne idée Hena.

Comme promis Lauréline envoya une lettre à son père lui donnant la raison pour laquelle elle ne rentra pas. Elle lui donna aussi la région dans laquelle se trouva la ferme d'Hena. Elle ne reçu aucune réponse, mais cela ne l'inquiétait pas. Sur le chemin Aquarelle les rejoignit. ( le cheval de Lauréline). Malheureusement ils rencontrèrent quelques orcs. Hena ne s'avait pas se battre. Mais elle avait eu la présence d'esprit de récupérer les épées de sa jeune amie quand elle l'avait sauvé. Les orcs étaient tous mort, la nuit commençait a tombé. 

- Lauréline, peut-tu me chanter un poème en elfique s'il te plait. Je trouve cette langue très mélodieuse meme si je ne la comprend pas. demanda Hena.

Elle aquiesa et commença sa chanson.

Il fut jadis une Elfe demoiselle,
Étoile brillante en journée:
Portait brodée d'or sa blanche mantelle
Ses chaussures de gris argenté.

Une étoile était posé sur son front,
Sur ses cheveux un reflet doré
Comme le soleil sur les rameaux blonds
Dans la Lorien enchantée.

Ses cheveux étaient longs et ses bras blancs,
Et libre était-elle, et très belle;
Et la feuille de tilleul dans le vent
Allait aussi légère qu'elle.

Au pied des chutes de la Nimrodel
Aux abords de l'eau fraîche et claire
Sa voix d'argent tombait en cascatelles
Dans le bassin de la rivière

Nul ne sait où elle erre maintenant,
Dans le soleil ou dans les ombres;
Nimrodel fut perdu il y a longtemps
Et dans le monts sa trace sombre.

Le navire elfique au havre gris
Sous les monts protégés du vent,
Patienta bien des jours, et l'attendait
Près de l'océan rugissant.

Un vent vint de nuit des Terres nordiques
Éleva fort sa voix hurlante,
Chassa le navire des grèves elfiques
Au coeur de la marée puissante.

Quand l'aube vint, les monts gris se perdaient,
La terre sombrait à présent
Loin des vagues hautes qui secouaient
Leurs plumets d'écume aveuglants.

Amroth vit que la rive s'effaçait
Bien basse au-delà de la houle,
Et il maudit la nef qui l'emportait
Perfide, loin de sa Nimrodel.

Il était roi elfique auparavant
Un seigneur d'arbre et de vallée
Quand les rameaux étaient blonds au printemps
En Lothlórien enchantée.

De la barre à la mer il s'élança,
Comme la flèche de la corde,
Et dans les eaux profondes il plongea,
Comme la mouette vire en vol.

Le vent soufflait dans ses cheveux flottants,
L'écume autour de lui brillant ;
Ils le virent au loin, beau et puissant,
Nager comme un cygne,il glissait.

Mais depuis l'Ouest aucun mot n'est venu,
Et de ce côté-ci du Rivage,
Le peuple elfique n'a plus entendu
Parler d'Amroth, pas un message.

(D'après J.R.R. Tolkien.
Traduis par Stéphanie Loubechine.)

Quand elle eu fini, elle se rendis comte que Hena s'était endormi. Ne voulant pas éloignée plus longtemps la femme de sa ferme elle prit les rênes de la carriole et délicatement elle déposa Hena à l'arrière du véhicule. Le lendemain matin, Hena se réveilla doucement.

- Je me suis endormi, désolée. s'excusa Hena.

- Pourquoi es tu désolée. Tu as tant fait pour moi, il est normale que je t'aide. Approche toi. Est ce que tu as des enfants ? s'interroga Lauréline
- Non, je n'ai pas eu cette envie que beaucoup de femmes ressentent. Mais à la ferme j'emploie une veuve avec
ses deux enfants. Tu pourrais aussi vivre dans une petite maison attenant à la ferme. expliqua Hena
- Merci.

oOOo
Quelques heures plus tard, elle arrivèrent à la ferme. Lauréline déposa ses affaires dans la maison. Elle regarda ce quelle avait sur elle: son arc, ses épées, des tenues elfique et une flûte magique. Elle devait se rendre à l'évidence, il vas falloir qu'elle couse des vêtements humains pour passer inaperçu ici. Comme la famille qu'embauchait la maîtresse de maison n'était pas là,la magicienne partie dans sa nouvelle maison après avoir aidé Hena a préparé le dîner. Elle prit quelques tissus et passa la nuit à coudre et à l'aube elle avait réussi à confectionner quatre tenu différentes: une bleue, une verte, une orange et une blanche. Elle rejoignit Hena dans les champs et passa la journée à l'aider.

Désolée si il y a des fautes d'orthographe dans le chapitre