Aucun d'entre eux ne s'attendaient à que cette soirée d'hiver bascule leur univers. Des secrets déterrés, des destins brisés...et si toutes les vérités n'étaient pas bonne à éclater ?
D'un côté Elyo Keurton. Tueur à gages.
Seulement un nouveau contr...
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(Hellooo, j'espère que ça va ? Il y a un résumé des trois derniers chapitres pour vous restituer en story à la une sur mon instagram, @iamthoraa.)
Ryo Moreno
L'enfer c'est les autres...
Sartre avait tort.
Ce n'était pas autrui comme il avait énoncé, mais les tréfonds de mon cerveau qui m'engloutissaient sous des scénarios catastrophes suite à ce que je venais d'apprendre.
La boîte est vide.
Cette fichue boîte où dedans sont censées être les photos d'Elyo est vide.
— Putain.
Mes semelles cavalaient dans les marches de l'immeuble après avoir quitté l'appartement d'Aria pour retrouver un semblant d'air frais, et une fois la porte poussée désespérément, ce dernier me percutait de plein fouet.
Tout comme la réalité des événements précédents.
C'est la merde.
La grosse mierda même.
— Madame ? Est-ce que vous allez b...
La voix inconnue s'échoua en me voyant sursauter. Le silence retombait, brutalement contrairement à ma peur qui augmentait lorsque je me retournais. Les locataires de l'immeuble se tenaient toujours en groupe à cause de la coupure.
Et ils me fixaient tous.
— Madame ? Est-ce que vous avez besoin qu'on appelle un médecin ?
— Non je veux juste savoir la coupure...est-ce que...est-ce qu'on sait à quoi c'est dû ?
Par pitié, fait que ce soit un hasard que la lumière de l'immeuble d'Aria se soit coupée comme dans les toilettes du club.
Aucun ne me répondait.
— La coupure s'il vous plaît, répétais-je en pointant du doigt la pièce électrique dans le hall, C'est quoi son origine ?
— Volontaire. Les fils ont été coupés par quelqu'un.
Au secours.
Mon cœur s'emballait avec douleur.
— Vous avez une idée de qui aurait pu faire ça ? ajouta lentement l'un d'eux.
Oui.
Malheureusement.
C'était pire qu'un cauchemar, c'était un film d'horreur.
Ma vie se transforme en Scream...G.É.N.I.A.L.
Une main sur le visage, jusqu'à finalement la passer dans mes cheveux pour les décoller de mon front suant d'émotions négatives, je me redressais avec vertiges.
