Kumoro 1 : L'histoire d'une araignée réincarnée

Chapitre 40 : Duel

POV : Allan

La question que je me pause c'est : Pourquoi un duel ? Je veux dire... On peut discuter aussi pour régler un problème. Qu'est ce que les loups garous on avec les duels ? En théorie, ce devrait être l'alpha qu'il affronte, pas moi ! Je veux bien qu'il ne veuille pas affronter ça femme, ou qu'il soit trop faible pour ça, mais ce n'est pas une raison pour m'affronter moi ! Comment en est-il arriver là ? C'est exagérer quand même !

Les loups peuvent êtres des barbares par foi. Régler un conflit par un combat est stupide, cela ne permet pas de savoir qui a raison et qui a tort, cela dit juste qui est le meilleur combattant. Les duels ne servent à rien.

Donc, de ce que j'ai compris du message que j'ai reçu de Lohan ce matin, le combats aura lieu dans cinq minutes. Je me trouve actuellement dans la forêt au lieu de rendez vous pour participer à cette pratique moyenâgeuse.

Monsieur Curtis : Ce duel a pour but de montrer si tu es apte à être avec mon fils, dans ce duel, tous les coups sont permis à l'exception de l'intervention d'une personne extérieur, les blessures ne doivent pas être mortel, et il durera jusqu'à l'abandon ou jusqu'à ce que l'un des deux concurrents ne soit plus en état de se battre, accepte tu les conditions ?

Moi : Je les accepte, cependant, je sais ce que vous chercher à faire, vous essayer de me vous débarrasser de moi en me faisant passer pour un monstre, ou en essayent de faire croire que mes sentiments sont faux, si je gagne en utilisant mes pouvoir, j'aurai perdu, si j'abandonne, j'aurai perdu.

Sachez, monsieur Curtis, que vos méthodes sont celles d'un lâche, de plus, vous êtes partit du principe que je ne pouvais pas gagner sans utiliser mes pouvoir, c'est une erreur de calcul qui peut vous couter la victoire, car voyer vous, je peux me battre en utilisant les mêmes pouvoir qu'un loup garou, je vais donc me restreindre à ceux-ci pour ce duel, vous n'y voyer aucune objection ?

Monsieur Curtis : Oui, de toute façon, tu ne peux gagnez avec la force d'un Omega.

Moi : Deux chose, d'une, je n'ai jamais dit que je me restreindrais à la force d'un Omega, de deux, la force ne fait pas tout.

Monsieur Curtis : Quoi ? Mais c'est de la triche !

Moi : «Tous les coups sont permis» ce sont vos propres mots et les conditions que j'ai accepté, je peux librement me brider ci je le veux, et c'est à moi de décider à quel point, nous nous battrons à force égales, c'est notre esprit qui déterminera la victoire. Ce n'est en aucun cas de la triche, et vous devriez vous estimer heureux que je me prête aux jeux, je fais l'immense effort de m'intéresser à vos coutumes malgré notre inimitié, la justice aurait voulus que vous fassiez la même chose en réponse.

Madame Curtis : Trêve de tergiversation, que le combats commence !

Lohan observe le combat, ça mère est l'arbitre.

POV : Lohan

Mon père saute sur Allan après c'êtres transformer en loup, Allan, lui aussi ce transforme avent de sauter sur le côté pour esquiver son adversaire, mon père est très rapide aux combats, mais Allan l'est tout autant, de plus, contrairement à mon père, Allan réfléchi plus vite et même sans la télépathie il parvient à prévoir ses actions.

Le combat continue et Allan n'as encor ni ressue ni envoyer de coups, il continue à esquiver tout en observant mon père qui s'épuise petit à petit.

Puis, d'un seul coup, le statut quo c'est briser, Allan et devenu plus agressif, et rapidement, mon père fut submergé sous les attaque rapide et précise de son opposant, ces attaques ne sont pas dangereuses en elle-même, guerre plus que des égratignures, Allan n'utilise pas ses crocs et ce serf peut de ses griffes, cependant, le fait que mon père ce soit fatiguer combiner avec la vitesse des attaques le fait rapidement reculer.

Et d'un puissant coup de patte à l'arrière de la tête, Allan assomme mon père qui ne se relève plus. Ma mère s'avance et vérifie ci sont marie est encor en vie.

Maman : Le combat est terminé victoire d'Allan Jordan !

Moi : Tu as gagné !

Allan : Tu en doutais ?

Moi : Pas vraiment, je savais que tu réussirais.

Allan : Ton père devrait se réveiller dans une heure.

POV : Ethan

Je me réveil dans un lit, chez moi, avec un mal de tête.

Moi : Aï ma tête.

Lisa : Je te l'avais bien dit, ton plan était idiot et tu deviens vraiment bizarre en ce moment, pour quoi en arriver là ?

Moi : Je ne sais même plus... J'ai peur, peur de lui, il dégage quelque chose d'étrange... Comme une sorte de poison et en même temps... Il y avait autre chose... Comme une sorte d'aura... Je ne comprends pas... J'ai juste envie qu'il s'éloigne de moi... Le plus loin possible...

Allan : Je ne suis pas responsable de quoi que ce soit, mais je peux peut-être vous aider à comprendre...

Une sorte de brume enveloppe mon esprit et je me retrouve dans un brouillard d'émotion diverse, je ressens de la peur, de la tristesse et de la douleur, et avec ces émotions, des images apparaissent, des souvenirs, des gens comme moi lui on fait du mal... Des gens qui avaient peur... Puis, d'autre souvenir ce présente, mon fils, un amour infini qui semble antérieur au monde lui-même, quelque chose d'ancien et d'éternelle... Je prends corps dans cet endroit et je m'enfonce parmi les penser et les souvenir, puis j'arrive devant une porte, verrouiller par un cadenas, je le touche et tous s'évanouis.

Je reviens dans ma chambre, Allan est allongé au sol évanoui, Lohan est as genou devant lui et ma femme ce tien près de moi, confuse.

Lohan : Qu'est ce qui c'est passer ?

Moi : Il ma montrer ses souvenir.

Lohan : Cela n'aurait pas dû l'assommer ! Au début oui, mais maintenant, il s'est entrainé à faire ça !

Moi : Il y avait une sorte de cadenas... J'y ai touchée.

Lohan : Papa... Ci par ta faute il ne ce réveil plus jamais. Tu peux toujours rêvée pour que je te reparle un jour. Ces mots mon bléser, mais je l'ai mérité, je ne savais rien et j'ai quand même jugé, j'ai fait exactement la même chose que ses harceleurs.

Lisa : Ne dit pas ce genre de chose à ton père !

Moi : Non, ce n'est pas grave, tout est de ma faute.

Lisa : Ne dit pas ça...

Moi : Tu n'as pas vue ce que j'ai vue Lisa...